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Les Chansons du Séraphin tome 1 sur 2

Pascal Loubet (Traducteur)
EAN : 9782749911625
270 pages
Michel Lafon (18/02/2010)
2.84/5   217 notes
Résumé :
Lucky, Toby ou encore Tommy… son nom importe peu. L’important, c’est sa discrétion, son professionnalisme, sa compétence à exécuter froidement les cibles qu’on lui désigne. Après un contrat particulièrement éprouvant, Lucky est abordé par un mystérieux inconnu, un certain Malchiah. Ce Malchiah sait tout de lui, dispose de pouvoirs stupéfiants, et prétend être son ange gardien. Il lui offre de racheter ses crimes, en sauvant des vies plutôt que de les prendre, et lui... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (55) Voir plus Ajouter une critique
2,84

sur 217 notes
Roman d'Anne Rice.

Lucky le Renard, Tommy Crane, Toby O'Dare. Des déguisements, des mensonges. Quels que soient son nom et son visage, il est un assassin hors pair. le panache et l'efficacité de ses meurtres n'ont d'égale que son incroyable capacité à disparaître. Depuis une dizaine d'années, il répond sans sourciller aux contrats que lui confie son commanditaire, l'Homme Juste qui se dit "du côté des gentils" (p. 27) Après une mission particulièrement pénible, il rencontre Malchiah, un séraphin qui dit être son ange gardien et qui prétend lui offrir l'occasion de racheter ses crimes en se mettant au service du Créateur. Lucky accepte et plonge au coeur de l'hiver 1257, dans la ville de Norwich en Angleterre. Il a pour mission de protéger et secourir Meir et Fluria, deux parents juifs accusés d'avoir tué leur fille Léa.

Adolescente, j'ai vu plusieurs fois Entretien avec un vampire réalisé par Neil Jordan d'après le roman éponyme de l'auteure. L'adaptation cinématographique m'a toujours charmée, et je pensais indûment que le livre serait aussi bon, voire meilleur. Quelle déception après plusieurs pages! Même constat avec Lestat le vampire, La reine des damnés et autres titres des Chroniques des vampires que j'ai aussi abandonnés après quelques dizaines de pages. Quand j'ai vu un titre d'Anne Rice dont le sujet n'était pas les monstres buveurs de sang, j'ai décidé de retenter l'expérience, pour savoir si ce sont seulement les vampires qui me font détester les écrits de l'auteure, ou si le style de cette dernière est seul responsable.

Le personnage de Lucky/Toby est tout d'abord très difficile à comprendre. Des bribes d'informations laissent entrevoir une enfance traumatisée et des rêves brisés. Il faut attendre le récit de Malchiah, sur tout un chapitre, pour découvrir la jeunesse laborieuse et courageuse de Toby, le drame qui l'arrache à l'humanité et qui brise ses espoirs de Conservatoire et anéantit sa foi en Dieu. On découvre pendant toute la première partie du livre les circonstances qui ont fait de lui un tueur à gages d'élite. J'ai particulièrement apprécié ses désirs mystiques de jeune garçon, son ambition de devenir un frère dominicain avant de succomber à la passion de la musique et du luth. Son goût pour l'histoire est cependant trop peu mis en avant quand on voit à quel point cette composante est essentielle à la suite de l'histoire. La fascination mêlée de scepticisme que Toby éprouve pour la religion est intelligemment traduite dans son admiration pour la basilique de San Juan Capistrano et son talent pour le luth.

Le titre est assez énigmatique. La première explication, page 137, est pour le moins confuse: "Le regard du Créateur englobe le temps. Il sait tout ce qui est, était et sera. Il sait tout ce qui pourrait être. Et Il est Celui qui enseigne à tous, pour autant que nous puissions comprendre." La seconde, page 141, est un peu plus explicite: "Rappelle-toi qu'il n'y a ni passé ni avenir là où Se trouve le Créateur, mais seulement le vaste présent de toutes les choses qui vivent." L'ange, étymologiquement "messager de Dieu", est donc dans un présent perpétuel, là où le Seigneur a besoin de lui? Pas très clair...

L'incursion dans la juiverie de Norwich est intéressante. La haine et la suspicion qui entourent la communauté juive, symbolisées par la rouelle, sont impartialement représentées, du simple point de vue historique. Je suis ravie que l'auteure n'ait pas pris parti, et qu'elle ait pris soin de représenter les travers des deux religions.

