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EAN : 9791033902874
416 pages
Harper Collins (06/03/2019)
4.29/5   194 notes
Résumé :
Les mémoires de Gloria Steinem enfin traduites en français  Gloria Steinem, aujourd’hui âgée de 83 ans, est une icône féministe américaine, inscrite au Women’s National Hall of Fame. Journaliste, écrivain, elle a fondé le magazine féministe Ms. et, avec Jane Fonda et Robin Morgan, le Women’s Media Center, une organisation qui se bat pour rendre les femmes plus présentes et plus visibles dans les médias. Elle a également participé aux campagnes présidentielles de Hil... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
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Chez nous, on connaissait encore mal il y a quelques semaines de cela, le nom de Gloria Steinem, aujourd'hui âgée de 84 ans, militante féministe star outre Atlantique ...

C'est toute la vertu de ses mémoires, paru cher Harper Colins en mars dernier intitulé " Ma vie sur la route, mémoires d'une icone féministe" que de lui redonner toute la visibilité que cette infatigable icone du féminisme, qui parcourt toutes les routes des USA pour clamer l'égalité des droits, mérite largement.

Ma vie sur les routes, très joliment préfacé par une autre grande féministe convaincue, Christiane Taubira, nous plonge aux sources d'une prise de parole féministe à travers les USA, pour une nomade clairement assumée ( qui a hérité de ce trait de caractère de son enfance un peu bohème avec un père qui avait constamment des fourmis dans les jambes)

De rassemblements en meetings, de cercle de parole en conférences, celle qui a d'abord été journaliste dans un monde bien macho ne rechigne jamais à prendre la parole et à assumer son rôle d'organisatrice féministe itinérante, comme elle l'autoproclame elle même.

Un objectif clairement assumé la motive : mutltiplier les prises de paroles des femmes pour sensibiliser le grand public aux injustices que les femmes doivent traverser aux quotidiens ..
Une lutte qui va peu à peu converger avec celle menée par les minorités raciales.. on rencontre au gré de ces pages des politiques et des activistes féministes plus ou moins connues.

On sillonne ainsi les Etats Unis dans les pas de Gloria, dont l'acharnement au combat donne énormément de courage et d'optimisme malgré tout dans cette ballade aussi savoureuse qu'édifiante.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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« Quand on suit d'autres guides, on découvre un autre pays ». Les mémoires de Gloria Steinem, va bien au-delà d'une simple biographie. C'est effectivement le guide d'un voyage qui vous fera découvrir un pays, des pays, une femme, des femmes, une lutte, des combats. C'est un livre de parole que l'une des plus grandes « community organizer » nous adresse. Nomadisme, liberté, amitié, fidélité, elle répond présente lors de toutes les luttes. Elle ne parle de débat, mais de cercle, elle ne parle pas d'individualisme mais d'humanisme, elle ne parle de de priorités, ni de leur hiérarchie, elle parle de cohérence, de justice et d'intelligence. Toujours drôle, jamais amère, toujours pleine d'espoir et de renaissance. Elle parle avec, écoute énormément.
Elle est aux côtés, parmi, toujours, ayant constamment à l'esprit le cercle de l'équilibre et de l'ensemble. Elle ne parle pas « au nom de », mais délivre la parole de celles qui jusqu'à lors ne l'avaient pas, n'osaient pas, ne savaient pas que cela pouvaient être possible.
C'est un pur plaisir et une immense joie de découvrir les mémoires de celle qui créa le magasine Ms., qui comme le précise son site (https://msmagazine.com ) : « More Than A Magazine, A Movement ».

Préface de Christiane Taubira
Traduction de l'anglais (Usa) de Karine Lalechère.


Astrid Shriqui Garain.
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Ce livre était dans ma wishlist depuis sa sortie en version originale. Quand j'ai vu qu'il était enfin proposé au format poche en français, je me suis empressée de le commander et je l'ai lu dans la foulée. Enfin, lu… Disons plutôt dévoré! Je ne me fie pas aux résumés d'éditeurs qui disent à quel point le livre qu'ils publient est passionnant. Et bien cette fois, j'étais d'accord avec l'éditeur: c'était absolument, complètement et constamment passionnant!

