Cet épisode porte bien la patte de
Jean Ray, avec ses descriptions lugubres, son appétence pour la bonne nourriture et ses scènes de panique. Un détournement astucieux du thème du vampire. On note cette fois un goût pour le grand guignol. le sang coule à flot. Des péripéties folles, menées par
Harry Dickson, personnage qui donne le rythme infernal.