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Critique de tamara29


A la proposition de Babelio de m'envoyer un roman, j'ai bien entendu répondu « oui ! » sans hésiter (ou presque). Et recevoir un livre -quel qu'il soit- vaut bien une petite critique…
Mais, plutôt que de répéter les défauts et les déplaisirs engendrés par le dernier « roman » de Nicolas Rey (déjà bien détaillés par mes prédécesseurs), je vais tenter de faire la liste des points positifs qu'on peut en retirer (si, si, il y en a, je vous assure) :

- le sourire en ouvrant ma boîte aux lettres et en découvrant l'arrivée du cadeau de Babelio (au moins j'ai eu un sourire, à défaut d'en avoir à la lecture). Et rien que pour cela, je remercie encore Babelio. (Ce point positif ne vaut que si on nous l'offre, je vous l'accorde).
- Livre insipide mais heureusement très court, ce qui nous permet de passer rapidement à d'autres lectures et de les savourer bien plus encore.
- Eveil de notre compassion ou rappel de la réalité : « la vie d'un écrivain n'est pas facile tous les jours ». A l'angoisse de la page blanche s'ajoute la nécessité de gagner sa vie, comme nous… (quitte à devoir écrire « l'amour est déclaré »). Je me permets un aveu à Nicolas Rey : je ne trouve pas non plus mon travail tous les jours gratifiant, réjouissant, satisfaisant, etc.
- Créer ou encourager des vocations : au vu du peu de profondeur et d'intérêt de ce qui nous est narré dans cette auto-fiction, on se dit que le journal intime de nos 14 ans ou encore le récit d'une de nos journées de boulot pourraient -pourquoi pas- être édités un jour… Avis aux amateurs…
- Livre qui nous fait cogiter sur les méfaits de la drogue : les drogues dures ne sont pas toujours les compagnes effervescentes et stimulantes du génial artiste. Elles peuvent aussi, en plus de détruire quelques neurones, asphyxier toute imagination ou créativité. Finalement, on devrait obliger les jeunes à lire ce livre afin qu'ils comprennent les risques des stupéfiants et, surtout, jusqu'où ça peut les mener (par exemple, écrire et éditer ce genre de bouquin). C'est bien mieux qu'un slogan publicitaire pour dire « Non à la drogue ! »
- Enfin, prouver ma grande générosité : en effet, je serai sincèrement ravie d'échanger ce « roman » au premier lecteur (très) curieux qui m'en fera la demande. Dépêchez-vous, il n'y en aura pas pour tout le monde ! Allez… Si vous êtes gentils, je peux même l'offrir sans aucune contrepartie.
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