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Awaken tome 1 sur 9
EAN : 9782355929700
208 pages
Editions Ki-oon (07/07/2016)
3.66/5   37 notes
Résumé :
Un mal étrange frappe le Japon : un parasite inconnu transforme les personnes infectées en monstres difformes assoiffés de sang ! Homme à tête de girafe, fille serpent, ... Tout est possible. La rumeur veut que le gouvernement cherche à cacher la réalité du danger à tout prix, quitte à faire appel à une brigade privée réunissant professionnels du combat et scientifique de génie.
Kanata, lycéen peu motivé par les études, était loin de penser qu'il se retrouver... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Kanata est un lycéen qui ne se passionne guère pour les études... et avec son don d'acuité visuelle, il lui est facile de tricher aux examens écrits. C'est cette même aptitude qui va l'impliquer, bien malgré lui, dans une enquête policière concernant une "maladie" parasitaire qui transforme les victimes en semi-monstres aux têtes d'animaux...

Je remercie la MC de Babelio et les editions Ki-oon pour ce manga que j'avais (déjà) très envie de découvrir. Un thriller a mi-chemin entre le polar et l'horreur fantastique avec quelques notions scientifiques sur le parasitisme et la vision.

Si au départ, et comme dans mes habitudes, je lisais lentement afin de m'imprégner du graphisme (net et précis pour les arrière-plans et les explications biologiques), je me suis rapidement laissée entraîner par l'histoire et son indéniable suspense. Dès qu'on a dépassé les premiers chapitres, les personnages prennent caractère et consistance.
On s'attache à Kanata et ses interrogations intérieures, on sourit devant l'impulsivité du professeur, on s'indigne devant les libertés prises par une poignée de "flics"... et bientôt on partage la peur des lycéens d'être "infectés"...
Acculés par une organisation policière (sécuritaire ?) plus ou moins secrète, la crainte des étudiants s'exprime alors par une compréhensible animosité. Un deuxième degré de violence, plus explosive, plus horrifique, parcourt ce manga et trouvera son apogée à la fin, quand on ne peut s'empêcher de s'exclamer : "Oh, non ! Pas ... !" (elle... ? lui... ?)

– Alors, mesdames et messieurs de Ki-oon, quand est-ce que je peux lire (me jeter sur) le deuxième tome ?
– .........
– dès début septembre ?! Eh bien, c'est noté !!
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L'objet – le livre – est assez agréable à regarder. La couverture est en relief avec ces deux yeux bleus qui se distinguent du reste du dessin. J'avais envie de me lire un petit manga d'horreur. C'est en furetant sur le site de Babelio, en faisant une recherche via les étiquettes, que j'ai trouvé ce titre énigmatique.

Les premières pages d'un préambule sont en couleur. Nous sommes directement plongés dans l'histoire avec une bande de jeunes dans une salle d'arcade. C'est alors qu'un de ces protagonistes voit son corps se métamorphoser. Son cou s'allonge à n'en plus finir et au bout se dresse une tête de girafe. L'homme animal a une petite faim. le mammifère herbivore devient carnivore. Les puissantes molaires broient les chairs et laisse l'endroit dans le chaos.
Trois pages en couleur, une scène macabre.

J'ai trouvé les dessins très réussis, à la fois simples et travaillés. En ce qui concerne l'histoire, elle est cohérente. Pour ne pas spoiler,– petit coup de gueule au passage : les titres des chapitres sont trop explicites – il s'agit d'un étrange mal qui vient frapper les gens. Une fois infecté, leur métabolisme change et se modifie. Dans les faits, cela m'a fait penser à « Parasite Eve » de Hideaki Sena, bien que la cause soit différente.

Du côté des personnages, j'ai été peu convaincu par les lycéens un peu fadasses à mon goût. J'ai eu la même perception pour ces agents spéciaux. Seul l'extravagant professeur vient pigmenter de son humour décalé souvent maladroit. Toutefois, sur les dernières pages, tous les protagonistes m'ont paru plus intéressants. À noter la présence de pouvoirs Fantastiques qui viennent rehausser le récit.

