AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les désastreuses aventures des orp... tome 7 sur 13

Brett Helquist (Illustrateur)Rose-Marie Vassallo-Villaneau (Traducteur)
EAN : 9782092514122
266 pages
Nathan (15/02/2007)
3.98/5   438 notes
Résumé :
Cher lecteur,
Je mettrais ma main au feu que tu as pris ce livre par mégarde ; aussi, je t'en conjure, remets-le où tu l'as pris. Ce lugubre récit relatant le bref séjour des orphelins Baudelaire dans la sinistre ville de N.D.C., est truffé de détails détestables. Je me suis fait un devoir de coucher sur le papier la vie tourmentée des Orphelins Baudelaire, mais je comprendrais parfaitement, cher lecteur, que tu te fasses un devoir de lire quelque chose de pl... >Voir plus
Que lire après Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, tome 7 : L'arbre aux corbeauxVoir plus
L'école des chats, tome 1 : Le secret de la grotte de cristal par Kim

L'école des chats

Jin-kyeong Kim

4.17★ (196)

5 tomes

Tirya, Tome 1 : Le complot du Nil par Surget

Tirya

Alain Surget

3.94★ (456)

7 tomes

Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
3,98

sur 438 notes
J'ai poursuivi ma lecture du tome six avec celui du tome sept toujours dans l'espoir de voir les choses avancées et de trouver un peu de nouveauté. Je ne dirais pas que la nouveauté était très présente, car le schéma que nous connaissons depuis le début de la saga est toujours le même, cependant quelques petits éléments sont intéressants.

Nos trois orphelins sont cette fois-ci envoyés non pas chez un tuteur mais carrément dans un village de "tuteurs". Une nouveauté qui aurait ^pu montrer un peu d'originalité, mais au final, les enfants se retrouvent chez une seule personne. Donc on perd carrément l'effet d'originalité. Cependant, Hector se trouve être un tuteur plutôt sympathique, même si, comme les autres tuteurs sympathiques, il a lui aussi ses défauts. On le sait maintenant, les adultes ne servent à rien dans la saga, ou alors à très peu de choses. Mais, on avait encore de l'espoir avec Klaus, Prunille et Violette, n'est-ce pas ? Eh bien, mes enfants... les adultes commencent à déteindre sur eux... J'aime toujours autant les trois personnages, mais l'auteur dans ce tome les fait passer pour des imbéciles, et au moment le plus critique...

Je le répète, je vais poursuivre mais franchement, j'ai de plus en plus de mal. Entre les explications sans fin de mots, les traductions des "mots" de Prunille, et cet éternel schéma qui se répète... C'est lourd, très lourd à lire.

Le seul point positif est sûrement la fin qui nous laisse présager des changements, et aussi une petite note mais alors très petite note d'espoir...
Commenter  J’apprécie          160
Lus il y a plusieurs années, je ne suis pas sure de pouvoir me rappeler de chaque tome bien précisément. Je vais donc faire une critique globale qui n'ira de toute façon que jusqu'au tome 7 qui est le dernier que j'ai lu.

Tout va mal pour les orphelins Baudelaire, il ne leur arrive que des malheurs, et rien ne s'arrange au fil de leurs aventures, on peut même dire que l'on va de mal en pis !

J'ai été conquise par les trois premiers tomes qui m'ont laissé de très bon souvenirs et pour lesquels l'histoire est un peu plus nette que pour les quatre suivants. Mais j'ai effectivement été lassée par la suite qui ne fait que répéter ce même schéma que l'on retrouve dans pratiquement tous les romans. Les orphelins sont attachants mais de manière générale les personnages manquent un peu de relief, on est effectivement dans du roman jeunesse qui donne envie de lire mais qui ne va pas chercher beaucoup plus loin que le filon de départ.

Est-ce que je lirai la suite un jour ? Peut-être mais pas tout de suite. Cependant je pense que c'est une bonne approche pour les publics plus jeunes.
Commenter  J’apprécie          130
Ce tome 7 conclue à mon sens une série de très bons tomes. La suite aura un petit creux avant de reprendre sur la fin.

