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EAN : 9782080721662
157 pages
Flammarion (15/02/2003)
3.35/5   52 notes
Résumé :
En 1671, le départ pour la Provence de sa fille - la comtesse de Grignan- met Mme de Sévigné au désespoir. Alors, pour combler l'absence, elle entre avec elle en correspondance comme on entre en religion.
Elle lui raconte tout, les plus hauts faits comme les plus anecdotiques, les plus graves comme les plus légers: la guerre de Hollande, le procès de Foucquet, le suicide de Vatel, l'incendie chez un voisin ou encore la dernière coiffure en vogue à Paris.
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Une critique à chaud alors que je viens à l'instant de refermer le livre: ce fut un véritable plaisir de plonger au coeur de ce 17ème siècle par l'intermédiaire des fameuses Lettres de Mme de Sévigné à sa fille, la comtesse de Grignan, partie vivre en Provence.
Dans chacune de ses lettres, la marquise fait part à sa fille bien-aimée de ses états d'âme, elle lui raconte aussi bien les derniers ragots que les grands événements tels que le procès de Foucquet, elles discutent de mode, d'enfants, des voisins, des activités de l'une et l'autre.
Le lecteur s'enrichit ainsi énormément de tous ces détails, apprend aussi que le courrier était distribué 2 fois la semaine et...tiens donc! que parfois les lettres ou les colis se perdaient! Bref, rien n'a changé, ou du moins pas grand chose, ces Lettres sont finalement d'une modernité incroyable.
Un petit mot sur la collection Etonnants Classiques (GF Flammarion): les Lettres sont regroupées selon des thématiques et chacune d'elle est précédée de quelques explications sur le contexte d'alors. Des précisions bien utiles. Un dossier en fin d'ouvrage présente d'autres écrits épistolaires de différentes époques.
C'est donc un livre à la portée de tous que je recommande vivement!
Ne serait-ce que pour se délecter à la lecture de ces courriers écrits dans un français à couper le souffle...

PS: j'ai adoré le passage où pour expliquer la nouvelle coiffure à la mode à Paris, Mme de Sévigné expédie à sa fille une poupée qu'elle a faite coiffer de cette manière!
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Marie de Rabutin-Chantale, plus connue sous son nom de mariée, Madame de Sévigné, est l'une des plus grandes épistolières française de l'époque (si ce n'est la plus grande). Ses lettres sont souvent étudiées dans les structures scolaires ; mais les amateurs de bons mots sont aussi ravis de lire le très grand nombre de lettres écrites par Madame de Sévigné.

La majeure partie des lettres de cette chère dame sont adressées à sa fille, devenue comtesse de Grignan, dans le sud de la France, en Provence. La correspondance avec sa fille va durer plus de 25 ans, avec un débit de deux à trois lettres envoyées par semaine. Une correspondance volumineuse, qui va être rendue public par la petite-fille de Madame de Grignan. Bien que les éditions Larousse n'aient publiées qu'une infime partie des lettres écrites, on y voit quand même nettement l'amour maternel débordant, presque excessif qu'exprime Madame de Sévigné à l'encontre de sa fille.
Il y a peu de temps, j'ai eu l'honneur de pouvoir lire un ouvrage regroupant des lettres d'artistes et/ou de personnages célèbres qui écrivaient à leur maman. le livre s'intitule Lettres à ma mère ; il est plein d'amour, et pourrait vous intéresser.
Dans le cas de Madame de Sévigné, les lettres d'amour maternels sont assez délicates à écrire. D'un côté, elle veut ardemment écrire son amour à sa fille. Mais d'un autre, elle veut éviter un trop grand épanchement lyrique et redoute d'importuner sa fille en en disant trop. C'est là qu'on voit son talent d'écriture : elle va user de précautions et de tournures oratoires pour ne pas tomber dans le pathétique. Ainsi, l'humour et le burlesque vont être pleinement utilisés par cette charmante dame, ainsi que l'auto-dérision sur soi-même.

Mais la richesse des lettres de Madame de Sévigné est sans doute contenue dans son style d'écriture. Dans une seule lettre, de nombreuses informations sont présentes. On a tout d'abord les sentiments maternels qui apparaissent à chaque correspondance, mais nous avons aussi des nouvelles de la cour et de la vie à Paris (la mère habitant Paris, elle informe des actualités quotidiennes sa fille habitant la Provence). On trouve aussi une certaine dimension religieuse atténuée, avec un langage religieux couplé au romanesque, ce qui désacralise les passages bibliques "Nous vous aimons en vous, et par vous et pour vous". L'art de la louange à sa fille est très présent dans les lettres, tout comme l'art du persiflage mondain, qui mène en jeu la satire.
Vraiment, tout le talent de cette épistolière réside dans sa capacité à écrire. Une fois les règles et codes de l'époque absout, elle laisse place à son talent et à sa qualité d'épistolière pour rédiger de magnifiques lettres.