Ce manga pour adultes – une image explicite de sexe ainsi qu'une demoiselle qui se déshabille entièrement, – m'a laissé un sentiment mitigé. J'ai bien aimé les dernières pages où j'ai fini par être immergé par l'intrigue. Au final, il reste beaucoup de questions sans réponses. Si je trouve la suite en occasion à pas très cher, je continuerai l'aventure.
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Le titre me rappelle une bourde qu'avait faite en son temps l'acteur Jean-Claude van Damme quand il disait qu'il est aware. Je ne peux m'empêcher d'y penser. Il est vrai que cela fait sourire. Pour l'instant, nous avons deux magnifiques couvertures avec de jolies têtes de girafes. L'idée est d'ailleurs d'une stupidité sans nom. Un virus transforme vos têtes en un animal assoiffé de sang.

J'imagine d'ailleurs quels animaux je pourrais coller sur la tête de quelques politiciens (c'est pour qui la tête de cochon ?) ou autres stars véreuses du show-biz. C'est quand même assez risible car c'est sans fondement scientifique malgré les tentatives d'explication donnée par l'auteur pour redonner une crédibilité. Cela commence d'ailleurs par un homme girafe qui massacre des lycées dans une rue puis on découvre le cadavre d'une jeune fille à la tête de serpent dans une salle de classe. Un vrai carnage. D'autres diront que c'est une vraie tuerie.

Encore une fois, le manga utilise une idée pour développer un récit qui se révèlera pour l'instant assez classique à savoir l'animalisation. Pire encore, on va avoir droit au jeune lycéen ayant des pouvoirs sensoriels afin de contrer la menace zoophile ou ce fameux parasite qui transforme son hôte. Les animaux viennent nous envahir et on pensera à une série comme Zoo. Ils en veulent à nos pauvres corps. Il faut les exterminer mais dans le silence sans faire de vague dans l'opinion publique.

En France, peu de bd utilise les lycées comme le principal héros. Au Japon, c'est partout dans les titres actuels. On dirait que c'est pour mieux vendre à ce type de lecteur. Il est vrai que chaque pays a ses modes et ses fonctionnements. Aux USA, on a droit à l'orgie des superhéros mais eux au moins, ce ne sont pas des collégiennes ou des lycéens. Oui, j'en ai ras-le-bol de ce manque d'idée manifeste.

Pour autant, je serai indulgent avec ce titre car il est efficace. L'auteur Hitori Renda est un habitué du thriller horrifique (voir le fameux King's Game). Son trait n'est pas celui que je préfère dans le manga car finalement assez commun. Cependant, j'aime une certaine simplicité qui confère une liberté de mouvement et de fluidité dans les scènes. On comprend assez vite et il n'y a pas de fioriture et surtout pas les grimaces et autres japaniaiseries. Et puis, il ne manque pas de précision.

Une fois n'est pas coutume, je vais un peu m'appesantir sur l'efficacité de ce manga. Qu'est-ce qui fait que cela tient le lecteur en haleine. Il y a tout d'abord la peur de ce qui est inconnu. Cela nous pousse d'ailleurs vers les extrêmes. le suspense tient au fait qu'on ne sait pas qui est contaminé par ce virus qui peut se révéler très dangereux pour ceux qui sont à proximité d'un tel monstre en devenir. Fort heureusement, les forces de l'ordre seront là pour protéger nos amis lycéens mais comme dit, cela ne suffira pas. C'est quand même un bon point car ils étaient passablement absents dans King's Game alors qu'une classe se faisait massacrer. Sic.

Un bon point également pour le second tome qui fait suite à un premier qui engageait le récit car il va être un peu à contre-pieds. Il y aura donc une évolution tout à fait intéressante du scénario pour peu qu'on accepte certains postulats assez grotesques. Oui, en effet, on va passer du survival à quelque chose de plus complexe et plus mature sans perdre une once d'intensité.
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Vous faites peut-être parti des heureux chanceux à avoir pu rencontrer Hidori Renda lors de la 17ème édition de Japan Expo, où l'auteur était l'invité des éditions Ki-oon pour des séances de dédicaces. Hidori Renda n'est autre que l'auteur de la première saison de King's Game et il nous propose ici avec Awaken de découvrir un thriller où horreur, paranormal et suspens font bon ménage pour un premier tome. C'est donc avec plaisir que je vous invite à lire mon ressenti concernant cette histoire de parasite, un peu gore, que l'on peut se procurer aux éditions Ki-oon.

