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Critique de MouffetteMasquee
Résumé : 1995, Paris. À quinze ans, Alex a quitté le domicile familial et vit dans la rue. Pourquoi ? Pour la rejoindre, Elle. Et laisser le pire derrière eux...
Paris, 24 décembre, de nos jours. Comme souvent le soir, le commissaire Amaury Marsac se rend dans le square du Vert-Galant pour décompresser de sa journée et des horreurs auxquelles il a été confronté. Il faut dire qu'avec son travail, il a son lot de meurtres, agressions et violences en tout genre. Malheureusement, ce soir-là, son havre de paix a été souillé. Il y découvre le cadavre d'un homme, éventré et abandonné dans une benne.
Au cours de son enquête, les chemins de Marsac et Alex vont se croiser, faisant remonter les pires souvenirs.
Mon avis : J'ai découvert la plume talentueuse et pleine de poésie d'Elsa Roch avec son livre précédent « le baiser de l'ogre ». Et j'avais été totalement conquise ! Avec ce quatrième tome, mon engouement s'est encore renforcé.
L'intrigue se déroule sur deux axes temporels liés, car le premier suspect est Alex, l'adolescent fugueur de 1995. On va ainsi le suivre dans sa fuite en même temps que l'enquête suit son cours. Si les événements se mettent en place à leur rythme, celui-ci accélère de plus en plus, jusqu'à l'urgence d'arrêter ce tueur impitoyable.
Les personnages sont très profonds, empathiques et passent même au premier plan. Marsac, homme seul et un peu triste, mais flic bienveillant. J'ai beaucoup aimé Alex, le découvrir de l'adolescent courageux à l'homme fracassé par un passé bien trop lourd. On s'interroge sur la frontière entre le Bien et le Mal, la résilience, la tortuosité de l'âme humaine, la force de l'Amour. Je me suis douté de certaines choses, mais le plus important ici, c'est la réflexion qui découle de ces pages : on ne ressort pas totalement indemne.
Paris, 24 décembre, de nos jours. Comme souvent le soir, le commissaire Amaury Marsac se rend dans le square du Vert-Galant pour décompresser de sa journée et des horreurs auxquelles il a été confronté. Il faut dire qu'avec son travail, il a son lot de meurtres, agressions et violences en tout genre. Malheureusement, ce soir-là, son havre de paix a été souillé. Il y découvre le cadavre d'un homme, éventré et abandonné dans une benne.
Au cours de son enquête, les chemins de Marsac et Alex vont se croiser, faisant remonter les pires souvenirs.
Mon avis : J'ai découvert la plume talentueuse et pleine de poésie d'Elsa Roch avec son livre précédent « le baiser de l'ogre ». Et j'avais été totalement conquise ! Avec ce quatrième tome, mon engouement s'est encore renforcé.
L'intrigue se déroule sur deux axes temporels liés, car le premier suspect est Alex, l'adolescent fugueur de 1995. On va ainsi le suivre dans sa fuite en même temps que l'enquête suit son cours. Si les événements se mettent en place à leur rythme, celui-ci accélère de plus en plus, jusqu'à l'urgence d'arrêter ce tueur impitoyable.
Les personnages sont très profonds, empathiques et passent même au premier plan. Marsac, homme seul et un peu triste, mais flic bienveillant. J'ai beaucoup aimé Alex, le découvrir de l'adolescent courageux à l'homme fracassé par un passé bien trop lourd. On s'interroge sur la frontière entre le Bien et le Mal, la résilience, la tortuosité de l'âme humaine, la force de l'Amour. Je me suis douté de certaines choses, mais le plus important ici, c'est la réflexion qui découle de ces pages : on ne ressort pas totalement indemne.
