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Les désastreuses aventures des orp... tome 8 sur 13

Brett Helquist (Illustrateur)Rose-Marie Vassallo-Villaneau (Traducteur)
EAN : 9782092514139
265 pages
Nathan (10/05/2007)
3.92/5   410 notes
Résumé :
Affolés, Violette, Klaus et Prunille sautent dans une camionnette , qui se trouve être celle des VDC, les Volontaires pour Dérider les Convalescents. Les passagers se rendent à la clinique Heimlich afin d'y apporter leur soutien aux malades. Parvenus à la clinique, les orphelins cherchent un moyen de se cacher. Ils acceptent donc de travailler en sous-sol, dans la salle des archives, où personne ne les verra. Sur une page d'un des articles à classer, les orphelins t... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Je poursuis mon aventure avec les orphelins Baudelaire. Et avec un peu plus d'enthousiasme depuis le tome sept, je l'avoue. Déjà parce que le schéma habituel que l'auteur nous sert depuis le début : placement des enfants, arrivée du comte, embrouilles, replacement des enfants à quelque peu changé. Je dis quelque peu parce que nous n'y trompons pas, c'est un peu du bis repetita tout de même.

Klaus, Prunille et Violette se retrouve donc pour une fois face à eux-mêmes, sans adulte pour les « chaperonner » et un peu beaucoup dans la mouise. Enfin, plus que d'habitude parce qu'ils sont quand même accusés du meurtre du comte Olaf… Qui n'est pas mort, bien entendu… le trio doit donc se montrer encore plus inventif et surtout arriver à résoudre le fameux mystère de V.D.C. Un point important car ce mystère relance profondément l'intérêt que j'ai pour la saga. Il reste cinq tomes cependant et je pense que l'auteur va se donner un malin plaisir à faire durer tout cela, mais bon, maintenant on a l'habitude.

Pour ce tome huit, les enfants se retrouvent donc dans une clinique et plus particulièrement aux archives de la clinique. Nous sommes toujours dans une sorte de non-sens car, soyons honnêtes, la salle des archives est en fait : 1- ce que cherchait les enfants désespérément (comme c'est pratique…), 2 – n'a rien à voir avec la clinique en elle-même. Un peu tiré par les cheveux mais au moins, on avance… un peu… L'absurdité se poursuit avec ces adultes qui sont vraiment des imbéciles de première, des situations assez rocambolesques et des événements tirés par les cheveux. Mais si comme moi, vous en êtes au tome huit, c'est une habitude maintenant. Oui, peut-être mais j'arrive à un point où cela devient pénible. J'entends par là que l'auteur dénigre les adultes constamment. Les romans ont un public jeunesse, donc je suis d'accord avec le principe de mettre les héros qui sont des enfants en avant. Mais, l'intérêt assez grotesque au final de cet acharnement sur les « grands » n'a pas vraiment de sens…

L'histoire va tout de même bon train et il est appréciable de voir les enfants dans des circonstances qui les poussent dans leur retranchements. Ils en viennent à prendre de gros risques mais aussi à commettre des petites choses répréhensibles. Rien de bien grave et c'est pour leur survie mais il y a un traitement de la chose très intéressant.

La présence de l'auteur est encore une fois beaucoup trop prégnante sur le récit. A petite dose, c'est comique et instructif, mais là on arrive à un point où l'histoire est très alourdie par des définitions et des divagations. Passages que j'ai pris l'habitude de sauter, tout simplement.

La fin laisse présager de bonnes choses mais je préfère ne pas trop m'avancer…
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Ce 8e tome amorce selon moi un petit déclin dans la série Baudelaire. En effet, je n'arrive pas à accrocher au contexte, celui de la Clinique, des Archives, des Volontaires. Pourtant, l'humour du narrateur est toujours présent. On a ainsi le droit à une D.R.H complètement tyrannique et décalée, des Bénévoles hospitaliers joyeux mais d'aucune aide et à un service d'Archives où il ne faut surtout, surtout pas lire les dossiers... Mais vraiment, le contexte, je n'accroche pas, sans réellement comprendre pourquoi.
Hormis ce point, ce tome 8 a une narration à l'identique des 7 premiers tomes. le sort s'acharne toujours autant sur les Baudelaire et les secrets commencent à devenir légion. . Ainsi, les mystères pullulent, les questionnements aussi, ce qui nous laisse espérer des réponses à nos questions.
Le tome 8 est également le moment où l'on commence à voir vraiment Prunille grandir. Commençant à marcher à la fin du tome 7, son langage se passe de plus en plus de traduction, un petit point cohérent même si les aptitudes Baudelaire sont généralement très invraisemblables ( un bébé aux dents de castor et à l'intelligence d'un intelligence? Non mais vraiment Mr Snicket... )

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Ce tome reste avant tout agréable à lire, et plein de rebondissements. Quelques révélations sont faites sur Snicket et les parents Baudelaire, ainsi que sur les incendie.
Les orphelins sont poursuivis sans relâche dans ce tome, et il sont réellement seuls, comme dit précédemment. En fait, quand on prend du recul, on se rend compte que la situation empire pour eux : Contexte effrayant donc, autant pour des enfants que pour tous, comme si cela était un spectacle. Rappelons qu'Olaf est un comédien…

Au vu du ton de l'auteur, qui alterne entre la désinvolture autant que l'implication poussée dans l'histoire, le lecteur a du mal à réaliser que ce qui se passe dans ce tome, au final, on oublie que ce sont des enfants, dont un bébé. Et quand on y pense, le titre de la saga prend tout son sens, l'auteur nous conte vraiment les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire.
En parlant de l'auteur, je ne sais pas où cela mènera, mais j'ai apprécié le lien avec le nom de l'auteur et un nom de personnage important pour les Baudelaire. Pour le coup, c'est une intrigue supplémentaire, intéressante et originale que d'impliquer le locuteur à l'histoire. (Enfin, je suppose qu'il est impliqué puisqu'au sein même des romans, il parle à la première personne et se permet de faire des commentaires subjectifs, et surtout, se présente comme l'unique personne à pouvoir raconter les mésaventures des Baudelaire.)

