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Critique de Luria
When life gives you lemon, read Rainbow Rowell.
Alors voilà, j'ai besoin de légèreté. Je ne sais pas pourquoi, c'est sans doute ça la vie, mais ces derniers temps, tout s'accumule, le tout du côté sombre-de-la-force-on-a-des-cookies. Bref, je suis ici pour parler du livre pas de ma vie qui part en miettes.
Oui donc. J'avais -J'ai- besoin de légèreté alors j'ai commandé deux Rainbow Rowell. Celui ci et A un fil.
J'avoue qu'au début de ce roman j'ai eu un peu de mal, je trouvais ça un peu plat, naïf, gentillet (on voit bien que c'est son premier ai-je pensé). J'ai eu aussi des sérieux doutes quant aux talents de la traductrice. Sérieux traduire cette géniale phrase des Smash'Pump' en « malgré toute ma colère, je ne suis qu'un rat dans une souricière » a de quoi faire peur. A-t-elle massacré tout le bouquin comme l'accroche Citrouillesque ?
Et puis au fil des mots, des phrases, j'ai retrouvé toute la génialitude de Rainbow Rowell. le fait de rendre attachante une histoire d'amour. D'ajouter mille et une références qui font de certaines phrases, paragraphe des pépites au milieu du rien. Comme la vie peut être finalement. Et cet humour qui égrène ses pages et rend ses personnages, pourtant très stéréotypés au départ, très attachants.
Et donc en refermant ce roman, je me suis demandé si Rainbow Rowell avait des grandes mains et si j'aimerais danser avec elle à un mariage. Je me suis dit aussi qu'un livre c'était comme un gars que l'on ne connaît pas, un peu grand et gauche qui tient une pancarte « free hugs ». On se sent un peut con de se jeter dans ses bars, mais au final ça fait du bien alors pourquoi pas.
Alors voilà, j'ai besoin de légèreté. Je ne sais pas pourquoi, c'est sans doute ça la vie, mais ces derniers temps, tout s'accumule, le tout du côté sombre-de-la-force-on-a-des-cookies. Bref, je suis ici pour parler du livre pas de ma vie qui part en miettes.
Oui donc. J'avais -J'ai- besoin de légèreté alors j'ai commandé deux Rainbow Rowell. Celui ci et A un fil.
J'avoue qu'au début de ce roman j'ai eu un peu de mal, je trouvais ça un peu plat, naïf, gentillet (on voit bien que c'est son premier ai-je pensé). J'ai eu aussi des sérieux doutes quant aux talents de la traductrice. Sérieux traduire cette géniale phrase des Smash'Pump' en « malgré toute ma colère, je ne suis qu'un rat dans une souricière » a de quoi faire peur. A-t-elle massacré tout le bouquin comme l'accroche Citrouillesque ?
Et puis au fil des mots, des phrases, j'ai retrouvé toute la génialitude de Rainbow Rowell. le fait de rendre attachante une histoire d'amour. D'ajouter mille et une références qui font de certaines phrases, paragraphe des pépites au milieu du rien. Comme la vie peut être finalement. Et cet humour qui égrène ses pages et rend ses personnages, pourtant très stéréotypés au départ, très attachants.
Et donc en refermant ce roman, je me suis demandé si Rainbow Rowell avait des grandes mains et si j'aimerais danser avec elle à un mariage. Je me suis dit aussi qu'un livre c'était comme un gars que l'on ne connaît pas, un peu grand et gauche qui tient une pancarte « free hugs ». On se sent un peut con de se jeter dans ses bars, mais au final ça fait du bien alors pourquoi pas.
