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Blake et Mortimer tome 24 sur 29
EAN : 9782870972427
64 pages
Blake et Mortimer (25/11/2016)
3.75/5   143 notes
Résumé :
Nos héros les plus british mènent l'enquête sur le plus british des dramaturges : William Shakespeare of course !
Mais qui est-il vraiment ?
Entre l'Angleterre et l'Italie, Philip Mortimer et Elizabeth, la fille de Sarah Summertown, résolvent des énigmes plus ardues les unes que les autres.
Entre-temps, Francis Blake enquête sur une bande organisée de Hyde Park.
Une course contre la montre et des révélations en série : un très grand Blake... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (39) Voir plus Ajouter une critique
3,75

sur 143 notes
Être ou ne pas être, telle est la question… L'autre grosse question concerne la paternité des textes de William Shakespeare.

Est-ce bien lui qui les a écrit ou était-ce un autre ? Comment ce petit campagnard a-t-il pu avoir accès à la culture nécessaire pour écrire toutes ses oeuvres ? Mystère !

Cet album portant sur Shakespeare va tenter de résoudre cette énigme au plus vite, car le chrono tourne et le délai de 100 ans touche à sa fin.

Le chrono tourne peut-être, mais nos amis n'ont pas l'air d'être speedés plus que ça. Ils auraient plutôt tendance à appliquer le Keep Calm et à rester zen en toutes circonstances…

C'est bien, mais pour le lecteur, l'impression de course contre la montre est loupée, le tout manque de dynamisme, c'est mou, fort mou et pour donner un peu d'action, on ajoute des agressions dans le parc et un évitement d'accident avec un camion. Mouais, peu mieux faire, non ?

Autre problème : la présence d'Olrik ! Nom de Zeus, on ne pouvait pas le laisser à la niche, celui-là ?? Il est en prison, mais ce méchant éternel et increvable arrive encore à tirer les ficelles et franchement, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase : il ne sert à rien, il n'apporte rien à l'histoire qui aurait pu se suffire à elle-même sans lui, mais avec des nouveaux méchants, comme ceux qui se trouvent déjà dans le récit.

En plus de ne pas servir à grand-chose (si ce n'est nous montrer sa tronche), au niveau de ses expressions, elles sont fades, notamment celle où il est en colère… Tout en retenu, sa colère, on est loin de celles de Joe Dalton.

Les grandes perdantes de cet album sont les femmes. Où sont les femmes ? (comme le chantait si bien Patrick Juvet). Oui, elles sont présentes, mais pas vraiment mises en valeur comme elles auraient pu l'être (même si, à l'époque où est censé se dérouler l'action, elles n'avaient pas vraiment de visibilité).

L'érudite en Shakespeare se tord la cheville, se déchirant un ligament à Hyde Park et hop, on remplace la vioque de 50 ans par sa fille qui ne servira pas à grand-chose non plus, si ce n'est à accompagner Mortimer dans son enquête.

Oui, elle sert juste l'accompagner. J'ai eu l'impression durant ma lecture que le barbu aurait pu se démerder tout seul comme un grand garçon. Ah pardon, j'allais oublier qu'elle lui servira de moteur de recherche sur Shakespeare ! Google avant l'heure ou Siri (au choix).

Les dessins sont toujours en lignes claires, comme les anciens dessins d'Edgar P. Jacobs et les couleurs sont fort claires, elles manquent de peps (je me plaignais dernièrement des couleurs trop criardes de "L'inconnue de Tower Bridge").

À propos de Tower Bridge, il y a un bel anachronisme dans le récit : on voit Tower Bridge, dont le début de la construction date du 21 juin 1886 (et dure 8 ans) pour illustrer le récit qu'un personnage fait de la Grande puanteur de Londres de juillet 1858. Oups.

L'autre chose qui m'ennuie toujours dans les récits, ce sont les méchants qui arrivent à s'introduire partout et à écouter aux portes ou derrière des panneaux amovibles. C'est d'un lassant ! Nos amis racontent tout et les autres écoutent, tranquillement. Vieux comme le monde et trop souvent usité.

Anybref, cet album a tout de même des bons côtés : l'explication du pourquoi du comment William Shake, petit provincial sans culture, a réussi à écrire des pièces aussi brillantes, des textes aussi éclairés. Ne connaissant rien de l'histoire du dramaturge, je ne saurais me prononcer quand à la pertinence des explications présentées, mais vu ainsi, elles me plaisent bien.

L'enquête a l'air assez compliquée, lorsqu'on lit les énigmes, mais nos protagonistes arrivent toujours à tout trouver et ce, assez facilement.

Hélas, le récit manque de dynamisme et peut-être d'un chrono au-dessus de certaines cases afin de mieux illustrer le temps qui passe et l'échéance qui se rapproche afin de ne pas donner cette impression de fausse tranquillité.

