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Michel Launay (Éditeur scientifique)
EAN : 9782080701176
628 pages
Flammarion (04/01/1999)
3.5/5   305 notes
Résumé :
«Savez-vous quel est le plus sûr moyen de rendre votre enfant misérable ? C'est de l'accoutumer à tout obtenir : car ses désirs croissant incessamment par la facilité de les satisfaire, tôt ou tard l'impuissance vous forcera malgré vous d'en venir au refus ; et ce refus inaccoutumé lui donnera plus de tourment que la privation même de ce qu'il désire...
Heureux, lui ! C'est un despote ; c'est à la fois le plus vil des esclaves et la plus misérable des créatur... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Rousseau semble avoir quelques petits comptes à régler avec l'éducation. D'un côté, il y a les enfants qui sont gentils et spontanés, version naine du bon sauvage ; de l'autre côté, il y a les adultes corrompus et dégénérés qui semblent n'avoir pas d'autre raison d'exister que celle de détruire les gentils petits enfants. Rousseau n'est pas crédible. de deux choses l'une : ou bien il n'a pas remarqué qu'il n'était plus un enfant, ou bien il croit être bien supérieur à la masse parasitaire des adultes qu'il critique. Qui sait si les enfants aimeraient vraiment être dressés à la manière préconisée par Rousseau ?


Le but du jeu est simple : prenez un gamin et lâchez-le dans la nature, il fera bien quelque chose et ce ne sera pas pire que ce qu'il aurait fait si vous étiez intervenu. Mon fils ! je veux que tu sois libre maintenant et à jamais ! C'est une injonction contradictoire à rendre schizophrène le premier venu...


Heureusement, on a bien compris que Rousseau s'énerve surtout contre les adultes moroses, corsetés et sans curiosité qu'il voit évoluer autour de lui. Alors, sans doute qu'il s'est imaginé que si ces adultes-là avaient reçu une éducation un peu moins coincée, lui-même serait devenu un peu plus sociable ? Cet Emile est surtout un manifeste offert à quiconque souhaite lâcher un peu la bride des conventions et renouveler son regard sur les manières supposées de bien faire.
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J'ai entamé la lecture de ce livre enthousiaste, je l'ai achevée las.

Rousseau avait développé, dans le discours sur les sciences et les arts par exemple, l'idée que l'humanité se divisait entre les hommes vertueux et ceux dépravés par la société. Emile ou de l'éducation se propose de comprendre comment former au mieux un homme dès le plus jeune âge. L'objet de Rousseau est de proposer une éducation qui institue l'homme de la nature dans la société, et le prépare à la condition humaine.

Il imagine alors avoir la charge de l'éducation d'un nouveau né, qu'il nomme Emile et dont il va rapporter l'éducation. Chaque âge est abordé, suivant la chronologie du développement d'Emile. Impossible de faire l'inventaire des recommandations, conseils, imprécations fournis par l'auteur... Mais d'une manière générale, est à prescrire tout ce qui dénature les enfants (l'emmaillotage des nourrissons par exemple les prive de faire l'expérience de leur corps et du mouvement) et à encourager tout ce qui leur accorde la liberté. Rousseau écrit ainsi ces lignes : « le premier de tous les biens n'est pas l'autorité, mais la liberté. L'homme vraiment libre ne veut que ce qu'il peut, et fait ce qui lui plaît. Voilà ma maxime fondamentale. Il ne s'agit que de l'appliquer à l'enfance, et toutes les règles de l'éducation vont en découler ».

Mais ce livre m'a également profondément lassé. La longueur inutile de l'ouvrage. Les digressions fréquentes qui hachent la lecture (la première partie de la profession de foi du vicaire Savoyard m'a ennuyé, la seconde réjoui). Les changements dans le style m'ont également gêné. L'auto-fiction romanesque où Rousseau imagine trouver à Emile sa promise, Sophie, n'a pas manqué de me faire éclater de rire pas mal de fois.

Sa vision de la femme n'est pas des plus modernes. Il lui donne un caractère qui sied, j'imagine, aux Zemmourophiles, mais qui aujourd'hui n'a plus guère de sens. Un exemple de sa poésie : « le désir ne vient pour [les femmes] qu'avec le besoin ; le besoin satisfait, le désir cesse ; elles ne repoussent plus le mâle par feinte, mais tout de bon : elles font tout le contraire de ce que faisait la fille d'Auguste ; elles ne reçoivent plus de passagers quand le navire a sa cargaison. »

Enfin, les deux choses qui m'ont le plus déplu dans ce livre n'ont finalement pas trait à l'ouvrage mais à l'auteur.