Une bande de potes s'amuse tranquillement sur une borne d'arcade quand l'un d'eux vient à massacrer ses amis. Pour une raison encore inconnu ce jeune homme est devenu un homme-girafe et le voilà qu'il s'attaque ensuite à d'autres passants avant d'être stoppé par une jeune femme en combinaison noire. S'ensuit un autre phénomène tout aussi étrange, où dans un lycéen une jeune fille devient quant à elle une femme-serpent. Une sorte de parasite encore inconnu est à l'origine de cette mutation transformant les humains en monstres sanguinaires. Tout cela ne présage rien de bon surtout que le gouvernement japonais semble vouloir étouffer le danger.

D'un autre côté, Kanata, jeune lycéen peu intéressé par la vie scolaire, va se retrouver mêler à des événements contre son gré. À première vue Kanata est un lycéen lambda mais il s'avère qu'il dispose d'aptitudes un tant soit peu particulières, il peut voir ce que nul autre n'est capable de voir. Kanata est un « Awaken » aussi appelé Éveillé, mais il ne le sait pas encore. Notre jeune Kanata ne va pas échapper à l'attention de la brigade spéciale car il détient le pouvoir de repérer les Infectés. le voilà alors plongé dans un combat qu'il n'est pas prêt d'oublier…

Ce premier tome ne manque pas de nous dévoiler une certaine violence et ce dès les premières pages. Hitori Renda n'y vas pas de main morte, au contraire. le dessin est assez précis, bien travaillé, les personnages sont bien mis en scène et leurs réactions sont assez expressives. On ressent bien l'angoisse, la joie ou encore l'étonnement présents par moment sur les divers protagonistes, les expressions de visages sont vraiment bien retranscrites. C'est une chose que j'ai particulièrement apprécié tant l'auteur y met un point d'honneur. Au vue de la situation, l'accent porté sur ce type de comportement est plus qu'important, je trouve. On apprécie aussi la qualité du dessin proposée sur les animaux et j'ai le sentiment que l'auteur prend un mal fou à dessiner ces mi-hommes mi-bêtes. Je dirais même que par endroits c'est très gore et Hitori Renda le montre sans gêne aucune proposant donc un style graphique bien garni.

Je peux dire que j'ai apprécié la lecture de ce premier tome, tant le scénario a su m'interroger sur la tournure que pourrait pendre les prochains événements. Mêlant action, paranormal et investigation policière, Hitori Renda nous insuffle un rythme assez soutenu. Je suis resté attentif et curieux de découvrir le chapitre suivant qui montre l'évolution de la situation et du ver parasite qui empire ainsi que la découverte du pouvoir de Kanata. le final de ce premier tome m'a aussi laissé sur ma faim, sans mauvais jeu de mots, vous comprendrez pourquoi une fois ce premier tome d'Awaken entre vos mains. Cette scène ne cache aucune violence et je confirme que ce titre n'est pas à mettre entre toutes les mains.

J'ajouterais qu'Awaken peut s'avérer être un peu dérangé, ou complètement dingue, cela dépend de ce que vous êtes prêts à découvrir et de ce que votre cerveau considère d'étrange ou non. Je suis resté très intrigué par ce premier tome qui place bien la base de l'histoire et qui donne l'envie au lecteur de continuer vers le tome suivant. Comme évoqué, la scène finale laisse un avant-goût de l'ampleur que peuvent prendre les prochains événements. Reste à savoir comment Kanata et les autres Éveillés vont pouvoir faire face à cette démence, un parasite qui tend à s'amplifier.

« Un brin bestial, Awaken promet un scénario intense, un peu ouf même tout en vous laissant sur votre faim… À déguster le ventre vide ! »
Lien : http://www.jegeekjeplay.fr/2..
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Connaissant Hitori Renda par la biais de la série King's Game, j'étais ravie d'apprendre qu'il se lançait dans un nouveau projet en solo. J'ai été de suite attirée par la superbe couverture du premier tome d'Awaken, un seinen intriguant publié aux éditions Ki-oon !

Un mal inconnu frappe le Japon et transforme la population en créatures sanguinaires mi-hommes, mi-animales. Kenta, un lycéen banal qui ne se préoccupe pas de ses études, va se retrouver, bien malgré lui, au coeur de ces événements étranges. En effet, le jeune homme possèdes des capacités sensorielles hors-normes qui lui permettent de voir ce que les autres ne peuvent pas. C'est ainsi, qu'en utilisant ce pouvoir, il est témoin du massacre de ces camarades de classe par une sorte de femme-serpent. Son don va alors attirer sur lui l'attention d'une organisation scientifique secrète venue enquêter sur le drame. Il se révèle alors que Kenta n'est pas un garçon comme les autres mais un Awaken…un Éveillé !