Un album qui aurait pu être beaucoup mieux avec plus de rythme, plus de femmes fortes avec un vrai rôle et pas celui d'accompagnatrices. Un album où Blake est fort en retrait puisque c'est Mortimer qui a le beau rôle, où les méchants sont discrets comme un coup de poing dans la gueule (on les repère de suite dans les cases) et manquent de charisme.

Bref, pas le meilleur album, mais pas le pire non plus… À lire sans prise de tête.

PS : notons au passage un petit hommage au capitaine Haddock (qui lui au moins avec de la verve, des colères monumentales et plus qu'une seule expression sur le visage, bref, moins raide que nos Blake & Mortimer).

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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A Venise un bateau va venir percuter un hôtel particulier interrompant ainsi la soirée du marquis Da Spiri. L'incident clos le diner reprend pour être derechef interrompu par un son sinistre de cloche cette fois. Les invités et le marquis vont découvrir une cachette secrète dans les caves leur promettant un jeu de piste pour trouver la dernière oeuvre du réputé William Shakespeare.
A Londres, pendant ce temps, le capitaine Blake du MI5 est confronté à une bande de jeunes dépouillant les riches dans les parcs de la capitale.

Cette fois c'est Yves Sente qui est aux manettes du scénario. J'avoue que j'avais décroché des Blake et Mortimer depuis quelques tomes. Esotérisme, science fiction m'avaient lassée. Mais devant les bonnes critiques de ce tome, j'ai rouvert un épisode de la vie de nos héros so british.
Nous avons le droit à une chasse au trésor où les enigmes amènent à d'autres indices et cetera... Blake est plus absent pour laisser Mortimer en compagnie d'une jolie jeune fille découvrir la vie cachée du grand dramaturge. Bien sur des ennemis, certains bien connus d'autre non, vont venir leur mettre des batons dans les roues.
Si le début est un peu poussif et que l'intrigue peine à se mettre en place, on finit rapidement par accrocher. Et l'ensemble est agréable à lire.

Pour les dessins nous avons cette ligne claire aux couleurs un peu fades qui sont indissociables des Blake et Mortimer.
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Un tome qui se lit bien, mais qui a des problèmes de scénario et de rythme.

J'attends toujours avec impatience les nouvelles aventures de mes Britanniques (enfin, d'un Britannique et d'un Écossais) préférés. Mais depuis L'Onde Septimus, j'ai pas mal d'angoisse, car ce tome était très décevant. Bref.
Cet album est franchement sympa et je l'ai lu avec plaisir. Cependant, il souffre de pas mal de problèmes de scénario, qui s'ils ne gâchent pas l'histoire ne lui donne pas la force qu'il aurait pu avoir.

Le premier problème vient du rythme. Nous sommes dans un contre-la-montre, mais à aucun moment nous ne sentons la tension ou la tonicité que ce type de situation doit produire. Les personnages ne sont pas « speed ». Cette situation de calme malgré le temps qui passe est accentuée par le dessin (j'en parle après). Je pense que des chronomètres dans le haut des casses auraient été pouvoir donner de la vitesse (un peu comme dans le dernier tome du Secret de l'Espadon lors de l'attaque de la base secrète) à ce contre-la-montre bien mou.
Ce problème de dynamisme se retrouve aussi dans le dessin. Quand je vois la scène de colère d'Olrik à la fin de l'Affaire du collier et sa colère à la fin de tome, j'ai envie de rire ! Que c'est mou ! Franchement, on change le dialogue de la bulle, on ne voit pas que le colonel est en colère. Les images sont assez statiques, et ce de plus en plus au fur et à mesure que l'intrigue avance. Ce qui devrait être le contraire, car nous sommes dans un contre-la-montre.
Toujours sur le dessin, il y a parfois des manques de subtilités… comment que ça se voit que le mec, là, derrière, il est louche !
Ensuite, il y a des choses inutiles qui n'apportent rien à scénario. Je pense principalement à l'évitement de l'accident avec Mortimer et Elizabeth qui ne sert à rien, si ce n'est peut-être de l'action et du dynamisme dans un moment de creux… ce qui ne démontre que plus le problème de rythme de ce tome.