La première, c'est le caractère pénible de Rousseau, que lui-même définit mieux que quiconque : « Ce qu'il y avait en moi de plus difficile à détruire était une orgueilleuse misanthropie, une certaine aigreur contre les riches et les heureux du monde, comme s'ils l'eussent été à mes dépens, et que leur prétendu bonheur eût été usurpé sur le mien. La folle vanité de la jeunesse, qui regimbe contre l'humiliation, ne me donnait que trop de penchant à cette humeur colère, et l'amour-propre, que mon mentor tâchait de réveiller en moi, me portant à la fierté, rendait les hommes encore plus vils à mes yeux, et ne faisait qu'ajouter pour eux le mépris à la haine ». L'absence de circonspection et de tendresse pour son lecteur, l'en font juger.

La seconde, on essaie de l'oublier, on n'y pense plus, puis on voit revenir Rousseau fielleux contre les erreurs des hommes, donc on y repense : il a donné ses cinq enfants à l'Assistance Publique, et de cela, il n'en parle pas. Cela grève inexorablement le fonds de son commerce qui est la transparence du coeur. Témoin éloquent, cette phrase qu'il ose écrire : « Mais que fait cet homme riche, ce père de famille si affairé, et forcé, selon lui, de laisser ses enfants à l'abandon ? Il paye un autre homme pour remplir ces soins qui lui sont à charge. Âme vénale ! Crois-tu donner à ton fils un autre père avec de l'argent ? Ne t'y trompe point ; ce n'est pas même un maître que tu lui donnes, c'est un valet ».
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Comment éduquer son enfant ? Si de nos jours les livres pseudo-méthodiques en rapport à cette problématique remplissent les étagères des librairies de quartier, le livre précurseur et de référence n'est rien de moins que l'Émile de Rousseau. Dans cet ouvrage conséquent, le philosophe, à contre-courant de la pensée de l'époque, considère qu'il importe de laisser à l'enfant une certaine liberté au regard de sa nature. L'enfant étant naturellement bon, il ne faut point le pervertir par l'éducation. C'est ainsi que Rousseau enfante de la pointe de sa plume Émile, à qui il donne la parfaite éducation.

Toutefois, l'auteur explique bien qu'il s'agit là d'une méthode d'éducation évolutive, qui doit s'adapter à chaque enfant. Elle est ainsi universellement particularisable. Elle consiste donc à laisser la nature éduquer l'enfant d'elle-même. Il ne s'agit pas de faire d'Émile quelqu'un d'exceptionnel mais un apprenant en puissance, heureux d'être lui-même et non quelqu'un d'autre. C'est d'ailleurs pour Rousseau, l'objectif de toute éducation : « être heureux d'être soi-même plutôt qu'un autre. » L'éducation d'Émile se déroule donc de sa naissance à ses 20 ans.

En accord avec les exigences genevoises dans laquelle Rousseau a lui-même été élevé, l'éducation d'Émile passe par la contrainte, mais en vue d'un plus grand bien, le bonheur. L'auteur donne alors des exemples plus ou moins concrets comme le fait de lui apprendre sensiblement l'utilité des choses. C'est une façon de le lui faire retenir pour le long terme. C'est ainsi qu'il se perd volontairement avec son élève en forêt pour lui apprendre l'utilité de l'astronomie, qui permet de se repérer grâce aux ombres. Concernant la croyance religieuse, Rousseau éduque son élève à travers le discours rapporté du vicaire savoyard : discours intéressant néanmoins long et parfois flou qui rompt avec le rythme du récit.

Quoiqu'il en soit, Rousseau va de maximes en maximes au fil des pages : « Loin d'avoir des forces superflues, les enfants n'en ont pas même de suffisantes pour tout ce que leur demande la nature ; il faut donc leur laisser l'usage de toutes celles qu'elle leur donne et dont ils ne sauraient abuser. »
Il faut toutefois reconnaître que, malgré une méthode intéressante, Rousseau a une vision dépassée et sexiste de l'éducation des filles dont le rôle ne consisterait qu'à être une bonne mère et une bonne épouse. Ces longueurs sexistes, parfois hors-à-propos ne sont pas isolées ainsi que l'illustre la fin du livre portée essentiellement sur les idées du Contrat Social. L'auteur ne se tient ni à un style fixe, ni à un un thème précis. le livre aurait ainsi pu être deux fois moins imposant et tout aussi pertinent par rapport au thème de l'éducation. Toutefois, quand bien même Rousseau propose une éducation qui semble tenir la route, il semble oublier que le développement d'un enfant ne dépend pas uniquement de son éducateur. L'enfant s'éduque aussi par ses rencontres, ses amis à l'école, les instituteurs et tout autre personne qu'il est amené à croiser au cours de sa vie. Est-il vraiment bon qu'un enfant ne noue de liens qu'avec une seule personne – assavoir son éducateur – jusqu'à l'âge de ses 20 ans ? Quel enfant vit ainsi de toute façon ? Rousseau ne propose-t-il pas une méthode d'éducation utopiste fondée sur une relation dyadique exclusive ? Il semble ignorer qu'un enfant peut subir de mauvaises -comme de bonnes- influences.