Dans ce tome 7, le narrateur n'aura de cesse de nous recommander le Petit Lutin Rose, lecture ô combien insipide mais infiniment plus joyeuse que ce tome 7. Et pour cause, les Orphelins Baudelaire, résolus de découvrir le secret V.D.C, d'échapper au Comte Olaf tout en délivrant leurs amis Beauxdraps, ont le choix d'avoir une ville entière pour tuteur. Or ce choix se fera sur Villeneuve-Des-Corbeaux, petit bourgade aux règles iniques, aux citoyens simplets et revenchards et aux rues sillonnées de corvidés. le programme est le suivant : cuisine mexicaine, petite leçon de poésie, découverte de ce qu'est un deus ex machina, meurtre et prison. Tout un programme! Les orphelins se retrouvent confiés à un factotum, gentil comme tout mais hélas, comme d'habitude inefficace.

On continue à en apprendre plus, indirectement sur V.D.C et aussi sur le narrateur. . On retrouve aussi les Beauxdraps. Et enfin, je le dis, ce tome 7 est la fin d'un cycle selon moi.

Challenge le tour du scrabble en 80 jours ( 6e éd)
Challenge Séries
Challenge 50 objets 2019-2020
Commenter  J’apprécie          100
Qui souhaite recevoir les orphelins Baudelaire ? Monsieur Poe est très embarrassé car les tragiques évènements et les catastrophes que les enfants suscitent, entraîne dans leur sillage une notoriété maudite.
Pour la septième fois, ils se retrouvent sous la coupe d'étrangers. Tout un village, V.D.C., aura la responsabilité de les protéger.
Un autocar les dépose à l'arrêt. Une brume épaisse les enveloppe et rend l'hospitalité désolante. Seuls des corbeaux les saluent du haut de leur arbre.

V.D.C…. connaissez-vous un village qui se nomme par initiales ? Les enfants sont curieux et leur intérêt croît en rencontrant les habitants et leurs dirigeants, le Conseil des Anciens.

« - Silence ! répliqua la vieille dame. Oui, enfants Baudelaire, je suis sûre que vous vous tracassez, à propos du comte Olaf. Mais nous sommes vos tuteurs et nous vous protégerons. D'ailleurs, nous avons promulgué une nouvelle règle, la règle n° 19833. Elle précise clairement qu'aucun criminel n'est admis dans l'enceinte de notre cité. »

Cachés dans ce bourg, ils devront payer leur hébergement en travaillant. La bienvenue est austère et les directives sont dictatoriales. Hector, le cantonnier, est leur hôte. La première image de cet homme, le montre un peu niais et soumis, mais bien vite, les enfants sont charmés par sa gentillesse et son ingéniosité. Hector a un rêve… celui de s'élever au-dessus de l'arbre aux corbeaux, de V.D.C., de l'autorité despotique, et de fuir dans le ciel à bord de son ballon dirigeable.

Si le village se targue d'être un lieu sûr, à l'abri de toute agression et maraudage, les enfants, qui sont soumis à l'esclavage, n'ont qu'une idée… partir. Néanmoins, il faudrait élucider un mystère… Des vers écrits sur des bouts de papier sont remis aux enfants par les corbeaux. Ces phrases ressemblent aux poèmes d'Isadora Beaudraps. Où sont-ils ? Sont-ils toujours prisonniers d'Olaf ?
Lorsque le chef de police, Miss Luciana, arrête à tort un homme en le prenant pour Olaf et que le châtiment est le bûcher, Violette, Klaus et Prunille essaient de le défendre. En vain… car leur plaidoyer se retourne contre eux. D'événements en catastrophes, d'une justice arbitraire à un meurtre, les enfants voient l'arrivée d'un nouveau… le détective Dupin.

Le temps est compté… Cette fois-ci, arriveront-ils à s'en sortir ?