Dans l'ensemble, c'est une lecture plaisante qui se mène rapidement, mais qui reste sans grand intérêt littéraire. A en juger par les dernières pages, une suite ne devrait pas se faire attendre longtemps. Je ne la guetterai pas.
Lien : http://lililectrice.canalblo..
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Anne Rice est très connue pour son livre Entretien avec un vampire qui fut aussi adapté en film avec Tom Cruise, Brad Pitt et Kristen Dunst, ainsi que ses livres Chroniques des vampires. Mais cette auteur renommée dans le domaine des vampires se tourne à un moment où les histoires de ceux-ci fleurissent en littérature, vers des êtres entourés d'une aura toute aussi mystérieuse : les anges.
Le livre met en scène un jeune tueur de vingt-huit ans broyé par la vie, Toby, et qui met fin à celle des autres avec un sang-froid et une impartialité à vous glacer le sang. Dépourvu de sentiments, d'attaches, il est un jeune homme en pleine errance qui ne trouve une accroche qu'en celui qu'il surnomme l'Homme juste, qui l'a sauvé dix ans auparavant.
La première partie de l'Heure de l'ange est très tournée sur le ressenti de Toby ou Lucky lorsqu'il doit se rendre à Mission Inn : c'est l'entrée d'une action meurtrière dans son quotidien et cela bouleverse ses habitudes. L'explication de son métier est longue et passionnante où le style d'Anne Rice, épuré, est au service de la psychologie de son personnage.
Peu après surgit Malchiah qui va prendre la parole et remplacer Toby dans le rôle de narrateur. le récit est éprouvant, dur et tragique. Enfin, à partir de la moitié de l'Heure de l'ange commence la narration de la mission au Moyen Age de Toby : l'introduction peut sembler un peu trop longue avant qu'Anne Rice introduise enfin le noeud de l'histoire mais elle est nécessaire et se révèle intéressante et capitale pour comprendre au fur et à mesure quel est le véritable rôle de cette aventure, qui, au premier abord, peut paraître étrange.
Toby va vivre une initiation de lui même et rencontrer l'amour familial qu'il n'a jamais connu, il sort transformé de cette aventure où Malchiah incarne en effet très bien le rôle d'ange gardien.
La seconde partie de l'Heure de l'ange a été pour moi la plus captivante et alors que j'ai traîné pour lire les 130 premières pages, j'ai dévoré les 130 suivantes : il y a vraiment une cassure dans l'histoire à partir du moment où on se rend compte du lien qui unit les 130 premières pages au 130 dernières par la mission au Moyen Age. le livre se charge d'autres histoires et l'action devient plus présente face au psychologique (qui ne reste pourtant pas en reste). La deuxième partie est très documentée sur les martyrs juifs et donne au roman toute sa crédibilité.
Bien entendu le livre d'Anne Rice est chargé de références religieuses comme elle en a l'habitude, et c'est d'ailleurs tout autour de ce thème qu'elle construit l'Heure de l'ange, sans pour autant prôner la foi car Anne Rice ne pose rien comme acquis et porte un regard critique sur la religion chrétienne et juive. c'est une histoire qui se révlè profonde et humaine. Elle aborde d'ailleurs la nature humaine et le héros fait à la fois l'apprentissage de lui-même, comme je l'ai déjà dit, mais aussi l'apprentissage des autres au travers de l'amitié.
Anne Rice se glisse parfaitement dans ses personnages en faisant le choix de raconter à la première personne, donnant un ton intimiste au récit. Les descriptions sont précises, permettant une immersion rapide. Enfin, l'ambiance est particulière, le monde semble envahit par la nuit.
Toby est un personnage singulier, immoral mais aussi à la recherche constante de pureté et il exerce son métier avec une esthétique pure, quasi artistique. Il joue du luth, un instrument qu'il affectionne plus que tout, sorte d'extension de lui-même et également seule chose en laquelle il croit et ait confiance (en dehors du mystérieux Homme juste).
Une première rencontre littéraire avec Anne Rice pour moi et j'ai été charmée par l'auteur ;)
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Avant toute chose, je dois vous prévenir : je suis une grande fan d'Anne Rice. J'ai aimé sa saga des vampires, même si je considère que certains tomes sont meilleurs que d'autres.

Aussi, lorsque j'ai vu sur un rayonnage de librairie qu'un nouveau roman était sorti, j'ai sauté sur l'occasion et j'ai dévoré ce livre. Il faut dire qu'il est court et se lit vite, mais...

... quelle déception ! Plus Anne Rice vieillit et plus elle semble envahie par un désir de religion de plus en plus criant. Certes, ce thème n'était pas absent de ses précédents ouvrages, mais la présence qu'elle prend est de plus en plus importante et dévore complètement son roman d'une manière, à mon sens, négative. du reste, l'écriture est assez baclée, mais il s'agit peut-être davantage d'une traduction ratée. Je ne m'avancerai pas plus sur ce sujet.

