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Critique de Laury-Anne
Ah lala, moi, un beau Highlander, j'approuve ! Surtout quand il faut le déshabiller… Ah, là je crois que j'ai toute votre attention, non ? Alors rentrons dans l'histoire…
Graouh, un Highlander en danger !
(Oui parce que pour une fois, c'est la jeune femme qui va sauver l'homme viril.) Gwyneth Carswell se cache, pas très loin du champ de bataille dévasté. Les MacIrvin, ses lointains cousins, se sont battus avec leurs voisins, les MacGrath. La jeune femme est en train de chercher d'éventuels survivants parmi les corps qui jonchent l'endroit. Un gémissement l'attire vers un guerrier bien mal en point. Son âme de guérisseuse n'hésite pas : ennemi ou pas, elle sauvera cet homme ! Son amie Mora, chez qui elle vit, vient l'aider à transporter le jeune homme et à le cacher. Gwyneth est partagée entre différentes émotions : la peur à l'idée que son cousin découvre l'ennemi, l'appréhension que ce dernier, en se réveillant, ne s'en prenne à son petit garçon, à Mora et à elle-même, et la curiosité. Il faut dire que le Highlander est plutôt bel homme… Et comme pour le soigner, il faut le déshabiller (ben oui), et bien on en prend plein les mirettes, et on en revient au point de départ de ma critique ! ;-) [...]
Lien : http://songedunenuitdete.com..
Graouh, un Highlander en danger !
(Oui parce que pour une fois, c'est la jeune femme qui va sauver l'homme viril.) Gwyneth Carswell se cache, pas très loin du champ de bataille dévasté. Les MacIrvin, ses lointains cousins, se sont battus avec leurs voisins, les MacGrath. La jeune femme est en train de chercher d'éventuels survivants parmi les corps qui jonchent l'endroit. Un gémissement l'attire vers un guerrier bien mal en point. Son âme de guérisseuse n'hésite pas : ennemi ou pas, elle sauvera cet homme ! Son amie Mora, chez qui elle vit, vient l'aider à transporter le jeune homme et à le cacher. Gwyneth est partagée entre différentes émotions : la peur à l'idée que son cousin découvre l'ennemi, l'appréhension que ce dernier, en se réveillant, ne s'en prenne à son petit garçon, à Mora et à elle-même, et la curiosité. Il faut dire que le Highlander est plutôt bel homme… Et comme pour le soigner, il faut le déshabiller (ben oui), et bien on en prend plein les mirettes, et on en revient au point de départ de ma critique ! ;-) [...]
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