Le sous-titre « Mémoires d'une Icône féministe » est malheureusement assez réducteur. La cause principale défendue par Gloria Steinem est celle des femmes, mais ce n'est pas la seule. Il est question de minorités, de progrès social, de libération de la parole, de partage et de beaucoup d'autres sujets tout aussi importants. Les luttes menées et décrites ici s'inscrivent dans un combat beaucoup plus vaste. C'était super intéressant, très enrichissant et souvent extrêmement indignant et/ou émouvant. Je suis passée par toutes les émotions.

Je ne voulais pas ralentir ma lecture en prenant des notes ou en marquant des pages (il aurait fallu les marquer pratiquement toutes!), alors je dirais qu'il manque à ce livre un index des personnes et évènements cités. D'autre part la plupart des ouvrages et articles mentionnés dans les notes ne sont pas traduits en français ou sont difficiles à trouver en vo, ce qui est vraiment dommage. Avis aux éditeurs!

Une excellente lecture, passionnante du début à la fin, qui aborde une multitude de sujets, fait la part belle à l'écoute et à la découverte des autres, cite de nombreux témoignages et m'a permis de mesurer l'étendue de mon ignorance. Je n'avais jamais entendu parler de certains sujets, ne m'étais jamais vraiment questionnée sur d'autres, ni n'avais jamais envisagé certains points de vue. J'ai appris beaucoup et je compte approfondir ce que j'ai découvert. de futures lectures tout aussi passionnantes en perspective, j'en suis sûre 🙂
(...)
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Je ne connaissais pas Gloria Steinem avant de lire ces Mémoires d'une icône féministe . Elle est pourtant extrêmement célèbre aux États-Unis et on comprend pourquoi en lisant ce livre .

Sillonnant toutes les routes du pays, elle est allée à la rencontre des autres et surtout de celles et ceux qui voulaient faire entendre leurs voix, dénoncer des injustices, faire valoir leurs droits, faire reconnaître leurs différences, leur culture, leur histoire. Et parce que finalement toutes les luttes se ressemblent quand il s'agit de libérer la parole, Gloria va défendre aussi bien les femmes que les minorités noires ou hispaniques ou amérindiennes.
Adepte des « cercles de parole » où chacun peut s'exprimer et où le dialogue s'instaure , permettant , par une meilleure compréhension de l'autre, de faire avancer les choses , elle s'est investie dans un nombre incalculable de causes. Comme journaliste d'abord (elle a fondé le magazine féministe Ms) puis comme « community organizer » , « organisatrice féministe itinérante » comme elle se définit elle-même, elle a multiplié les meetings, les conférences, les marches : pour la libération des femmes , le droit à l'avortement, et contre toutes les violences faites aux femmes ; contre le racisme, la ségrégation et toutes les formes de négation des droits des individus.
Sur la route toujours, mais en bonne compagnie : elle rencontre une multitude de femmes et d'hommes engagés dans les mêmes combats et le livre est aussi un bel hommage à tous ces amis qui l'ont accompagnée tout au long de sa vie. Mis à part le 1er chapitre consacré à ses parents , à son père surtout, il n'y a pas vraiment d'éléments purement biographiques mais l'évocation de moments qui l'ont particulièrement marquée comme la Conférence nationale des femmes à Houston en 1977 ou l'immersion dans la culture amérindienne auprès d'une femme d'exception, Wilma Mankiller. Elle parle aussi de son engagement politique, notamment dans la campagne de 2008, aux côtés d'Hillary Clinton puis de Barack Obama.

Une page d'histoire américaine donc , mais surtout un livre qui fait du bien tellement il est positif, bienveillant, ouvert aux autres , combattif mais pour la bonne cause. Un livre rempli de gens épatants, qui s'engagent pour améliorer notre monde , défendre des valeurs. Un livre qui prône l'écoute et le respect ....et par les temps qui courent on en a sacrément besoin !

