Le dernier Rufo a toujours les mêmes qualités et les mêmes défauts que ses anciens livres... Toujours de très bonne idées (on peut citer bien-sûr l'"université des métiers") mais encore une fois les cas sont survolés, on s'intéresse avant tout aux très (trop) bons élèves et aux enfants qui ont des difficultés scolaires. Y a t-il un danger à faire des livres de plus de 170 pages? je ne crois pas que ce sujet lasse étant donné qu'il passionne autant de gens et qu'il y a beaucoup à dire...
Dommage donc qu'un pédopsychiatre résumé le cas d'un enfant a un paragraphe maigre, car il n'apporte pas grand intérêt une fois qu'on a fait le tour de son histoire et de son problème... on passe à autre chose.
J'aimerais aussi dire que ce n'est pas parce qu'un élève n'aime pas le format fermé du milieu scolaire qu'il s'épanouira en milieu professionnel car la France en grande majorité dénigre souvent cet apport en "sang neuf" dans nos rangs alors qu'ils apportent un point de vue nouveau, des nouvelles technologies rarement maîtrisés par ceux qui sont déjà en poste... L'expérience pour ma part est trop sacralisé par notre société et les autres qualités sont minimisées comme si on voulait les occulter tout en continuant à en profiter!
C'est aussi cela qui mine les jeunes, et les stages, l'alternance et autre n'y changerons rien.
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Un Rufo prêté par Nath. Lu en diagonale, la partie sur le collège et le lycée. Comme beaucoup de livre de Mr Rufo, beaucoup exemples, c'est parlant. Pas de passage marquant dans ce bouquin.
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Un livre qui laisse sur sa faim, le sujet est survolé, certaines idées sont caricaturales (sur les enfants dit précoces ou EIP en particulier). Au final, on n'en retire pas grand chose. Dommage.
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LE TEMPS DE LA MATERNELLE
Il n'est pas inquiétant qu'à la maternelle un enfant apprenne moins vite qu'un autre. Il importe avant tout qu'il soit intégré dans un groupe et vive bien le fait d'être séparé de ses parents.
Entre 3 à 6 ans, il considère que son papa est le plus fort et sa maman la plus belle. Cette "lune de miel" durera trois ans environ et prendra fin à l'entrée à l'école élémentaire, pendant laquelle le désir d'apprendre l'emportera sur le désir d'aimer. Toutefois, durant cette période, il pourra trouver chez ses enseignants une image identificatoire sur laquelle s'appuyer et qui le déliera un tant soit peu de la relation oedipienne.
C'est en sortant de sa famille que l'on part à la conquête du monde, et la rencontre avec l'autre dans ses différences, nous enrichit.
A cet âge aussi, il acquiert la notion du temps -et, avec elle, la mémoire durable de ce qu'il vit, des histoires qu'on lui raconte, des voyages qu'il peut se repasser mentalement. C'est grâce à la temporalité qu'il s'approprie sa pensée. Il prend aussi conscience de la mort et de notre finitude, ce qui le rend très sensible, vers 6-7 ans, au vieillissement de ses parents. La peur de la maladie lui fait rejeter le tabac, par exemple.
Il faut aussi éviter de considérer cet enfant comme très compétent, cela l'écartera du groupe. Attention à ne pas singulariser les écoliers particulièrement intelligents, car ce qui importe à cet âge, c'est plus l'adaptation que les performances.
J'ai toujours pensé que les relations sexuelles précoces étaient un signe de fragilité, et non d'affirmation de soi.
"Le livre des délices", les plats préférés des célébrités !
#JoelDicker #LeLivreDesDélices #Cuisine
Dans une mise en page soignée et illustrée de photographies à la mise en scène élégante, ce livre de recettes pas comme les autres nous fait pénétrer les cuisines secrètes de grandes personnalités, de Philippe Geluck à Bernard Pivot en passant par Patrick Poivre d'Arvor.
Platon philosophait pendant son Banquet, Rabelais fit de son Gargantua un goinfre légendaire, Alexandre Dumas classa méthodiquement ses plats préférés dans son Grand dictionnaire de cuisine… Mais les célébrités d'aujourd'hui, qu'aiment-elles ? Comment mangent-elles ? Préfèrent-elles des recettes élaborées ou les menus plus simples ? Et surtout, pourquoi ? Souvenir d'enfance ou récente découverte, recette de famille ou popote improvisée ?
Trente personnalités dévoilent ici leur plat préféré et disent leur relation à cette recette fétiche. Passés à la casserole experte du chef exécutive Benjamin Brial, les plats ont été revisités dans l'espoir de vous donner envie de vous mettre en cuisine et de déguster ces mets si appréciés par Joël Dicker, Kad Merad, Sempé, Marcel Rufo, Tatiana de Rosnay, Bernard Pivot et bien d'autres !
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