J'avais été mise en bouche par
Bois Mort, mais frustrée, je sentais l'auteur comme un sauteur en hauteur qui stopperait toujours net devant le fil, reculerait, n'allait pas au bout de son élan. Mais j'attribuais aussi cela à la traduction, que je sentais hésitante. Traduction et texte complètement libérés et décomplexés dans
Cripple Creek, un pur régal d'après moi. Et puis
Salt River, comme si Sallis nous avait fredonné le début d'une mélodie, soufflé quelques paroles, et à nous de faire le reste. Je préfère finalement le prendre comme cela ce livre.
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