En conclusion, tout n'est pas à jeter dans l'éducation rousseauiste, mais plus que jamais, il ne faut croire que l'éducation ne dépend que de l'éducateur. Faire apprendre sensiblement l'utilité des choses à l'enfant semble être une bonne idée, mais est-ce là suffisant pour l'isoler des influences néfastes du monde extérieur ? Cette méthode du XVIIIè siècle est-elle encore valable de nos jours ? Que penserait Rousseau d'internet, du cinéma, de la télévision, des jeux vidéo? Lui, qui abhorrait le théâtre.
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Jean-Jacques Rousseau, un des grands philosophes du Siècle des Lumières, ou
le XVII eme Siècle a publié: Emile, ou, L' éducation en 1762 .
Emile est un personnage fictif dont se sert le philosophe pour faire avancer
ses arguments sur l' éducation idéale ou parfaite que doit avoir une personne
en précisant que cette dernière est un homme et non une femme !
Ce traité je l' ai lu plusieurs fois et dois dire que c' est une lecture mitigée à
chaque fois . Je ne doute pas que Rousseau est un grand philosophe mais là
où le bat blesse c ' est comment convaincre les gens de l' efficacité et la
perfection de cette éducation si lui le théoricien de cette éducation lui
même à abandonner sa progéniture c' est à dire ses cinq enfants à
l' hospice des enfants abandonnés ! C' est vraiment un dilemme ! Pour
que le discours du philosophe soit crédible et admissible, il faut qu' il expli-
-que cette attitude et, après tout cela et avec une justification logique et
rationnelle, ce discours sur l' éducation sera recevable .

