J'étais une jeune adolescente quand une amie m'avait prêté les deux tomes d'
Hannah de
Paul Loup Sulitzer. Ou devrais-je dire de
Loup Durand ? A l'époque, j'avais lu et bien aimé cette histoire inspirée de la vie d'Helena Rubinstein, et j'en étais restée là.
Quelques années plus, je découvrais avec beaucoup de plaisir un autre écrivain,
Loup Durand, grâce à
Daddy, un livre que j'ai depuis relu plusieurs fois et que j'avais bien apprécié.
Loup Durand est décédé en 1995, peu de temps après ma découverte de
Daddy. C'est à cette époque que j'avais appris que
Bernard Pivot l'avait présenté comme le « nègre littéraire de
Paul-Loup Sulitzer, en brandissant
La Femme pressée. »
J'avoue en être resté très longtemps à cela et il y a quelques mois, je me suis lancée dans la lecture de
Hannah et de sa suite : L'impératrice. Pour ma part, les similitudes de style entre
Daddy et les deux autres livres m'ont amené à confirmer ce qu'affirmait Pivot.
J'avais aussi dans ma Pal les trois tomes de
la femme pressée. Comme il était temps que je m'avance dans mes lectures de mes livres les plus anciens de ma PAL, je me suis lancée dans la lecture de ces trois tomes.
Bon, clairement, ce dernier tome n'apporte pas grand-chose de neuf à part la mort de certains personnages. Si on suit H.H. Rourke en pleine guerre d'Espagne,
Kate, quant à elle, continue à s'investir corps et âme pour son journal. Leurs chemins se recroiseront une fois de plus en Chine, après bien des péripéties dont je me rappelle déjà à peine…Bref, une suite et fin d'une trilogie qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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