Bien que les lettres de Madame de Sévigné soient constituées d'éléments hétéroclites (par exemple elle met sur le même plan des réflexion profonde face aux petites histoires de la cour), le fil rouge de ses lettres est incontestablement l'amour maternel qu'elle témoigne à sa fille. Par simple curiosité, lisez au moins une lettre de cette épistolière ; le maniement des mots est imppecable et l'écriture est tellement jolie... C'est un pur régal de lire ces lettres.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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Marie de Rabutin-Chantal épouse Henri de Sévigné en 1644, le couple a deux enfants, une fille et un garçon. Mais la noblesse ne permet pas d'éviter la mort, c'est ce qui arrivera au Marquis lors d'un duel à l'épée. On comprend donc pourquoi sa femme est très attachée à ses enfants.
Le 4 février 1671 la fille de Madame de Sévigné qu'elle aime plus que tout est devenue comtesse de Grignan après son mariage et part vivre en Provence. Affligée par ce départ la marquise semble organiser sa vie autour de la correspondance qu'elle lui adresse.

Ces lettres du 17ème siècle ont l'intérêt d'être tout à la fois une chronique familiale, une gazette de la ville, de la province et de la Cour voire un journal intime.
On croise des personnes lettrées comme Madame de Lafayette ou La Rochefoucauld mais aussi des scènes dignes de Molière comme Madame de Sévigné l'écrit.

S'il s'agit du témoignage d'une époque et de ses moeurs, ces lettres montrent aussi une mère étouffante et possessive vis à vis de sa fille alors que ce n'est pas le cas pour son fils, sujet aux déconvenues. Elle répète qu'elle aime plus sa fille qu'elle-même et sa tendresse excessive devient affligeante d'autant plus que sa correspondance est rythmée de deux à trois lettres par semaine.
Je trouve aussi que la marquise De Sévigné semble plus préoccupée par la mode dépassée du chocolat que par les conditions de vie des nourrices de sa petite-fille, noblesse oblige. Pour autant, le langage tout en finesse et simplicité qu'elle utilise dans ses lettres traduit bien ses sentiments.


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Alors,....Comment vous dire ? d'abord, peut on se permettre de critiquer les lettres de Madame de Sévigné ? Ben oui, on peut !
L'intérêt de ce genre de lecture est moins l'apport littéraire que l'apport historique.
En effet, Madame de Sévigné n'est pas Zola, ses lettres sont souvent mièvres (limite Harlequin) et ses "papotes" de café avec sa fille sont un peu lourdes.
De plus, le style est très "vieux français ampoulé" et ça n'aide pas la compréhension de cette vaste correspondance;

Par contre, ce qui m'a poussé à lire ces lettres, c'est l'humour dont Madame de Sévigné peut faire preuve, notamment lorsque ses lettres sont citées dans tel ou tel autre ouvrage. Et on retrouve bien ce coté un peu caustique de sa personnalité, par exemple, lorsqu'elle nous parle du passage au bucher de la Poison.

Autre intérêt de ce type de littérature, c'est, évidemment, les faits historiques. C'est regarder l'histoire sous un autre prisme que de lire les lettres de la Comtesse.

Ce que je déplore dans la version que j'ai lue est l'absence de contextualisation. En effet, j'aurais préféré une espèce de version "décryptée" de ces lettres, je pense qu'elles permettraient mieux de comprendre l'histoire en ayant les rappels historiques, le contexte. Ici, on est plongés dans une vaste correspondance et nous ne comprenons pas toujours à qui cela s'adresse, pourquoi, et quel était le contexte politique du moment.

Une lecture intéressante quoique fastidieuse.
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Lundi 15 décembre 1670-Avez vous entendu la nouvelle ?

"Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus incroyable, la plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu'à aujourd'hui, la plus brillante, la plus digne d'envie ; enfin une chose dont on ne trouve qu'un exemple dans les siècles passés : encore cet exemple n'est-il pas juste ; une chose que nous ne saurions croire à Paris, comment la pourrait-on croire à Lyon ? une chose qui fait crier miséricorde à tout le monde ; une chose qui comble de joie madame de Rohan et madame d'Hauterive ; une chose enfin qui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ; une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être pas faite lundi. Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ; jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent. Madame de Coulanges dit : Voilà qui est bien difficile à deviner ! c'est madame de la Vallière. Point du tout, madame. C'est donc mademoiselle de Retz ? Point du tout ; vous êtes bien provinciale. Ah ! vraiment, nous sommes bien bêtes, dites-vous : c'est mademoiselle Colbert. Encore moins. C'est assurément mademoiselle de Créqui. Vous n'y êtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire : il épouse, dimanche, au Louvre, avec la permission du roi, mademoiselle, mademoiselle de mademoiselle, devinez le nom ; il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! ma foi jurée ! Mademoiselle, la grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur Mademoiselle, petite-fille de Henri IV, mademoiselle d'Eu, mademoiselle de Dombes, mademoiselle de Montpensier, mademoiselle d'Orléans, Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de Monsieur. "

