Même si la perspective de mourir seule, sans le sou et sans même un chat, peut faire flipper quelques-unes d’entre nous, je pense qu’en ce qui me concerne, j’arriverai à assurer sans problème. Comme j’ai un vécu quasi homérique du célibat, je ne sais même pas ce que c’est que de vivre une liaison sérieuse, à l’exception d’une expérience malheureuse et de quelques passades ici ou là qui se sont toutes conclues, à des degrés divers, par l’échec et le désarroi.
A dire vrai, je ne m’en étais jamais vraiment inquiétée jusqu’à aujourd’hui. J’ai toujours été convaincue qu’un jour, le destin me guiderait vers l’homme qu’il me faut, sans trop savoir comment.