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La Malerune tome 2 sur 3
EAN : 9782354080037
313 pages
Mnémos (13/03/2007)
3.84/5   158 notes
Résumé :
La magie destructrice de la Malerune est en train de dévorer le Troisième Monde, et il reste de moins en moins de temps à Ariale, Zétide, Hogo et Lucia pour retrouver la Belle Arcane.
Grâce au peuple des Sylfes, ils découvrent que six runes distinctes, disséminées dans tout le Troisième Monde, doivent être retrouvées et assemblées pour annuler les effets de la Malerune.
De la Forteresse d'Arcadie aux Monts des Lycantes, les compagnons partent alors pou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Je tente depuis avant-hier soir d'avancer sur la fin du tome 2 de la Malerune.
J'espérais que le changement d'auteur donnerait un peu de maturité à tout : autant l'intrigue que les persos.
Hélas, si j'aime le style de M. Robert, il a malheureusement repris trait pour trait l'intrigue et les caractères des personnages esquissés par Grimbert (bien qu'il ait essayé de "mûrir" un peu tout ça : un peu plus de sexualité, les combats sont meilleurs, bref, ce qu'on aime (ou pas) chez cet auteur (moi j'aime, lol)). Total, Lucia est toujours une tête à claques, les personnages sont peu profonds, l'intrigue ultra-linéaire, sans surprise, et vraiment ennuyeuse de mon point de vue, les rebondissements sont répétitifs. J'arrive quelque part, je me fais attaquer, je bats tout le monde, je trouve un bout de ce que je cherche et je repars, et ainsi de suite...
Curieusement, Ariale seule (la soeur la plus jeune mais ô combien plus mature que l'aînée) trouve grâce à mes yeux, mais c'est loin d'être le personnage principal donc ça m'agace.

C'est beaucoup trop simple pour moi, trop jeunesse.
Franchement j'aurais 14 ans j'aurais aimé, je crois, mais là, ça me gonfle. Je vais lâcher l'affaire. J'arrête là sur cette trilogie. C'est pas que c'est pas bon, c'est juste que c'est pas assez creusé pour moi, j'ai l'impression de perdre mon temps. Limite je préfère relire un bouquin que j'ai adoré, hein. C'est peut-être ce que je vais faire, d'ailleurs.
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Grosse déception.

J'avais largement préféré le tome 1 qui avait été rédigé uniquement par Pierre Grimbert, et pas par Michel Robert. Je n'ai pas du tout adhéré au style de ce dernier.

Commençons par le positif, il y en a peu : on en apprend enfin plus sur la magie des runes et ses principes. Aussi, l'apparition d'un troisième camp complexifie l'intrigue, c'est bienvenu. Ariale et surtout Lucia continuent à tabasser des Maunes, ça fait plaisir. Voilà pour le positif.

Maintenant le négatif…

Déjà, la précipitation. Comparé au tome 1, tout devient précipité, mais trop. Les moments d'action/danger/tension sont trop bouclés trop rapidement. Nos héros dégomment les Maunes si vite que c'en est lassant. Je ne me suis jamais inquiétée pour les personnages et je n'ai pas ressenti la même tension et le même suspens que dans le tome 1. de plus, tout devient extrêmement prévisible. L'énorme spoil sur la quatrième de couverture n'aide pas, il gâche toute la surprise en révélant un élément majeur de l'intrigue. de plus, certains événements qui auraient pu être développés et qui sont quand même un peu importants tiennent en un paragraphe…

C'es aussi globalement moins drôle, je ne retrouve pas l'humour subtil de Grimbert. Il y a bien des tentatives, mais franchement c'était bof, ça rendait plus les personnages idiots qu'autre chose.

D'ailleurs, les personnages, dans ce deuxième tome, tombent carrément dans le cliché, surtout Lucia et Zétide, leurs caractères poussés dans les extrêmes. Quand à la romance… je me passerais bien des paragraphes entiers dédiés à la beauté de Lucia et à la puissance de Hogo. Ariale sauve un peu les meubles, mais je me passerais également volontiers des paragraphes dédiés aux pleurs des deux jeunes filles dès qu'on parle de leur papa. Ariale est une enfant, ok, mais Lucia est une guerrière, et elle s'effondre malgré tout dès qu'on aborde le sujet du père, c'est vraiment énervant. Bien sûr, les hommes ne pleurent jamais, vous noterez. Je veux bien qu'on me dise que des enfants pleurent d'inquiétude pour leurs parents, mais est-il vraiment nécessaire que ça se produire genre cinq fois dans le livre ? En tout cas, je n'ai pas aimé la façon dont c'était raconté, ça m'a énervée, et à force de se répéter, ça plombe l'image charismatique/courageuse initiale des deux personnages.