J'avoue une certaine déception pour les personnages féminins. Certains tomes ont très bien réussi à les intégrer, mais là je trouve qu'on tombe dans des clichés limites sexistes. Genre la nana, Sarah, qui se fait une entorse en courant pour fuir, ce qui 1) la met en position de femme à sauver, 2) permet de la remplacer par une demoiselle (la fille de cette dernière) (parce que oui, une femme de presque cinquante dans le feu de l'action, ça craint un peu…). D'autant plus désagréable que Sarah a déjà prouvé sa valeur d'aventurière dans d'autres tomes.
Ladite demoiselle, Elizabeth, est une tentative un peu ratée de faire une femme de caractère. Elle ne sert pas à grand-chose dans l'intrigue – elle a beau être une experte de Shakespeare, on a l'impression que Mortimer pourrait se démerder tout seul. de plus, ce n'est pas parce qu'elle sait faire du karaté (oui, du karaté) qu'elle est une femme « forte », surtout qu'elle n'apporte rien.
Cependant, on pourra reconnaitre au scénariste d'avoir fait un effort pour introduire plusieurs femmes dans le paysage même si elles n'ont pas de très grands rôles. Elizabeth et sa mère ne subissent pas de complexe de la schtroumpfette.

Le scénario met en place un « autre méchant ». Ce n'est pas mal dans le principe, car il permet de donner un rôle à Blake (qui, soyons honnêtes, est souvent délaissé pour Mortimer). Cependant, ce « nouveau méchant » n'a pas le charisme d'Olrik qui, même en prison, est capable de mener ses affaires presque à bien.
À ce sujet, j'espère que les prochains tomes réussiront à renouveler notre colonel préféré. Il est grand temps que monsieur se remette à ses propres affaires, comme dans la Grande Pyramide, et plus forcément d'oeuvrer pour les autres.

La recherche des origines sur Shakespeare est une idée sympa. En plus, elle permet de mettre en scène des affaires anglo-anglaises que j'ai bien aimées et, surtout, les petites guerres des clubs de soutiens, des sociétés de protections, etc. Et de voir comment un « simple » différend peut amener à certaines extrémités plus pour ne pas perdre la face plus que pour mettre en lumière la vérité. Bref, j'ai aimé cet aspect de ce récit.

Je suis bien avoué que je trouve la couverture dégueulasse ! Sérieux ! Elle est nulle de nulle ! C'est une des cases d'une planche, avec des couleurs et un rayon de soleil en plus ! Grosse déception ! Il n'y a eu aucun effort à ce niveau là.

Je pense que ce tome, qui n'est pas mauvais à mon sens, manque d'ambition et surtout de travail. Il y a un goût d'inachevé et de superficiel qui vole sur cet album.

Un tome avec pas mal de défauts, mais que j'ai lu tranquillement. Il n'est pas mauvais, mais aurait pu être beaucoup mieux. Je ne suis pas sûre qu'annualisation des albums de Blake et Mortimer soit une bonne chose si ces derniers sont bâclés.
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Le duo Sente-Juillard nous propose un nouvel album de Blake et Mortimer et s'intéresse cette fois-ci à au testament d'un certain (ou incertain) William Shakespeare. L'ambiance et le thème sont radicalement différents du Bâton de Plutarque, puisque nous sommes placés après les aventures indiennes et africaines des deux compères.

Nous retrouvons ici des personnages (et de nouvelles têtes) qui ont déjà été croisées par le passé, sans oublier quelques personnages devenus historiques : Olrik, Sharkey, Freddy, le chef de la police londonienne, l'adjoint de Blake.

L'album nous propose beaucoup de voyages marqués… par des grèves ! Cette petite touche de réalisme est assez amusante. D'autant qu'elle s'appuie sur d'autres nouveautés : ainsi Olrik intrigue à distance et pour cause ! L'originalité semble d'ailleurs être ici volontaire et assumée.

L'intrigue s'apparente à une course poursuite ésotérique ayant pour thème l'oeuvre du grand dramaturge en nous offrant une interprétation assez originale de sa vie et de son oeuvre. Les retours vers le passé, s'ils n'apportent pas grand-chose demeurent appréciés. L'ambiance est ici assez étrange et ne cadre pas vraiment avec la série. Pourtant, le pari est réussi et l'on suit cet album avec grand plaisir. La course contre la montre donne ici une orientation plus dynamique, rapide. L'accélération est d'autant plus agréable que les textes sont moins longs qu'il n'y parait.

Les dessins sont toujours aussi bons. L'on est dans l'ambiance avec le dépaysement en plus. Londres, Venise, Ravenne servent ici de villes principales mais quelques intermèdes viennent apporter quelques variations (ainsi une course poursuite en plate campagne).

Le scénario ne brille certes pas par sa complexité mais sa mise en scène est plaisante. Les adeptes de la première heure se sentiront peut-être déroutés, mais l'introduction du théâtre permet ici de découvrir un album original. Certes, il n'est pas exceptionnel, mais cela reste tout relatif au vu de la qualité des derniers opus.
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Ce tome de Blake et Mortimer propose comme souvent deux lieux distincts pour l'intrigue permettant de mettre en valeur les deux héros.