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Pour tout vous dire, cette chronique, je l'ai écrite plusieurs fois ; non pas que je ne sais pas quoi dire de cette autobiographie, mais parce que je ne savais pas comment formuler ces choses.
Gloria Steinem, je ne la connaissais que de nom mais j'avais entendu parler d'elle à la sortie de My Life on the Road, la version originale de Ma vie sur la route, sortie en 2015. du peu que j'avais glané, Steinem avait l'air extraordinaire et son roman semblait passionnant. Et, ça y est, en 2019, il est sorti traduit en français – enfin.
Gloria Steinem est journaliste, militante, autrice… Elle a fait beaucoup de choses dont, l'une des plus connues, est la création du magazine féministe Ms. Magazine avec Dorothy Pitman Hughes. Je m'interrogeais donc sur son parcours, me doutant bien que le titre du livre était un indice ; j'avais hâte de découvrir cette femme ! Et c'est pour cette raison que le début m'a paru long : je ne connaissais alors pas assez Steinem pour apprécier pleinement la préface de Christine Taubira, et j'avais tellement hâte de connaître sa vie en tant que femme que son enfance, avec son père qui embarquait régulièrement toute la famille sur les routes pour de longues périodes, c'était intéressant mais ça traînait. J'avais envie d'entrer dans le vif du sujet ! Je dis ça mais, en vérité, j'ai quand même apprécié lire tout cela.
Après toute cette partie, que je considère comme introductive, arrive enfin la vie d'adulte, jeune ou moins jeune, de Steinem. Autant vous dire que, la dame étant désormais octogénaire, elle en a parcouru, du chemin ! Et elle en a vécu, des luttes, tout comme elle a fait de nombreuses rencontres. Ce qui m'a surprise, c'est que le roman a beau être une autobiographie, il n'est pas écrit de façon linéaire, à part le début qui commence avec l'enfance de la journaliste. Pour le reste, c'est plutôt découpé par thèmes : il y a la précarité des chauffeurs de taxis, le sexisme que subissent les hôtesses de l'air, l'avortement, le racisme, les Amérindien·nes exproprié·es de leurs terres et qui, aujourd'hui encore, doivent lutter, la politique, etc. Et tout du long de Ma vie sur la route, ce sont des villes, des personnes, des batailles. Plus on tourne les pages, plus on constate que chaque combat est lié d'une façon ou d'une autre à au moins un autre combat. Quand j'ai refermé le livre, le petite pensée qui germait dans mon esprit a éclot sur mes lèvres : « Wouah ! Quelle femme extraordinaire ! Sacré parcours ! »
Et puis tout ça, Gloria Steinem le raconte bien. Il n'y a pas d'envolées lyriques et heureusement, sinon le propos serait desservi. Non, à la place, on a une plume fluide, quelques pointes d'humour, et toujours des histoires qui sont parfois belles, souvent révoltantes, et toujours passionnantes.
Gloria Steinem n'a pas juste rencontré des gens. Elle a fait des rencontres qui lui ont permis d'échanger et donc d'évoluer mais aussi de faire bouger les choses. Elle le dit à plusieurs reprise : savoir écouter les autres, c'est être mieux entendue. C'est ainsi que, lors de conférences, lors de meetings…, elle a eu connaissance de nombreuses histoires (par exemple, des professeurs à l'université qui ne s'occupaient guère des élèves de sexe féminin – dans le meilleur des cas), les langues se sont déliées et il est arrivé, par la suite, que des étudiantes prennent alors les choses en mains afin de ne plus subir leurs études, que des employées se révoltes contre leurs conditions de travail, etc.