Une autre nouveauté, c'est la violence détaillée. Les « dégâts » infligés aux ennemis sont décrits avec moules précisions. Je veux bien, mais dans ce cas on ne bâcle pas un combat contre une mini armée de Maunes en deux pages. D'ailleurs, les Maunes. Dans le tome 1, Geyor et le Taurin étaient assez impressionnants, j'avais eu ce sentiment d'ennemis redoutables. Ici, ils passent à l'attaque tellement vite, et se font dégommer tellement vite, que j'ai à peine eu le temps de me dire qu'ils sont quand même un peu nuls, surtout le nécromancien. En bref, franchement pas terribles les méchants. J'ajouterai que de manière bien surprenante, malgré des blessures plutôt graves, ça ,ne gène absolument pas nos personnages, que ce soit pour se battre et finir les combats engagés par les femmes, ou pour tracer des runes.

Pour finir, j'ai noté plusieurs choses que j'ai trouvé incohérentes. Un Maune qui tombe dans un fossé alors qu'il a des ailes. Un sorcier qui trace des runes en l'air 5min après avoir perdu un doigts qui s'est mystérieusement arrêté de saigner tout seul. Un nain de la taille d'une fillette qui se trimballe une épée de 96cm. Un Elde qui connait le secret de la Belle Arcane (cf la quatrième de couverture qui explique la révélation majeure du livre, plus besoin de lire le bouquin) et qui, au lieu de prévenir les autorités compétentes, a gardé le secret pendant 5 ans, les laissant patauger dans l'ignorance pendant que les peuples Eldes mourraient au combat ou disparaissent à cause de l'Entropia (dont le peuple du gars en question…).

Tout ça est dommage car l'histoire était très prometteuse.
J'étais contente de me débarrasser du livre après l'avoir fini. Je lirai le tome 3 car je l'ai déjà acheté, et parce que j'ai un minimum envie de connaître la fin, mais je ne recommande pas de se lancer dans cette série, car si le tome 1 est pas mal du tout, j'ai trouvé le tome 2 bof bof, et j'ai peur pour la suite.

Si vous souhaitez découvrir Pierre Grimbert, choisissez une autre de ses séries.
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Ce second tome de la série est signé non plus par Pierre Grimbert, mais par Michel Robert. Ce dernier a donc eu le défi de s'approprier le monde mis en place par un autre, avec ses particularités et ses personnages et d'en continuer l'aventure. Dans ce contexte, le lecteur était en droit de craindre un certain décalage par rapport au premier tome.

Crainte qui s'avère fortement justifiée : ne s'improvise définitivement pas Grimbert qui veut. Michel Robert apporte ses couleurs particulières à l'histoire… qui ne sont pas nécessairement garantes de succès. On le voit ainsi introduire à plusieurs reprises des perversions sexuelles chez les personnages secondaires. Dans la foulée, on liste des allusions à un «paiement nature» par extorsion ainsi qu'à la pédophilie et différentes tentatives de viol envers Lucia, un des personnages principaux. Qu'on attribue ce genre de dépravation chez les créatures venant du Maune (le côté sombre de cet univers) n'est pas si surprenant, mais qu'à cela s'ajoute les attouchements sexuels de la part d'un nain allié manque d'éthique.

Qui plus est, cela se fait dans un contexte irréaliste pour plusieurs raisons : Lucia côtoyait le nain en question régulièrement depuis une semaine dans un contexte paisible et celui-ci n'a pas fait mine de mauvaises manières durant tout ce temps. Par contre, au moment où une urgence se présente, il prend subitement le temps de la traiter à la légère et de lui mettre la main aux fesses (l'air d'y trouver une mystérieuse source d'amusement). Autre élément incohérent, Lucia, qui jusque-là a toujours été présentée comme un personnage au fort caractère, farouche, indépendante et très fière, se laisse tripoter sans même une réplique acerbe et ce, à plusieurs reprises. S'il est vrai qu'en réalité, ce genre d'homme grossier existe sans doute depuis la nuit des temps, caractériser ainsi un allié de passage est un choix douteux qui n'apporte aucune profondeur à l'histoire.

Outre les tendances à connotations sexuelles que Michel Robert apporte dans ce présent tome, on ne peut manquer de remarquer que sa façon de raconter les événements manque de saveur et ce, durant les trois premiers quarts du livre. Bien qu'employant par moment un vocabulaire riche et recherché, l'auteur a tendance à répéter les mêmes mots plusieurs phrases de suite au lieu d'employer des synonymes, ce qui rend la lecture redondante et agaçante.