Néanmoins, ce roman ne manque pas d'idées, loin de là, mais les peurs religieuses d'Anne Rice entraînent le roman vers une apologie de la religion chrétienne et manichéenne, assez désagréable.

En bref, un livre qui se lit mais qui ne restera pas dans les grandes annales de Madame Rice.
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Ce roman me laisse perplexe. J'ai eu du mal à accrocher avec le premier chapitre. Puis le second m'a permis d'y voir plus clair et de mieux comprendre le personnage principal. Seulement la suite n'a été pour moi que mystère. Quel était le projet de l'auteure dans cette oeuvre fictionnelle ? de longs chapitres avant que le personnage principal fasse un bon dans l'histoire et se retrouve au Moyen-Age. Mais même là en lisant je me disais mais pourquoi ? le sens de ce roman me dépasse.
Je pourrais mettre bien moins d'étoiles à ce roman mais je pense que c'est seulement moi qui suis passée à côté. Il me semble important de dire que malgré cela, je l'ai trouvé bien écrit. La prose est facile à lire et concise.
Je ne compte pas lire le tome 2 mais j'avoue être curieuse de savoir où Malchiah mènera Toby...
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Je dois dire avant tout que j'en reviens un peu déçu de ce livre.. Je m'attendais à autre chose, quoi je ne sais pas bien, mais vraiment quelque chose de diffèrent. C'est une déception donc, pourtant j'ai quand même des choses à dire, à remarquer, et des bons points tout de même, ce livre n'est pas une catastrophe loin de là.

Tout d'abord je n'ai rien à redire quand à l'écriture d'Anne Rice, qui nous plonge cependant dans quelque chose de très narratif, dans ce livre là, peu de dialogue pourtant, L'auteure écrit bien, mène sous une bonne forme, son écriture n'est pas simple, tout en n'était pas non plus complexe, bien qu'elle est alourdie par tout le sens qui y est accordé à la religion, bien présente, dirons-nous.

Au début j'ai eu du mal, après cela c'est un peu arrangé, même s'il y a eu d'autre moment ou j'ai encore eu du mal à continuer, sans doute que si je ne m'étais pas imposé de finir ce livre absolument, il aurait trainé, et pas qu'un peu, je l'aurais même abandonné, mais, heureusement je ne l'ai pas fait, ça reste une découverte dans le genre, dans l'auteure aussi, cultisime, et si je ne compte peut-être pas lire la suite de ce roman-ci j'aimerai tout de même voir ce que peut donner le célèbre entretient avec un vampire ou autre histoire vampirique d'Anne Rice, bien connues.

Tout au long du récit, notamment j'ai noté des choses... que je n'ai tout bonnement pas compris. Alors où c'est moi qui ais lu très mal ou alors, il manquait vraiment des explications. Parce qu'il y a des passages qui n'était pas ''expliqués'' ou des choses que je ne pouvais pas comprendre, donc des mystères, tout bonnement, aussi, j'ai noté que beaucoup de choses se contredisaient, en gros, des fois je ne savais plus si Toby était croyant ou non, enfin, une fois une chose était blanche,e t l'autre fois noir, du coup, je voyais gris.

Question personnage, je n'ai pas détesté Toby, mais il a manqué de quelque chose, pour moi. Cependant il peut plaire au fan de Anne Rice, à ce que j'ai comprit il suit quand même les caractéristiques de ces personnages, pour moi il manquera toujours quelque chose, seulement ce n'est pas un mauvais personnage, et dans un genre défini, il peut être aimé par plus d'un. Quand aux autres, si là encore il manque quelque choses pour moi, ils ne sont pas à laisser de côté chacun exprime quelque chose. Côté ange... et bien le seul connu, j'ai trouvé qu'il ne s'expliquait pas trop... et oui, il manque énormément d'explications comme je l'ai déjà dit, et beaucoup de question restent sans réponse, du coup.. je reste un peu dubitative, avec l'impression d'être passé un peu vite sur ce récit, bien que j'en retienne des choses.

Bien que laborieux, ce n'en reste pas qu'il y a de bonnes histoires, partagé en deux sans l'être... on pourrait croire, mais la façon dont Anne Rice a emboité son récit, l'a formé, je trouve ça vraiment intéressant et c'est un des bons points qui m'ont ravie, original, j'ai beaucoup aimé ceci, cette agencement, comment un bloc s'est fondu dans un autre. La fin est ce que j'ai trouvé le mieux. Elle nous ramène dans le présent tout en nous laissant avec une part de passé à ne pas oublier; cette fin tourne tout le récit en morale, et les quatre dernières lignes m'ont surprise, bien étonné je dois avouer, et j'en ai souris, c'est ce qui a le plus éveillé ma curiosité et mon intérêt. Je ne sais que dire ce cette fin, et cette phrase que j'ai adoré.

