>
Critique de JournalDuneBibliothecaire
Suite des aventures du Night World.
Nous sommes ici avec d'autres protagonistes. Théa et Blaise sont dans un nouvel établissement. La première ne veut plus être renvoyée et veut gérer la seconde. Mais Blaise aime séduire des humains et les obliger à faire tout ce qu'elle veut, jouer avec eux.
Théa, en voulant déjouer un projet de sa cousine, libère un esprit meurtrier.
Enfin nous quittons un peu les vampires pour retrouver des sorcières. Pour ma part, j'ai préféré celui-ci aux autres.
Au début, les livres semblent déconnectés les uns des autres. Comme différentes nouvelles. Mais ce n'est pas le cas, on voit ici un lien entre eux. Comme si l'auteure nous présentait les personnages et les différentes petites actions qui mèneront plus tard à quelque chose de plus grand. Ce qui donne envie de lire la suite et de découvrir ce que cela peut être.
Défaut néanmoins, de traduction ou de l'auteure elle-même, certains mots (souvent des exclamations des personnages) tombent comme un cheveu dans la soupe... on ne sait pas trop ce qu'ils font là.
Nous sommes ici avec d'autres protagonistes. Théa et Blaise sont dans un nouvel établissement. La première ne veut plus être renvoyée et veut gérer la seconde. Mais Blaise aime séduire des humains et les obliger à faire tout ce qu'elle veut, jouer avec eux.
Théa, en voulant déjouer un projet de sa cousine, libère un esprit meurtrier.
Enfin nous quittons un peu les vampires pour retrouver des sorcières. Pour ma part, j'ai préféré celui-ci aux autres.
Au début, les livres semblent déconnectés les uns des autres. Comme différentes nouvelles. Mais ce n'est pas le cas, on voit ici un lien entre eux. Comme si l'auteure nous présentait les personnages et les différentes petites actions qui mèneront plus tard à quelque chose de plus grand. Ce qui donne envie de lire la suite et de découvrir ce que cela peut être.
Défaut néanmoins, de traduction ou de l'auteure elle-même, certains mots (souvent des exclamations des personnages) tombent comme un cheveu dans la soupe... on ne sait pas trop ce qu'ils font là.
