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Critique de okka
Et voilà l'aventure des Chevaliers d'Émeraude se finit ici avec ce dernier tome : Irianeth.
J'ai cru qu'ils n'y arriveraient jamais jusqu'à là-bas comme ça durait le temps passé sur Enkidiev. Entre l'invasion terrestre, aérienne, souterraine, les Chevaliers et leurs alliés étaient fort fatigués occupés à les repousser.
Abnar a repris plus d'importance dans son rôle qu'on a compris qu'il n'était pas simple d'être un immortel au service des dieux.
Liam et sa relation avec l'araignée géante m'ont ému par leur ouverture d'esprit et gentillesse.
Kira et sa seconde vie dans le passé avec Lazuli, a été un moment fort en émotion également. Surtout quand on sait que Sage vivait encore, mais dans le futur. Mais chacun nous donne une leçon d'amour selon les circonstances ce qui nous ouvre l'esprit.
Natratch malgré son handicap, qu'il ne l'a jamais arrêté fait preuve d'une fougue surprenante avec Stellan. Ça aide beaucoup d'avoir comme ami un dragon volant qui l'aime et le protège.
On en apprend beaucoup plus sur la forêt interdite au sud d'Enkidiev, là où c'est terré Jasson avec sa famille de peur de les voir mourir. Des sentiments difficiles à gérer en tant que Chevalier en temps de guerre, car pèse sur lui le poids de la honte, de la lâcheté du désespoir... mais il n'avait pas envie de se battre pour risquer de tout perdre et être anéanti s'il découvrait sa famille assassinée par l'empereur. (Sentiments que j'avais déjà entendus de la part de policier, militaire.)
On apprend également d'autres secrets de Fan de Shola dans sa famille et son nouveau rôle depuis la mort d'Akuretari dans le tome précédent.
Hélas pour Wellam, il ne veut pas quitter le bassin dans le monde des immortels, qui lui permet de suivre la guerre, au détriment de sa propre pérennité.
Asbeth pourrait avoir la palme du plus dur à cuire. Seul sorcier de l'Empereur face aux deux cents Chevaliers, malgré ses nombreuses tentatives, réussites échecs sa persévérance et sa ruse mettront beaucoup de bâtons dans les roues.
Ce tome fut riche en rebondissements, en émotions, en secrets dévoilés, en heureux événements amoureux et d'autres plus tristes dû à la guerre. Mais et surtout, ce fût une excellente suite et fin. Avec quand même un pincement au coeur de quitter cette grande famille de Chevaliers, d'humains, d'Elfes, de Fées, de Dieux et de tous ceux qu'on a vu grandir et partager leur existence à travers la plume d'Anne Robillard 🙂
J'ai cru qu'ils n'y arriveraient jamais jusqu'à là-bas comme ça durait le temps passé sur Enkidiev. Entre l'invasion terrestre, aérienne, souterraine, les Chevaliers et leurs alliés étaient fort fatigués occupés à les repousser.
Abnar a repris plus d'importance dans son rôle qu'on a compris qu'il n'était pas simple d'être un immortel au service des dieux.
Liam et sa relation avec l'araignée géante m'ont ému par leur ouverture d'esprit et gentillesse.
Kira et sa seconde vie dans le passé avec Lazuli, a été un moment fort en émotion également. Surtout quand on sait que Sage vivait encore, mais dans le futur. Mais chacun nous donne une leçon d'amour selon les circonstances ce qui nous ouvre l'esprit.
Natratch malgré son handicap, qu'il ne l'a jamais arrêté fait preuve d'une fougue surprenante avec Stellan. Ça aide beaucoup d'avoir comme ami un dragon volant qui l'aime et le protège.
On en apprend beaucoup plus sur la forêt interdite au sud d'Enkidiev, là où c'est terré Jasson avec sa famille de peur de les voir mourir. Des sentiments difficiles à gérer en tant que Chevalier en temps de guerre, car pèse sur lui le poids de la honte, de la lâcheté du désespoir... mais il n'avait pas envie de se battre pour risquer de tout perdre et être anéanti s'il découvrait sa famille assassinée par l'empereur. (Sentiments que j'avais déjà entendus de la part de policier, militaire.)
On apprend également d'autres secrets de Fan de Shola dans sa famille et son nouveau rôle depuis la mort d'Akuretari dans le tome précédent.
Hélas pour Wellam, il ne veut pas quitter le bassin dans le monde des immortels, qui lui permet de suivre la guerre, au détriment de sa propre pérennité.
Asbeth pourrait avoir la palme du plus dur à cuire. Seul sorcier de l'Empereur face aux deux cents Chevaliers, malgré ses nombreuses tentatives, réussites échecs sa persévérance et sa ruse mettront beaucoup de bâtons dans les roues.
Ce tome fut riche en rebondissements, en émotions, en secrets dévoilés, en heureux événements amoureux et d'autres plus tristes dû à la guerre. Mais et surtout, ce fût une excellente suite et fin. Avec quand même un pincement au coeur de quitter cette grande famille de Chevaliers, d'humains, d'Elfes, de Fées, de Dieux et de tous ceux qu'on a vu grandir et partager leur existence à travers la plume d'Anne Robillard 🙂