En bref, j'ai pris conscience des malheurs des orphelins dans ce tome « leur pire épisode » comme le dit Lemony Snicket dans la quatrième de couverture, où pour la première fois ils se retrouvent seuls au monde et c'est le cas de le dire.
Lien : http://mespetitsbouquins.wor..
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Les aventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et voilà qu'après avoir échappé de justesse au comte Olaf dans le village de VDC, ils trouvent refuge dans un hôpital. Un drôle d'hôpital d'ailleurs, avec des services étranges. Un hôpital-archives même, puisqu'il semble conserver des archives sur absolument tous les sujets, et pas seulement ceux du domaine médical.

Encore une fois, nos orphelins vont devoir faire preuve d'adaptation et d'imagination pour échapper au comte Olaf et à ses sbires, mais pas seulement. Désormais pointés du doigt par le journal du coin, le petit pointilleux, comme étant des assassins, ils se retrouvent à devoir cacher leur identité à tous ceux qu'ils croisent. Et comme si tout cela ne suffisait pas, ils continuent à enquêter sur VDC, ces trois lettres qui semblent les poursuivre et qui, rappelons-le, ont été identifiés par les Beauxdraps comme étant un élément important lié à leurs mésaventures.

Ce tome-ci reste donc dans la lignée des précédents, mais chaque tome me semble désormais plus intéressant que les premiers parce que depuis l'apparition de VDC, chacun nous apporte son lot de révélation. Et c'est une grosse révélation que nous offre ce tome 8, attention !

J'ai également noté quelque chose de nouveau dans ce tome-ci par rapport aux précédents : c'est la première fois qu'on ne voit pas le comte Olaf. Je veux dire, il est là, bien sûr, mais les seules traces de sa présence sont sa voix qui sort d'un interphone de façon régulière. En dehors de ça, nous avons seulement affaire à ses acolytes. Ils sont tous là d'ailleurs, Esmé, les dames poudrées, le chauve, l'homme au crochet, l'homme montagne, aucun ne manque à l'appel.

Vous l'aurez compris, les mésaventures des orphelins baudelaire sont toujours aussi passionnantes et ne sont pas encore terminées, après tout, on ne sait toujours pas ce qu'est VDC !


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La traque de nos orphelins Baudelaire par le méchant comte Olaf continue, maintenant dans un rythme nouveau par rapport aux premiers livres de la série. Après avoir réussi à s'échapper du village aux corbeaux, mais recherchés en tant que meurtriers, nos orphelins préférés trouvent refuge dans une clinique, où ils vont avancer encore un peu plus dans l'énigme V.D.C et la mort de leurs parents. Mais devinez qui va débouler et leur faire encore avoir des ennuis ? Comme toujours l'histoire est rigolote et un peu décalée, avec de l'idée, bref, toujours une bonne lecture à partager avec votre pré-ado !
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
« Pas de nouvelles, bonnes nouvelles. »
De toutes les formules stupides que les gens répètent à plaisir – et les gens répètent à plaisir une foule de formules stupides –, celle-ci remporte sans doute la palme de la stupidité maximale.
« Pas de nouvelles, bonnes nouvelles » laisse entendre que, par principe, si vous êtes sans nouvelles de quelqu'un, c'est qu'à coup sûr tout va bien.
On voit immédiatement ce qui cloche : que tout aille bien n'est qu'une raison possible, une seule entre mille, pour que quelqu'un ne vous donne pas de ses nouvelles.
Peut-être ce quelqu'un est-il pieds et poings liés. Peut-être est-il encerclé par une bande de furets féroces. Peut-être est-il coincé entre deux frigos, incapable de se dégager. Rien n'empêcherait d'affirmer l'inverse, « Pas de nouvelles, mauvaises nouvelles », sinon que ce serait tout aussi stupide : celui dont vous êtes sans nouvelles n'a peut-être d'autre empêchement que d'avoir été sacré empereur récemment ou d'être au beau milieu d'un tournoi de gymnastique.
La vérité est qu'il n'y a aucun moyen de savoir si les nouvelles sont bonnes – aucun, jusqu'à ce que la personne dont vous êtes sans nouvelles vous en donne. Pour cette raison, la seule formule sensée serait : « Pas de nouvelles, pas de nouvelles. » Mais ce serait un peu l'évidence, de sorte qu'on ne voit pas très bien pourquoi en faire un proverbe.
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J'ai prit plaisir à lire ce tome! on commence à avoir quelques révélations! espérons que ce sera aussi le cas dans le tome 9 ;)
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La Belle au bois dormant est un conte de fées dont je parie que vous le connaissez par coeur. Comme tous les contes, ol commence par "Il était une fois" et enchaîne sur l'histoire d'une princesse nunuche qui s'attire les foudres d'une sorcière, puis dort comme une marmotte jusqu'au jour où un beau garçon vient de l'éveiller d'un baiser, après quoi cet écervelé tient absolument à l'épouser, et le conte s'achève sur ces mots : " Ils furent heureux et ils eurent beaucoup d'enfants".
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