Donc voilà, Steinem, c'est vraiment une femme incroyable, avec un sacré parcours, qui a fait la connaissance de nombreuses personnes dont elle a tiré de riches enseignements, et qu'elle a partagé avec autrui. Dans cette autobiographie, c'est non sans humour que la journaliste et écrivaine retrace sa vie et ses combats. Si, enfin, elle a trouvé son chez-soi, les luttes se poursuivent. Et on ne peut qu'espérer que de nouvelles personnes prennent la relève de cette sacrée femme.
Quoiqu'il en soit, que vous la connaissiez ou non, je vous conseille de découvrir le parcours de Gloria Steinem.
Lien : https://malecturotheque.word..
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critiques presse (2)
Telerama
09 avril 2019
Depuis soixante ans, elle parcourt les routes américaines, délivrant son message [...] pour la libération des femmes, contre le racisme et la ségrégation, les violences sexuelles et domestiques… . Aujourd’hui, la publication de ses Mémoires Ma vie sur la route laisse enfin une trace écrite de ses combats.
Lire la critique sur le site : Telerama
LeMonde
21 mars 2019
La journaliste et militante américaine, très célèbre aux Etats-Unis mais méconnue dans l’Hexagone, publie ses Mémoires, Ma vie sur la route – près de soixante ans de combats féministes.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (112) Voir plus Ajouter une citation
Je m’interrogeai sur les raisons pour lesquelles on ne prenait pas la barrière du sexe autant au sérieux que celle de la couleur de peau. Les raisons sont partout autour de nous, aussi impalpables que l’air qu’on respire : parce que l’on confond encore sexisme et nature, comme c’était autrefois le cas avec le racisme ; parce que l’on considère que tout ce qui affecte les hommes est plus grave que ce qui touche « seulement » la moitié féminine de l’humanité ; parce que les enfants sont toujours élevés principalement par les femmes (et c’est un euphémisme) et que les hommes en particulier ont l’impression de retomber en enfance lorsqu’ils se retrouvent face à une femme de pouvoir ; parce que, en raison des stéréotypes racistes, les Noirs ont longtemps été perçus comme plus virils, si bien que certains Blancs se sentent confortés dans leur masculinité en leur présence (tant qu’ils ne sont pas trop nombreux); et parce qu’il n’y a toujours pas de bonne façon d’être une femme de pouvoir sans être traitée de vous-savez-quoi.
Il ne s’agit pas de compétition victimaire. Les systèmes de caste sexuels et raciaux sont interdépendants et ne pourront être éradiqués qu’ensemble. 
Il est temps de briser toutes les barrières avec une fierté égale.
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Au début, on pensait que les féministes étaient uniquement des ménagères insatisfaites, puis qu’elles constituaient un petit groupe d’excitées révolutionnaires qui brûlaient leur soutien-gorge, puis qu’il s’agissait de parasites vivant aux crochets de l’aide sociale, puis de copies conformes des cadres masculins avec attaché-case, et de carriéristes frustrées qui avaient oublié d’avoir des enfants. Pour finir, elles ont été accusées d’être responsables du fossé croissant entre les sexes qui risquait de faire basculer le résultat des élections. Cette fois, c’en était trop, alors, on nous a expliqué qu’on avait atteint une époque « postféministe » et que nous pouvions nous détendre, lever le pied, « tout arrêter. Sauf que l’objectif commun de toutes ces descriptions disparates et contradictoires est précisément de ralentir et d’entraver tout ce qui pourrait remettre en question la hiérarchie actuelle.
Il y a un enseignement à tirer de tout cela. Quand on nous dit que le féminisme est mauvais pour la famille, il faut comprendre qu’il est mauvais pour la famille patriarcale, mais bon pour la famille égalitaire qui forme la base de la démocratie. 
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Je me rendis compte que les Indiens adoraient poser des questions personnelles. Du temps de l'Empire, cette habitude devait rendre fous les Britanniques connus pour leur réserve. « Pourquoi est-ce que ta famille ne t'a pas trouvé de mari ? » « Les Américains sont riches, alors, qu'est-ce que tu fais avec nous en troisième classe ? » « Est-ce que tout le monde aux États-Unis a une arme ? » « Si je venais dans ton pays, est-ce que je serais bien reçue ? » Et, après avoir fait plus ample connaissance : « Comment font les américaines pour ne pas avoir trop d'enfants ? » Un jour, j'entendrais Indira Gandhi dire que rien ne l'avait mieux préparée à devenir Première ministre que ses voyages de jeunesse en train.
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Un peu plus tôt, à l'aube des années 1960, des femmes d'une dizaine d'années de plus que moi avaient commencé à rejeter un certain modèle mortifère de la mère au foyer de la middle class suburbaine, brillamment décrit dans La Femme mystifiée, le best-seller de Betty Friedan, et à exiger une place dans le monde du travail. Betty Friedan avait osé remettre en question ce rôle de consommatrice idéalisée imposé par les magazines féminins - magazines eux-mêmes soumis, il faut le reconnaître, aux publicitaires. Cependant il était apparu, depuis, une nouvelle génération plus radicale, qui ne voulait pas seulement un emploi et un morceau du gâteau existant, mais carrément faire un autre gâteau.