De plus, les descriptions sont faites sans éclat et les discours manquent de réalisme (à noter que toutes les créatures s'expriment de la même manière : humain, arbre mythique, lycante ou autre). Fait aussi irritant qu'irréaliste, l'auteur, définitivement mal à l'aise avec les intrigues, fait détailler toutes les manigances à ses personnages sombres dès que les personnages principaux subissent un revers de situation.

Autant dire que pour le lecteur, l'ennui règne. Aucune émotion ne traverse entre la plume de Michel Robert et l'oeil du récepteur, qui n'arrive pas du tout à ressentir les aventures des personnages. Heureusement, cela s'améliore dans le dernier quart du tome et justifie l'envie d'amorcer le troisième livre de la série. Ce qui ne signifie pas pour autant que cette partie du livre soit spectaculaire pour autant, car s'y trouve plusieurs faux pas au niveau des idées sans compter les incursions dans le domaine du cliché (ex. : Lucia fait perdre tous les moyens aux hommes si elle détache ses cheveux ou si elle se drape d'une belle robe).

Je ne ferai pas ici la liste de tous les faux pas remarqués (trop long, trop d'informations à révéler sur l'histoire), mais je résume en disant que la plupart de celles-ci sont au niveau de la réaction des personnages : elles ne cadrent pas soit avec la personnalité de ceux-ci (initialement décrite par Pierre Grimbert), soit dans le contexte. L'auteur aurait donc intérêt à mieux approfondir la psychologie des personnages pour les faire parler et agir de façon plus crédible.

Dans ses remerciements publiés en fin de tome, Michel Robert écrit « Mille mercis à toi Pierre (…) Ta collaboration, tes critiques, ton enthousiasme ont été lumineux »… dommage que Pierre Grimbert n'ait pas su, dans ce cas, mieux "éclairer" l'auteur et lui éviter les écueils cités tant dans cette présente critique que dans celles des autres lecteurs...
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Un tome initiatique pour Ariale.

En effet, Ariale est la plus jeune de cette bande. Agée de seulement dix ans, elle démontre depuis le tome 1 une incroyable sagesse, une formidable maturité pour son âge ainsi qu'une farouche détermination, une bonne fougue et une réelle empathie avec le monde qui l'entoure.
Tout au long du Dire des Sylphes, nous la voyons dans son désir d'apprendre la magie. Mais laquelle choisir ? Ce tome vous montrera le sujet de ses réflexions, leur résultat, une partie de son apprentissage, et surtout, comment elle a pu trouver la source de son pouvoir. Nous découvrirons aussi des secrets sur sa famille et comment leur lien avec la nature s'est approfondi.

Un calme avant la tempête ?

Ce qui est délicat avec les seconds tomes d'une trilogie, c'est que nous avons souvent des tomes de transition laissant mûrir l'intrigue pour la laisser éclater au tome final. L'originalité du Dire des Sylphes, c'est que vous alternerez entre moments d'action et moments de paix.

