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Critique de lesgeekeries
Attractivité de la couverture
Concernant l'objet livre en lui même je dois avouer que je suis totalement convaincue. La gamme de couleur choisie est en parfaite adéquation avec l'ambiance globale du roman : très sombre. La couverture met parfaitement en avant le personnage féminin principal, faisant ressortir sa force de caractère. le choix des couleurs du titre permet de le faire ressortir, pour qu'il nous saute directement aux yeux. L'accent est mis sur le mot Killers rappelant a merveille le thème du roman. le tout représente un ensemble très harmonieux qui titille la curiosité du lecteur, attirant d'un seul coup d'oeil son attention.
La plume de l'auteur
L'auteur dans ce tome nous montre une autre facette de sa plume, elle se décline différemment selon l'intensité des scènes relatées. Les parties plus calme, ou l'auteur vient mettre en place son histoire et sa trame sont bourrées de petits détails, rendant le tout parfois un peu lourd et difficile à lire. J'avoue avoir parfois été perdue parmi les nombreux détails venant noyer dans la masse les informations réellement importantes. C'est dans les scènes d'action, ou la tension est à son comble que l'auteur se révèle réellement. Sa plume se transforme alors complètement pour se fondre avec les événements relatés. le récit prend un rythme beaucoup plus rapide, l'écriture devient alors saccadée, transmettant une réelle tension aux lecteurs. Ces scènes nous tiennent complètement en haleine, la tension et le stress des personnages devenant palpable.
Originalité
Ce que j'aime avec cet auteur est l'originalité de ses récits, mais surtout de ses personnages. Les limites entre le bien et le mal sont souvent totalement bouleversées, a tel point qu'il est difficile, pour le lecteur de faire la part des choses. Nous sommes du côté des méchants, mais qui restent moins mauvais que les méchants qu'ils traquent, voilà l'originalité du récit. Dans son univers, rien n'est facile, beau ou tout rose, l'auteur n'hésite pas a en faire baver à ses personnages.
Personnages
Dans ce tome nous sortons du huit clos imposé par l'auteur, le nombre de personnages et d'interactions entre eux sont donc bien plus nombreuses et poussées. Certains ressortent parmi la masse, et nous apprenons progressivement à les découvrir mais aussi a s'attacher à eux. Il est bien plus aisé de réussir a comprendre les motivations de chacun, et donc de justifier leurs actes. Pour autant, compte tenu de l'ambiance et de l'histoire mise en place, le nombre de personnages principaux est très limité. Pour ma part, je dois bien admettre avoir eu un coup de coeur pour Frédérik, dont l'histoire m'a énormément touchée.
Personnalité des personnages
Dans ce tome, c'est pour moi clairement Victor, qui fait ses preuves et se détache des autres. Il nous montre une nouvelle facette de sa personnalité, plus douce et plus tendre. On lui attribue enfin des réactions humaine a l'opposée de l'image de sociopathe qui se dégageait de lui dans le tome précédent. C'est mon sens le personnage qui se révèle le plus, il prend une place prépondérante dans le récit, volant la vedette a quiconque se trouve dans la même pièce que lui. Il est charismatique, viril, animal, et nous lectrice nous retrouvons facilement prise dans ses filets.
Les choses sont biens plus difficiles pour Sarai, tellement empêtrée dans son désir de vengeance qu'elle est complètement aveugle aux conséquences de ses actes. Obligée de vivre dans le mensonge, de cacher son histoire et ses vrais sentiments, elle a beaucoup de mal a prendre sa vie en main. Dés le début du récit on sent à quel point elle se sent seule et perdue, même entourée par ses proches. Sa situation si particulière maintient les autres à distance, dressant un mur entre elle et les personnes de son entourage. Elle souhaite tellement vivre à fond sa nouvelle vie, qu'elle agit parfois comme une adolescente trop gâtée, têtue et réfractaire à la logique, et même si cela peut parfois être très légèrement agaçant nous comprenons très vite qu'il s'agit d'une réminiscence de son passé. le tout combiné ajoute à l'intensité et à la crédibilité de son personnage.
Le mot de la fin
Un tome charnière qui fait parfaitement la transition pour la nouvelle vie de Victor et Sarai, même s'il n'est pas aussi puissant que le premier. Je n'ai pas a proprement parlée été déçue de ce second tome, simplement j'aurais apprécié retrouver l'ambiance malaisante et pesante que j'avais pu expérimenter dans le premier opus. L'auteur se focalise plus sur ses personnages, elle les mets réellement en lumière, ce tome leur est clairement dédié.
Je dois aussi avouer que la conclusion de ce roman m'a complètement retournée, je n'en revenais tout simplement pas et je me suis laissée totalement bernée par l'auteur. Je tourne la dernière page avec le sentiment de m'être complètement fait avoir, d'avoir accordée ma confiance bien trop vite et de ne pas avoir su déceler les nombreux indices disséminés dans l'histoire.
