Alors je pensais que la première page était juste pour nous rentrer dans l ‘histoire parce que l'auteur a utilisé beaucoup d'expression comme « Novembre est le vrai mois d'automne, » ou encore »Novembres est le vrai d'automne, » il fait que ce répéter la même choses et je trouve ça un peu inutile .Ensuite je trouve quand il dit « Depuis la guerre,la foret n'existait plus pour lui . » c'est un peu triste mais je ne vais pas détailler toutes les pages,alors je crois que dans l'ensemble j'ai bien je mets3,5 étoile et je recommande au gens qui ont de la patience ou bien au lecteur en recherche d'histoire très expressive et je tiens à dire que c'est trop répétitif.
Commenter  J’apprécie         00
L'instit depuis le début de l'année avec le changement de siècle et tout le cirque, il veut nous apprendre la paix. Il nous dit, avec une voix grave, en nous regardant tout au fond des yeux :
- Regardez autour de vous, il y a la guerre partout dans le monde, au Rwanda, au Kosovo, en Turquie, en Birmanie, en Tchétchénie, en Amérique du Sud, au Timor, on torture, on emprisonne, des millions d'enfants meurent de faim, et la violence déferle même dans les banlieues.
Jacques Salomé.
Martin et Alyo se soudaient l'un à l'autre.
Alyo et Martin ne faisaient plus qu'un.
- La paix... la guerre... c'est ça, c'est nous, ne cessait-il de répéter.
Cela dura, dura.
Une éternité...
Arrêt sur image.
Extrait de la conférence "Scintillements! Hommage à Ayerdhal, maître de la SF et du thriller" aux Imaginales 2019.