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J'ai lu ce livre un peu par hasard il y fort longtemps. Ma femme fréquentait alors l'Ecole Normale d'institutrices (cette institution, qu'on eut bien tort de supprimer, existait encore. J'eus la curiosité de le lire malgré ma mauvaise opinion générale de son auteur. A vrai dire, il ne m'en reste pas grand chose et je ne peux honnêtement le critiquer à proprement parler.
Alors, me direz-vous, pourquoi en parler ?
Il y a quelques semaines, je visitai pour la deuxième fois le beau château de Chenonceau, mon château de la Loire préféré. A cette occasion, je fis quelques lectures complémentaires sur son histoire et appris ainsi qu'au XVIII siècle il avait été la propriété du fermier général Claude Dupin, ami des arts et des lettres et protecteur de Jean -Jacques Rousseau, qui vécut quelques temps au château en qualité de secrétaire de son bienfaiteur, mais aussi, et c'est là que les choses deviennent intéressantes, de précepteur de son fils, Jacques -Armand. On a peu de détails sur l'éducation que cet Emile reçut de son maître ni sur le métier manuel que ce dernier lui fit certainement apprendre en vertu de ses principes. On peut cependant supposer qu'il ne lui plut pas et ne tira d'ailleurs guère de profit des autres leçons que Rousseau lui prodigua, puisque, devenu adulte, il se lança dans une vie de débauches et de spéculations hasardeuses au point de mettre en danger la fortune de son père. Ce dernier dut s'adresser deux fois à la justice, je vous passe les détails. Emprisonné deux fois, ses parents le firent finalement libérer. Déporté à l'île de France (aujourd'hui île Maurice) il y décéda en 1767.
Entre temps, Rousseau avait publié l'Emile. Quel rapport ?
Eh bien, selon Saint -Paul,(entre autres) "vous reconnaîtrez l'arbre à ses fruits".
Et on dit aussi que celui qui n'est pas capable d'enseigner enseigne comment enseigner.
On peut aussi rappeler que Rousseau n' exerça pas en revanche ses talents de pédagogue sur les cinq enfants qu'il eut de sa servante, Marie -Therese Levasseur, puisqu'il les mit tous les cinq aux Enfants Trouves. Il s'en expliqua dans son plaidoyer pro domo, "Rousseau juge de Jean-Jacques" où il déclara qu'il avait ainsi entendu leur faire donner un "état honnête". En effet les malheureux enfants n'eurent guère l'occasion de mal tourner, l'espérance de vie dans ces établissements étant, au mieux de quelques mois.
Je ne peux noter le livre, ne l'ayant pas (ou si peu) critiqué sur le fond.
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critiques presse (1)
LeMonde
29 juillet 2011
Rompant avec des siècles d'indifférence, de mépris, de défiance et d'autoritarisme, l'Emile, ou De l'éducation, le traité rédigé par Rousseau, marque indiscutablement la naissance de l'enfant dans la pensée moderne.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (105) Voir plus Ajouter une citation
Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins.
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Notre manie enseignante et pédantesque est toujours d'apprendre aux enfants ce qu'ils apprendraient beaucoup mieux d'eux-mêmes, et d'oublier ce que nous aurions pu seuls leur enseigner. Y a-t-il rien de plus sot que la peine qu'on prend pour leur apprendre à marcher, comme si l'on en avait vu un qui, par la négligence de sa nourrice, ne sût pas marcher étant grand ? Combien voit-on de gens au contraire marcher mal toute leur vie, parce qu'on leur a mal appris à marcher !
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Après avoir tâché de former I'homme naturel, pour ne pas laisser imparfait notre ouvrage, voyons comment doit se former aussi la femme qui convient à cet homme.
Voulez-vous toujours être bien guidé, suivez toujours les indications de la nature. Tout ce qui caractérise le sexe doit être respecté comme établi par elle. Vous dites sans cesse : les femmes ont tel et tel défaut que nous n'avons pas. Votre orgueil vous trompe ; ce seraient des défauts pour vous, ce sont des qualités pour elles ; tout irait moins bien si elles ne les avaient pas. Empêchez ces prétendus défauts de dégénérer, mais gardez-vous de les détruire. Les femmes, de leur côté, ne cessent de crier que nous les élevons pour être vaines et coquettes, que nous les amusons sans cesse à des puérilités pour rester plus facilement les maîtres ; elles s'en prennent à nous des défauts que nous leur reprochons. Quelle folie ! Et depuis quand sont-ce les hommes qui se mêlent de l'éducation des filles? Qui est-ce qui empêche les mères de les élever comme il leur plaît ? Elles n'ont point de collèges grand malheur ! Eh ! plût à Dieu qu'il n'y en eût point pour les garçons ! Ils seraient plus sensément et plus honnêtement élevés. Force-t-on vos filles à perdre leur temps en niaiseries ? Leur fait-on malgré elles passer la moitié de leur vie à leur toilette, à votre exemple? Vous empêche-t-on de les instruire et faire instruire à votre gré ? Est-ce notre faute si elles nous plaisent quand elles sont belles, si leurs minauderies nous séduisent, si l'art qu'elles apprennent de vous nous attire et nous flatte, si nous aimons à les voir mises avec goût, si nous leur laissons affiler à loisir les armes dont elles nous subjuguent ? Eh ! prenez le parti de les élever comme des hommes ; ils y consentiront de bon cœur. Plus elles voudront leur ressembler , moins elles les gouverneront, et c'est alors qu'ils seront vraiment leurs maîtres. (GF, p.524)
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Nous naissons, pour ainsi dire, en deux fois : l’une pour exister, & l’autre pour vivre ; l’une pour l’espece, l’autre pour le sexe. Ceux qui regardent la femme comme un homme imparfait ont tort, sans doute ; mais l’analogie extérieure est pour eux. Jusqu’à l’âge nubile, les enfans des deux sexes n’ont rien d apparent qui les distingue ; même visage, même figure, même teint, même voix, tout égal : les filles sont des enfants, les garçons sont des enfants ; le même nom suffit à des êtres si semblables. Les mâles en qui l’on empêche le développement ultérieur du gardent cette conformité toute leur vie ; ils sont toujours de grands enfants, & les femmes, ne perdant point cette même conformité, semblent, à bien des égards, ne jamais être autre chose.
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Vivre, ce n'est pas respirer, c'est agir; c'est faire usage de nos organes, de nos sens, de nos facultés, de toutes les parties de nous-mêmes qui nous donnent le sentiment de notre existence.
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*RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE* : « Neuvième promenade », _in Les confessions de J.-J. Rousseau,_ suivies des _Rêveries du promeneur solitaire,_ tome second, Genève, s. é., 1783, pp. 373-374.
#JeanJacquesRousseau #RêveriesDuPromeneurSolitaire #Pensée
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