Concernant l'objet livre en lui même je dois avouer que je suis totalement convaincue. La gamme de couleur choisie est en parfaite adéquation avec l'ambiance globale du roman : très sombre. La couverture met parfaitement en avant le personnage féminin principal, faisant ressortir sa force de caractère. le choix des couleurs du titre permet de le faire ressortir, pour qu'il nous saute directement aux yeux. L'accent est mis sur le mot Killers rappelant a merveille le thème du roman. le tout représente un ensemble très harmonieux qui titille la curiosité du lecteur, attirant d'un seul coup d'oeil son attention.
La plume de l'auteur
L'auteur dans ce tome nous montre une autre facette de sa plume, elle se décline différemment selon l'intensité des scènes relatées. Les parties plus calme, ou l'auteur vient mettre en place son histoire et sa trame sont bourrées de petits détails, rendant le tout parfois un peu lourd et difficile à lire. J'avoue avoir parfois été perdue parmi les nombreux détails venant noyer dans la masse les informations réellement importantes. C'est dans les scènes d'action, ou la tension est à son comble que l'auteur se révèle réellement. Sa plume se transforme alors complètement pour se fondre avec les événements relatés. le récit prend un rythme beaucoup plus rapide, l'écriture devient alors saccadée, transmettant une réelle tension aux lecteurs. Ces scènes nous tiennent complètement en haleine, la tension et le stress des personnages devenant palpable.
Originalité
Ce que j'aime avec cet auteur est l'originalité de ses récits, mais surtout de ses personnages. Les limites entre le bien et le mal sont souvent totalement bouleversées, a tel point qu'il est difficile, pour le lecteur de faire la part des choses. Nous sommes du côté des méchants, mais qui restent moins mauvais que les méchants qu'ils traquent, voilà l'originalité du récit. Dans son univers, rien n'est facile, beau ou tout rose, l'auteur n'hésite pas a en faire baver à ses personnages.
Personnages
Dans ce tome nous sortons du huit clos imposé par l'auteur, le nombre de personnages et d'interactions entre eux sont donc bien plus nombreuses et poussées. Certains ressortent parmi la masse, et nous apprenons progressivement à les découvrir mais aussi a s'attacher à eux. Il est bien plus aisé de réussir a comprendre les motivations de chacun, et donc de justifier leurs actes. Pour autant, compte tenu de l'ambiance et de l'histoire mise en place, le nombre de personnages principaux est très limité. Pour ma part, je dois bien admettre avoir eu un coup de coeur pour Frédérik, dont l'histoire m'a énormément touchée.
Personnalité des personnages
Dans ce tome, c'est pour moi clairement Victor, qui fait ses preuves et se détache des autres. Il nous montre une nouvelle facette de sa personnalité, plus douce et plus tendre. On lui attribue enfin des réactions humaine a l'opposée de l'image de sociopathe qui se dégageait de lui dans le tome précédent. C'est mon sens le personnage qui se révèle le plus, il prend une place prépondérante dans le récit, volant la vedette a quiconque se trouve dans la même pièce que lui. Il est charismatique, viril, animal, et nous lectrice nous retrouvons facilement prise dans ses filets.
Les choses sont biens plus difficiles pour Sarai, tellement empêtrée dans son désir de vengeance qu'elle est complètement aveugle aux conséquences de ses actes. Obligée de vivre dans le mensonge, de cacher son histoire et ses vrais sentiments, elle a beaucoup de mal a prendre sa vie en main. Dés le début du récit on sent à quel point elle se sent seule et perdue, même entourée par ses proches. Sa situation si particulière maintient les autres à distance, dressant un mur entre elle et les personnes de son entourage. Elle souhaite tellement vivre à fond sa nouvelle vie, qu'elle agit parfois comme une adolescente trop gâtée, têtue et réfractaire à la logique, et même si cela peut parfois être très légèrement agaçant nous comprenons très vite qu'il s'agit d'une réminiscence de son passé. le tout combiné ajoute à l'intensité et à la crédibilité de son personnage.
Le mot de la fin
Un tome charnière qui fait parfaitement la transition pour la nouvelle vie de Victor et Sarai, même s'il n'est pas aussi puissant que le premier. Je n'ai pas a proprement parlée été déçue de ce second tome, simplement j'aurais apprécié retrouver l'ambiance malaisante et pesante que j'avais pu expérimenter dans le premier opus. L'auteur se focalise plus sur ses personnages, elle les mets réellement en lumière, ce tome leur est clairement dédié.
Je dois aussi avouer que la conclusion de ce roman m'a complètement retournée, je n'en revenais tout simplement pas et je me suis laissée totalement bernée par l'auteur. Je tourne la dernière page avec le sentiment de m'être complètement fait avoir, d'avoir accordée ma confiance bien trop vite et de ne pas avoir su déceler les nombreux indices disséminés dans l'histoire.