Hitori Renda nous plonge dès la première page dans la violence et l'horreur mais, en derrière l'aspect gore que reflète cette histoire, se cache un sombre thriller. La trame scénaristique porte à la fois sur l'enquête policière et sur l'attrait scientifique que suscite le parasite responsable des mutations. J'ai trouvé l'idée de base vraiment originale et l'ensemble ne manque pas de cohérence, si bien que je serai tentée de croire à la possibilité qu'un homme puisse se transformer en girafe…Je dois dire que ce premier tome ne manque pas de sensations fortes et je serai curieuse de voir la tournure que prendra la suite du récit.

Les personnages sont, quant à eux, plutôt attachants. Certains se démarquent déjà du lot de part leurs caractères et leurs singularités. Pour l'instant, peu de choses nous sont dévoilées sur les protagonistes mais il me tarde de suivre leur évolution.

Par ailleurs, j'ai été totalement sous le charme du trait graphique d'Hitori Renda. La qualité des dessins parle d'elle-même et on notera que le mangaka a le sens du détail et de la précision. Les personnages sont expressifs tant leurs traits sont soignés et réalistes, avec une mention spéciale pour les fameuses créatures.

En bref, Hitori Renda nous propose avec Awaken, un thriller mêlant fantastique et horreur, aussi fascinant que dérangeant. La narration est rythmée et soutenue, si bien que, ce premier tome se dévore littéralement (sans mauvais jeu de mots ^^) et on en redemande ! J'ai hâte d'en apprendre davantage sur le pouvoir de Kenta ainsi que, sur le fameux parasite mortel et j'espère que les prochains tomes seront tout aussi à la hauteur !
Lien : https://serialbookineuse.wor..
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critiques presse (1)
ActuaBD
09 août 2016
Une nouvelle série poignante et surprenante (...) Un suspense haletant qui vaut le détour !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
– Quoi ?! Mais les vers n'ont pas de volonté propre.
– Bien sûr que si ! Tu l'ignorais ?!
[..............]
– Eh oui, un parasite pour vivre et pour se reproduire... dispose de sa propre volonté, et dans certains cas il prend le contrôle de son hôte !!
– Bon d'accord, j'ai bien compris la notion de volonté ... mais là, le parasite transforme la tête de la victime en girafe ou serpent ! Il n'y a que des extraterrestres qui peuvent faire ça !
– Pas du tout ! Il existe plein de parasites qui modifient l'apparence de leur hôte ! Regarde cet escargot ! Son antenne a une forme étonnante, non ?
– Beurk !
– Il a été victime d'un leucochloridium paradoxium ! Ce parasite provoque une hypertrophie des antennes, qui prennent l'apparence des chenilles... l'objectif, c'est qu'elles aient l'air appétissant pour un oiseau... car le ver a besoin de passer dans le corps d'un volatile pour se reproduire !
– J... je suis désolé... j'ai sous-estimé les vers...
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_ Il se nourrit et grandit à l'intérieur du corps de l'insecte choisi, mais il a besoin d'eau pour se reproduire. Malheureusement pour lui, son hôte vit habituellement sur la terre ferme et, si le ver sort, il risque de se retrouver au beau milieu d'un champ et de mourir desséché!
_ Alors comment fait-il pour trouver de l'eau?
_ C'est très simple... il influence le cerveau de l'insecte et le force à se jeter dans un point d'eau!
_ Attendez un peu! C'est comme si le ver forçait la mante religieuse à se suicider!
_ Eh oui! Un parasite, pour vivre et pour se reproduire dispose de sa propre volonté, et dans certains cas il prend le contrôle de son corps!
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La haine peut servir de moteur pendant un certain temps - pas davantage. Elle peut te donner une force un peu illusoire, mais elle reste toujours en premier lieu un parasite qui te dévore.
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"Le monde a commencé sans l'homme et il s’achèvera sans lui." # Claude Lévi-Strauss
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- Pour simplifier, disons qu'on est un organisme indépendant spécialisé dans les enquêtes confuses et très ennuyeuses ! (p.105)
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Dédicace Renda Hitori, auteur de Awaken chez Ki-oon Editions .
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