Dans ce septième épisode, l'histoire prend un tournant. Ce n'est qu'à la fin que certains personnages se placent sur l'échiquier de l'auteur. Il serait presque souhaitable de dresser une liste, comme une sorte d'organigramme généalogique. Seulement à la moitié des aventures baudelairiennes, l'attention est maintenue pour la suite. Après avoir lu la pugnacité des enfants, puis leur découragement et leur affliction, nous retrouvons leurs esprits belliqueux et intelligents.
Cette série est définitivement à conseiller aux enfants de moins de 10 ans, même si parfois les situations sont délicates et tristes. le comte Olaf et sa bande sont de vrais méchants…
Commenter  J’apprécie          30
L'histoire se complique réellement dans ce tome.
Commenter  J’apprécie          60

Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
On vous l’a sûrement déjà dit, il faut apprendre à bien choisir ses lectures. Mal les choisir peut nuire gravement à la santé. Un exemple. Vous vous baladez en montagne et, tout en marchant, vous lisez les œuvres complètes d’Hérodote au lieu de lire : ATTENTION, RAVIN. Vous n’irez pas au bout de cette lecture. Vous n’avez pas fait le bon choix.
Commenter  J’apprécie          233
Vous l'avez peut-être noté,un mot revient souvent dans ce récit:idée.Rien d'étonnant.Les enfants Baudelaire ne manquent pas d'idée,par bonheur,et le compte Olaf a son idée,c'est le moins que l'on puisse dire.
Les idées sont chose étrange.Une idée,on ne sait trop ce que c'est,ni d'où ça vient,ni où ça loge.Tantôt on l'a en tête,tantôt derrière la tête.Avoir une petite idée vaut parfois mieux qu'en avoir des grandes.N'avoir pas la moindre idée est d'ordinaire fâcheux,mais se faire des idées n'est pas fameux non plus.Certaines idées sont fixes,d'autres vous trottent dans la tête.Certaines sont sensées être noires,mais qu'en savons-nous,puisqu'elles sont invisibles?Et,bien que nul n'ait jamais touché une idée,nous parlons souvent de les combattre,de les repousser-ou de les caresser.
Commenter  J’apprécie          30
"- Silence ! répliqua la vieille dame. Oui, enfants Baudelaire, je suis sûre que vous vous tracassez, à propos du comte Olaf. Mais nous sommes vos tuteurs et nous vous protégerons. D’ailleurs, nous avons promulgué une nouvelle règle, la règle n° 19833. Elle précise clairement qu’aucun criminel n’est admis dans l’enceinte de notre cité."
Commenter  J’apprécie          50
-Des distiques?
-Oui. Un distiques, expliqua Klaus, c'est un poème avec deux vers seulement, qui rime entre eux.
Alors, avec la plus étrange expression que les enfants aient jamais vue, Hector extirpa de sa poche un petit rouleau de papier.
-Comme ceci? demanda-t-il.
Et il déroula le papier.
Les enfants allongèrent le cou.
Commenter  J’apprécie          50
Une fois de plus, ils se sentaient tout choses, comme s'ils avaient avalé chacun trois grands papillons voletants. Mais l'effet était plus étrange encore, parce qu'ils éprouvaient à la fois un immense soulagement - et même une pointe d'excitation - à l'idée que le comte Olaf était pris, et de l'horreur mêlée d'effroi à la pensée qu'il risquait le bûcher. On n'avait pas le droit de tuer quelqu'un, jamais ; même quelqu'un d'odieux, même un criminel. Et le bûcher était une monstruosité d'un autre âge - une monstruosité d'autant plus monstrueuse à leurs yeux que c'était le feu, tragiquement, qui leur avait enlevé leurs parents.
Commenter  J’apprécie          10

Videos de Daniel Handler (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Daniel Handler
Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire (Série Netflix, 2017) - Bande Annonce VF
autres livres classés : orphelinsVoir plus
Les plus populaires : Jeunesse Voir plus


Lecteurs (1390) Voir plus




{* *}