Les héritiers de Sorcha, tome 2 : A l'heure ou les coeurs s'eveillent

J'ai mis deux étoiles et je suis généreuse... Comme pour le deuxième tome, j'ai dévoré le roman, mais il me laisse sur ma faim.

La partie romance est vite réglée, sans véritable suspense ni rebondissements, bien que la jeune femme soit un peu hésitante sur ses sentiments et la partie "lutte contre le mal" sonne creux. Vu le côté prévisible des livres de Nora Roberts, on sait déjà que la victoire sera pour le troisième tome. du coup, les plans longuement élaborés et les différents affrontements avec l'ennemi sont difficiles à prendre au sérieux, surtout qu'avec leur magie, les blessures se soignent en quelques minutes...
Mais surtout, la lutte ne semble concerné que les descendants de Sorcha : Cabhan est décrit comme maléfique, dangereux et tout ce qu'on veut, mais il ne s'en prend qu'au cercle des six et ne semble pas constituer une vraie menace pour le reste du monde...

Sinon, la plume de Nora Roberts reste légère et facile à lire. Il y a peut-être un peu trop de discours sur le cercle des six, l'amitié qui surpasse tout, la solidarité, le courage, etc, mais cela reste une lecture facile...

Le roman se lit donc rapidement, mais l'intrigue est si peu satisfaisante que j'ai bien failli m'arrêter en cours de route (et je ne sais pas trop pourquoi j'ai poursuivi). Je vais lire le troisième tome, mais je me lance sans enthousiasme, juste désireuse d'avoir le dénouement malgré tout avant de passer à autre chose...

C'est au tour de Connor d'affronter Cabhan, aidé par ses camarades et de la belle Meara.
Les « Trois » seront mise à l'épreuve avant l'affrontement final.

Une suite très ressemblante aux séries de Nora Roberts. L'auteure propose presque toujours des trilogies avec des couples qui forment un groupe uni affrontant une forme maléfique. La série ne déroge pas à la règle et n'est donc pas très originale de ce point de vue là.
J'ai aimé ce deuxième opus parce que j'attends avec impatience avec le troisième entre Fin, le descendant du maléfique Cabhan et Brianna son amour impossible. le truc c'est que j'ai l'impression ce que tout tourne autour de cette fin.
Connor est le frère de Brianna, c'est le fidèle, le loyal, le joyeux... Il n'est pas assez torturé pour moi et il semble bien fade face à son ami Fin qui doit gérer son amour qui hait « son sang ».
Connor est un personnage lisse. On se demande ce qui peut égratigner sa façade. -Je me le demande encore.- Non pas que je n'aime pas les « personnages gentils » mais celui-ci est vraiment vraiment trop fade. Sa romance avec Meara est à son image. Elle est mignonne mais elle manque de piquant. Ils sont amis depuis toujours et il n'y a jamais eu d'ambiguïté. Sachant que le deuxième tome portait sur eux dès le début, je me suis demandée comment l'amour allait naître parce que franchement on ne ressent aucune alchimie entre eux à la lecture du premier livre de la série. La suite ne rattrape pas ce sentiment. Il manque un petit quelque chose pour que j'y crois. D'autant que la plupart des séries de Nora Roberts fonctionnent sous forme de trilogie comme je l'ai dit plus haut. C'est un peu le passage obligé et là pour le coup, j'ai trouvé ça un peu artificiel. J'ai été focalisé sur le couple Brianna/Finn qui a mon sens est la seule vraie romance que l'auteure est travaillé. On sent que ses personnages sortent du lot.
Dommage pour Connor et Meara. Alors certes, il y a de bons moment mais ils ne sont pas mémorables.

- Bref -
J'ai eu le sentiment de devoir lire cette histoire pour apprécier le dernier tome de la série que j'attends avec impatience mais celui-ci m'a semblé être un passage obligé.

Nora Roberts est une auteure prolifique mais ces trilogies montrent qu'elle n'est pas toujours très originale. Ce schéma incontournable sous forme de trois livres me semblent ici superficielle. Je pense qu'elle ne devrait pas s'obstiner à le produire si la matière vient à manquer.

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Ce second tome n'est malheureusement pas à la hauteur de ce que j'attendais. Autant dans le premier, la violence de la rencontre entre le bien (le O'Dwyer) et le mal (Cabhan), était à la hauteur de tous les plus grands romans de magie, autant là... C'est lent, mou et surtout sans aucune surprise.e

Dès le tome 1, je savais que Connor finirait avec la magnifique Meara et à partir de ce moment-là, tout suit un rythme déjà prédéfini.
Dommage... J'aurais aimé beaucoup plus, dans beaucoup de domaine...
On va espérer que le dernier tome soit explosif avec un final où le bien l'emporte... Affaire à suivre dans quelques jours.

Les protagonistes poursuivent toujours leur lutte contre les forces du mal. Dans ce tome, nous nous intéressons à Connor et Meara, amis d'enfance. Un peu plus de mal à accrocher avec ce duo. Attendrissant certes mais quelque chose n'allait pas. Peut être le fait que le dévoilement de leurs sentiments soit si soudain. L'évidence est telle que l'on peut brûler les étapes mais on nous perd en route. On tourne vite en rond côté aventure et sentiments dans ce tome-ci. le mélange très présent de fantastique, d'animaux mystiques et de liens d'amitié nous ravie par ailleurs.

J'avais adoré le premier tome : A l'aube du grand amour. Autant dire que ce second tome est un tantinet en dessous du premier. Soit je commence à me lasser des romans de Nora Roberts, soit je suis passée bien à côté de ma lecture.

On retrouve notre bande d'amis quelques mois après la défaite du sorcier maléfique Cabhan. Après leur avoir porté un coup et affaibli, le groupe cherche un moyen de le vaincre définitivement. Connor, le fauconnier et frère de Branna reçoit la visite de ses aïeux dans ses rêves. Les enfants de Sorcha la Ténébreuse se cachent de Cabhan et cherchent eux aussi un moyen de le vaincre. Mais Cabhan est loin d'avoir dit son dernier mot et met tout en oeuvre pour blesser Connor et sa meilleure amie Meara. (suite sur le blog)
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