Donc, le récit se construit ainsi avec trois phase, deux grandes : Présent (avec cependant un Flashback assez long) Passé (Bienvenue au moyen âge) et la petite fin qui nous remet dans le passé.

L'histoire elle même est bien trouvé, seulement je pense qu'elle manque d'étoffe. Dans le présent on découvre Toby, sa vie pas si facile, tout ce qu'il a été tout ce qu'il est devenu, comment en est-il devenu le tueur à l'aiguille, redoutable tueur à gage. Puis entre temps un ange nous tombe du ciel, comme ça, et paf; le Passé. On se retrouve à l'époque médiévale, et au début j'ai été perdue, mais apres un petit Flashback assez long (encore un) on s'intéresse vraiment à l'histoire, qui n'est pas dénudé de sens. Et la fin, je vous en ai déjà parlé, pour moi le meilleur.
L'histoire est aussi chargé de religions, de citations, enfin, voilà, il faut le savoir, moi, n'étant pas trop porté sur la chose, c'était un peu dur à des moments, je n'ai rien contre l'étude des textes religieux, mais là c'était la vie de certain gens dedans cette atmosphère, comment, etc, si d'un point de vue histoire ça avait un intérêt, d'un autre.. et bien ce n'était pas trop ça, du moins, pour moi.
Lien : http://afallofbook.blogspot...
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Je ne manquais jamais de m’aventurer dans le restaurant pour déjeuner. La piazza était magnifique, avec ses hauts murs percés de fenêtres arrondies et de terrasses semi-circulaires ; je sortais le New York Times, que je lisais tout en déjeunant à l’ombre de dizaines de parasols rouges.
Mais l’intérieur du restaurant n’était pas moins attirant, avec ses murs recouverts de carreaux de faïence bleu vif et ses arches beiges artistement peintes de plantes grimpantes. Le plafond à solives figurait un ciel bleu avec des nuages et même de minuscules oiseaux. Les portes de plein cintre à meneaux étaient couvertes de miroirs, tandis que d’autres laissaient passer le soleil venant de la piazza. Le bavardage des gens rappelait le murmure d’une fontaine.
Je me promenais, dans les couloirs sombres, sur des tapis poussiéreux, de styles différents. Je m’arrêtais dans l’atrium devant la chapelle Saint-François, contemplant l’embrasure lourdement sculptée, chef-d’œuvre en ciment moulé de style churrigueresque. Cela me réchauffait le cœur d’entrevoir les préparatifs de mariages, inévitablement luxueux et apparemment interminables, avec leurs buffets dressés dans de l’argenterie sur des tables drapées de nappes autour desquelles s’affairait le personnel.
Je montais jusqu’à la plus haute véranda et, appuyé sur la balustrade en fer laquée de vert, baissais les yeux vers la piazza du restaurant et l’énorme horloge située en face. J’attendais souvent son carillon, qui sonnait tous les quarts d’heure. Je voulais voir ses gros chiffres bouger lentement.
Un élément très puissant m’attire vers l’horlogerie. Quand je tuais quelqu’un, j’arrêtais sa montre. Et que font les horloges, les pendules, les montres, sinon mesurer le temps dont nous disposons pour devenir quelqu’un, découvrir en nous quelque chose dont nous ignorions la présence ?
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La généalogie appartient aux riches dans l'histoire humaine. Les pauvres apparaissent et disparaissent sans laisser d'empreintes. C'est seulement de nos jours, à l'époque des analyse ADN, que le commun se soucie de connaître son bagage génétique; les gens ne savent pas trop quoi faire de cette information, mais une sorte de révolution intime se produit tandis qu'ils cherchent à comprendre quel sang coule dans leurs veines.
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Je levai les yeux, le vis en face de moi et, de nouveau, je vis ses couleurs vives, sa forme distinctes et séduisante. Une lumière, subtile mais évidente, émanait de lui. Je n'en étais pas sûr, mais il me sembla avoir aperçu cette lueur incandescente quand il m'était apparu la première fois à Mission Inn. Sur le moment, n'ayant trouvé aucune explication, je l'avais niée, la considérant tel un produit de mon imagination. Mais à présent je ne la niais plus. Je m'émerveillais. Son visage était rayonnant. Il était heureux. Il semblait presque joyeux. Et je me rappelai que l'on parlait dans les Évangiles de la joie du ciel lorsque vient une âme en pénitence.
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Je relatai tout ce que j'avais fait, pour autant que je me le rappelais. [...]
Puis j'écrivis le titre du live : L'Heure de l'Ange .
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J'étais un homme mort qui traversait le monde dans un corps vivant.
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