En fin de compte, les premières, plus conservatrices, finirent par admettre que le féminisme devait inclure toutes les femmes - quelle que soit leur orientation sexuelle, leur classe sociale ou la couleur de leur peau-, tandis que plus révolutionnaires convinrent qu'il était aussi possible de changer le système de l'intérieur. En dépit de leurs divergences fondamentales, source de bien des souffrances et des malentendus, ces différents groupes militants se rapprochèrent à la fin des années 1970 pour former les facettes diverses, indisciplinées et idéalistes d'un même mouvement.
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Nous découvrons que ces bosses sont des « milpas », de petits monticules de terre sur lesquels on associait des légumes complémentaires. A la différence des sillons rectilignes, qui encouragent le ruissellement et l’érosion, les motifs circulaires emprisonnent l’eau de pluie. Sur chaque monticule, on semait les « trois sœurs » qui constituaient la base de l’agriculture indienne : le maïs, le haricot et la courge. Le maïs offrait aux haricots une tige pour s’enrouler et les protégeait du soleil trop vif. La courge couvrait le sol et le stabilisait, tandis que les racines des haricots lui apportaient de l’azote qui le maintenait fertile. Enfin on faisait pousser des soucis et d’autres pesticides naturels autour de chaque bosse pour éloigner les insectes nuisibles. Le système était d’une telle perfection que, dans certains pays d’Amérique centrale trop pauvres pour adopter le labour rectiligne, les engins agricoles, les produits chimiques et la monoculture de l’agro-industrie, on utilise toujours cette méthode qui fonctionne très bien depuis quatre mille ans.
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Vidéo de Gloria Steinem
"Une citation, c'est l'essence d'une histoire. Nous avons besoin des histoires pour communiquer des idées, des connaissances, la justice, la colère, l'humanité, l'espoir, le rire. Bref, tout ce qui nous permet de comprendre et de nous sentir compris. Nous avons tous besoin de mots qui racontent notre histoire personnelle. J'espère que vous en trouverez quelques-uns ici."
En quelques phrases, cette quatrième de couverture a de quoi séduire. De slogans, il sera question, mais pas que. Signé par l'iconique figure féministe Gloria Steinem, cet essai est un condensé de la lutte qui l'anime. A toute personne, comme moi, n'ayant encore jamais lu les écrits de la célèbre journaliste activiste américaine, cet essai est une très bonne introduction à ses idées et réflexions, et fera, j'en suis certaine, écho à tout esprit féministe quel qu'il soit. Cette bataille loin d'être terminée, comme le pense certain.e.s petit.e.s malin.e.s, n'est que le balbutiement d'une rage et d'une indignation nourricières.
Un très beau livre à mettre sous le pied du sapin...
Lien blog : http://bookncook.over-blog.com/2020/12/podcast-la-verite-vous-liberera-mais-d-abord-elle-vous-mettra-en-rage-gloria-steinem.html
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