D'un côté Blake cherchant à mettre fin aux délits commis par une bande qui détrousse en plein Londres les gens de la bonne société. Ces riches sommités commettent l'erreur de se balader nuitamment dans des lieux peu fréquentés. Les truands sont du genre vicieux, adeptes de la canne qui s'abat sur leurs victimes, et ils sont très bien informés.

De l'autre, un incident qui conduit les invités à un sélect repas dans un palais vénitien à être confrontés dans les sous sols humides à une momie, porteuse d'un grand mystère.

Quel mystère me direz-vous ? Sans entrer dans le détail, disons que les auteurs ont choisi de faire le tour complet et détaillé des thèses qui depuis plus d'un siècle et demi remettent en cause la paternité des oeuvres de William S. (poète et dramaturge anglais du XVI éme siècle pour ceux qui ne l'avaient pas encore reconnu), et veulent trouver la personnalité qui se cachait derrière l'acteur.
Les rebondissements du récit tournent beaucoup autour des différentes hypothèses. Et pour tout dire sont assez poussifs.
Cela sent le scénario construit à partir d'un essai sur la question.

L'intrigue ne brille pas par son dynamisme et c'est bien dommage. Car les dessins restent dans la continuité de cette série mythique et Venise est un décor qui aurait pu être mieux exploité.
Cette épisode fait un peu dans la facilité.
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critiques presse (2)
Sceneario
06 décembre 2016
Cette nouvelle aventure est une très bonne lecture que je vous recommande. Juillard & Sente y font, comme toujours, du très bon travail !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Lexpress
24 novembre 2016
Un ratage magistral.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
- Un gentleman ne s'adresse pas ainsi à une jeune fille, jeune homme. D'abord, il se présente !
- Oh ! Mi scusi, Signore... Je m'appelle Luigi. Je ne parlais pas à la donzella, Signore, mais... à votre magnifique Ferrari.
- Ha ! Ha Ha ! Je ne suis pas certaine que ce soit moins vexant, mais c'est en tout cas très amusant. Nous sommes en Italie, il n'y a pas de doute !
Commenter  J’apprécie          150
En cette fin de soirée d’août, une agréable fraicheur prend sa revanche sur le soleil qui, toute la journée, a frappé Londres sans ménagement. Dans Kensington Gardens, du haut de son piédestal de bronze, même Peter Pan semble se réjouir de l'arrivée de la nuit.
Non loin de là, sur Bayswater Road, les membres de la Diplomats of London Society, se quittent après avoir célébré l'arrivée en poste de leur nouveau confrère allemand.

Donnerwetter ! Foilà une folle soirée d’accueil que je ne suis pas près d'oublier !
Je n'ai pas fu le temps passer ! Je fais encore me faire...me faire ...? Ach ! Comment dites-fous ?...

"Se faire sonner les cloches", cher Hans.
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-Comme on se retrouve!
-Il ne me semble pas que nous ayons été présentés, mais je déduis de votre irruption que vous n'avez reçu aucune éducation valable en la matière.
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Né le 23 avril 1564 et, comme moi, d'obédience catholique, il était le troisième enfant de Johannes Shake, gantier prospère et bailli de Stratford, et de Mary Arden, de petite et lointaine noblesse.
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- Oscar : Erreur, père ! Vous allez mourir dans une minute. Juridiquement je deviendrai aussitôt le dernier descendant [...]
- Lord Sandfield : Par saint George ! Tu es mon fils, Oscar ! Tu ne vas tout de même pas...
- Oscar : Fais vite, Dickie ! Cela devient pénible...
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Videos de Yves Sente (36) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Yves Sente
Thorgal est une série de bande dessinée belge d'heroic fantasy et de science-fiction, sur fond de mythologie scandinave, créée par Jean van Hamme au scénario et Grzegorz Rosiski au dessin, débutée en 1977 dans le Journal de Tintin, puis éditée en album par les Éditions du Lombard.
Entre 2007 et 2014, la série est scénarisée par Yves Sente à la suite de la décision de van Hamme d'arrêter de scénariser la plupart de ses séries. Il diversifie la bande dessinée en créant trois séries parallèles, intitulées Les Mondes de Thorgal, centrées sur le passé du héros ou sur ses compagnons. Sente est par la suite remplacé par Xavier Dorison4, mais ce dernier quitte la série après seulement un album, en raison de conflits scénaristiques. Il est remplacé par Yann, alors scénariste de deux des trois séries parallèles. En 2018, c'est Grzegorz Rosiski qui annonce son départ de la série et son remplacement par Fred Vignaux.
Après l'arrêt de deux des séries Les Mondes de Thorgal, une nouveau spin-off est lancé en 2023. Sous le nom Thorgal Saga, il réunit des histoires uniques réalisées par différents artistes.
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