Mme de Sévigné à Mr de Coulanges
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus incroyable, la plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu’à aujourd’hui, la plus brillante, la plus digne d’envie ; enfin une chose dont on ne trouve qu’un exemple dans les siècles passés : encore cet exemple n’est-il pas juste [1] ; une chose que nous ne saurions croire à Paris, comment la pourrait-on croire à Lyon ? une chose qui fait crier miséricorde à tout le monde ; une chose qui comble de joie madame de Rohan et madame d’Hauterive[2] ; une chose enfin qui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ; une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être pas faite lundi. Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ; jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent. Madame de Coulanges dit : Voilà qui est bien difficile à deviner ! c’est madame de la Vallière. Point du tout, madame. C’est donc mademoiselle de Retz ? Point du tout ; vous êtes bien provinciale. Ah ! vraiment, nous sommes bien bêtes, dites-vous : c’est mademoiselle Colbert. Encore moins. C’est assurément mademoiselle de Créqui. Vous n’y êtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire : il épouse, dimanche, au Louvre, avec la permission du roi, mademoiselle, mademoiselle de mademoiselle, devinez le nom ; il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! ma foi jurée ! Mademoiselle, la grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur[3], Mademoiselle, petite-fille de Henri IV, mademoiselle d’Eu, mademoiselle de Dombes, mademoiselle de Montpensier, mademoiselle d’Orléans, Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de Monsieur. Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vous-mêmes, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu’on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer ; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
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Imaginez-vous une tête blonde partagée à la paysanne jusqu'à deux doigts du bourrelet: on coupe ses cheveux de chaque côté, d'étage en étage, dont on fait de grosses boucles rondes et négligées, qui ne viennent pas plus loin qu'un doigt au-dessous de l'oreille; cela fait quelque chose de fort jeune et de fort joli, et comme deux gros bouquets de cheveux de chaque côté. Il ne faut pas couper les cheveux trop court; car comme il les faut friser naturellement, les boucles qui en emportent beaucoup ont attrapé plusieurs dames, dont l'exemple doit faire trembler les autres. On met les rubans comme à l'ordinaire, et une grosse boucle nouée entre le bourrelet et la coiffure; quelque fois on la laisse traîner jusque sur la gorge.
[...]
Je ferai coiffer une poupée pour vous envoyer.
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Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus incroyable, la plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu'à aujourd'hui, la plus brillante, la plus digne d'envie ; enfin une chose dont on ne trouve qu'un exemple dans les siècles passés : encore cet exemple n'est-il pas juste ; une chose que nous ne saurions croire à Paris, comment la pourrait-on croire à Lyon ? une chose qui fait crier miséricorde à tout le monde ; une chose qui comble de joie Mme de Rohan et Mme d'Hauterive ; une chose enfin qui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ; une chose qui se fera dimanche et qui ne sera peut-être pas faite lundi. Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ; jetez-vous votre langue aux chiens ? Eh bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? [...] il épouse, dimanche, au Louvre, avec la permission du roi, mademoiselle de... mademoiselle..., devinez le nom ; il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! ma foi jurée ! Mademoiselle, la Grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur, Mademoiselle, petite-fille d'Henri IV, Mlle d'Eu, Mlle de Dombes, Mlle de Montpensier, Mlle d'Orléans, Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Maddemoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de Monsieur.
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Vous me demandez, ma chère enfant, si j’aime toujours bien la vie. Je vous avoue que j’y trouve des chagrins cuisants; mais je suis encore plus dégoûtée de la mort : je me trouve si malheureuse d’avoir à finir tout ceci par elle, que si je pouvais retourner en arrière, je ne demanderais pas mieux. Je me trouve dans un engagement qui m’embarrasse : je suis embarquée dans la vie sans mon consentement; il faut que j’en sorte, cela m’assomme, et comment en sortirai-je ? par où ? par quelle porte ? quand sera-ce ? en quelle disposition ? souffrirai-je mille et mille douleurs, qui me feront mourir désespérée ? Aurai-je un transport au cerveau ? mourrai-je d’un accident ? comment serai-je avec Dieu ? Qu’aurai-je à lui présenter ? la crainte, la nécessité feront-elles mon retour vers lui ? N’aurai-je aucun autre sentiment que celui de la peur ? que puis-je espérer ? suis-je digne du paradis? suis-je digne de l’enfer ? quelle alternative ! Quel embarras ! … Je m’abîme dans ces pensées, et je trouve la mort si terrible, que je hais plus la vie parce qu’elle m’y mène, que par les épines qui s’y rencontrent. Vous me direz que je veux vivre éternellement. Point du tout, mais si on m’avait demandé mon avis, j’aurais bien aimé à mourir entre les bras de ma nourrice : cela m’aurait ôté bien des ennuis, et m’aurait donné le ciel bien sûrement et bien aisément. Mais parlons d’autre chose …
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Je vous cherche toujours, et je trouve que tout me manque, parce que vous me manquez.
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