Lorsque vous serez en paix, vous en profiterez pour voyager au sein du Troisième Monde, au milieu de nos aventuriers. Mais vous en profiterez aussi pour voir les liens entre eux s'intensifier d'une manière ou d'une autre, que ce soit dans le drame ou dans les moments d'une franche camaraderie. Lorsque vous serez en action, vous serez tenus en alerte, que ce soit dans la fuite ou dans le combat, abordant chaque aspect à travers les lieux de chacun. Un tome à l'image des runes premières : simple mais complexe à la fois.
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Pour le second volet de la trilogie La Malerune, Michel Robert remplace Pierre Grimbert. Il aborde l'histoire sous un angle un peu plus particulier et choisit une indéniable orientation à connotation sexuelle qui ne s'imposait nullement. Un changement d'auteur qui n'est ni bénéfique ni préjudiciable, le récit étant toujours aussi insipide et sans esprit créatif. Il manque à l'histoire une véritable finalité pour être réellement significative. Michel Robert se perd à son tour en stériles circonvolutions, laissant de côté l'aspect fantastique de son récit au profit de la psychologie nébuleuse de ses personnages esquissés à grands traits, et agissant de façon peu crédible. Un quatuor peu judicieux qui tombe invariablement dans tous les pièges qui lui sont tendus, s'en sort in extremis et résout l'énigme formulée avant de repartir sans réfléchir vers de nouveaux déboires. Lucia est toujours aussi détestable, Hogo toujours aussi incohérent et Zétide, censément être le plus grand mage de l'Aeldo, parfaitement incompétent. Seule Ariale se démarque quelque peu du fait de son enthousiasme et la réelle empathie qu'elle manifeste envers son univers environnemental. Grâce au peuple des Sylfes, qui se réveille soudainement à la réalité, on découvre que non pas une mais six runes distinctes, disséminées dans tout le Troisième Monde, doivent être retrouvées et assemblées pour annuler les effets mortifères de la Malerune. Une stratégie scénaristique insidieuse et bien pratique pour faire durer le suspense et multiplier les aventures. Pour autant, les descriptions manquent là encore cruellement d'éclat comme d'envergure, des combats épineux basculent en un claquement de doigt, le propos manque franchement d'inventivité et les dialogues sombrent inexorablement dans la platitude et la trivialité.
Si on en apprend davantage sur la magie des runes et ses principes fondamentaux, que l'apparition d'une troisième force occulte bouleverse le schéma établi et complexifie l'intrigue, le dire des Sylfes ne relève pas le faible niveau de cette saga simpliste et peu passionnante.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Le lendemain, après un petit déjeuner composé de brioches et de fruits secs, Ariale se rendit chez Luvien pour son entretien. Hogo et Lucia choisirent le gymnase, où ils s'entrainèrent des plus sérieusement. Hogo tenta bien d'initier la jeune femme à la fronde, mais, malgré de patients efforts, il dut renoncer. Lucia n'avait aucune aptitude en la matière. Ils durent se rabattre sur la lutte. Laquelle prit fin lorsque malencontreusement Lucia assena un vigoureux coup de genou dans l'entrejambe de son professeur.
Hogo tomba allongé par terre, les mains plaquées sur son bas-ventre.
Lucia se pencha sur lui, espiègle:
– Eh bien Lycante, pas de pouvoir spécial pour protéger ta virilité?
Hogo poussa un bref grognement et, sans se relever, pivota sur lui-même. De ses jambes tendues, il faucha sèchement la jeune femme derrière les mollets. Celle-ci s'abattit à plat dos sur le tapis, le souffle coupé.
Malgré un bas-ventre qui devait être en feu, le guerrier Lycante sourit:
– Tu disais, Luce?
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"Alors que son premier opposant levait sa lame pour lui asséner un coup de taille, Hogo frappa trois fois de ses bâtons. Fluides comme l'eau vive, ses mouvements étaient trop rapides pour être clairement visibles. Quatre fois, le Goblin fut atteint sans avoir pu porter un seul coup. Le coude droit brisé, la pommette gauche fracturée, le genou droit fracassé, la tempe enfoncée, tel fut l'impitoyable résultat. Chancelant, le guerrier à peau verte tenait à peine debout. D'un coup d'épaule, le Lycante l'envoya bouler dans le lac avant d'avancer sur les deux autres. Ses deux ennemis suivants avaient perdu le sourire. Hogo arrivait au contact. Sans attendre, il feinta à gauche pour partir sur la droite. Le Goblin se dévoila dans une fente en avant, le bras tendu pour percer le ventre du Lycante... qui n'était plus là où il aurait dû être. Le bras du Maûne fut broyé en trois endroits différents. Puis, dans le prolongement de l'attaque d'Hogo, les bâtons s'abattirent sur le torse de son adversaire. Celui-ci hoqueta, cracha, s'étouffa, avant de s'écrouler sur l'herbe raide mort."
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Nimbé d'un halo vert, Zétide apparut. Les Rakins saisirent leurs lances, leurs arcs courts mais leurs traits ricochaient sur le halo défensif du mage. Par contre, les éclairs bleus et rouges qu'il lançait faisaient mouche à chaque fois, brûlant impitoyablement la chair des êtres à peau noire. Le chaman fut appelé à la rescousse par ses frères, et le rugissement de l'aspic couvrit les bruits de bataille. Le duo tenta de repérer Zétide mais la lueur des tentes en train de s'enflammer l'une après l'autre et la fumée provoquée aveuglaient leurs regards.
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- Un dauphin, vous voulez vraiment devenir un dauphin?
- Écoutez, soupira Slissdavidarr, vous ne connaissez rien de moi, de mes espoirs, de mes peines, et je ne vous les conterai pas. Je ne vous demande pas de me comprendre, vous ne le pourriez pas. Laissez-moi le choix de ma vie, c'est tout ce que je demande.
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D'aucuns disent que la terre est à l'origine de toutes choses, mais la mer pourrait également prétendre à ce titre. Certaines légendes prétendent même que l'humanité est sortie de ses flots.
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À l'occasion de la 17e édition des Utopiales à Nantes, rencontre avec Michel Robert autour de son ouvrage "L'agent des ombres. Volume 9, Ruisseaux de sang" aux éditions Fleuve.
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