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Critique de Tristale
Voilà un livre qui se lit quasiment d'une traite, car dés les premières pages Niko Tackian a su accrocher ses lecteurs.
Ceux qui ont lu l'opus précédent, "Toxique", comprendront.
Et pour les autres cela sera tout de même une belle découverte qui leur donnera envie de lire le premier, qui mets en place un personnage fort mais torturé par ses démons, le commandant Tomar Khan.
Tomar et son équipe, Rhonda, Dino, et Frankie, sont confrontés à des règlements de compte plutôt étranges où les victimes sont loin d'être innocentes. Leurs recherches les mènent du coté des migrants, et ça n'est pas facile pour eux d'évoluer dans ce milieu où si peu d'humanité subsiste. S'ajoute à ça la mafia albanaise qui voit ses rangs décimés par une ombre, un spectre, un fantazmë en Albanais, extrêmement déterminé et puissant.
Outre cette enquête qui sèment les morts plus vite que le commandant Khnan et son équipe progresse, se mêle le passé de Tomar, son mal-être, ses cauchemars qui le torturent et le perturbent de plus en plus. Sur le fil du rasoir il tente de se raccrocher au peu de lumière qui brille encore du fond de sa noirceur, gràce à sa mère Ara, et sa compagne et collègue Rhonda.
Une lecture au rythme d'une plume dynamique, cash, mais adoucie par la fragilité de Tomar Khan. Une enquête qui laisse peu de place à l'espoir mais pas totalement noyée dans les ténèbres.
Et l'envie pour la lectrice que je suis de retrouver bientôt ce commandant et son équipe dont au fil des romans je me suis attachée.
Ceux qui ont lu l'opus précédent, "Toxique", comprendront.
Et pour les autres cela sera tout de même une belle découverte qui leur donnera envie de lire le premier, qui mets en place un personnage fort mais torturé par ses démons, le commandant Tomar Khan.
Tomar et son équipe, Rhonda, Dino, et Frankie, sont confrontés à des règlements de compte plutôt étranges où les victimes sont loin d'être innocentes. Leurs recherches les mènent du coté des migrants, et ça n'est pas facile pour eux d'évoluer dans ce milieu où si peu d'humanité subsiste. S'ajoute à ça la mafia albanaise qui voit ses rangs décimés par une ombre, un spectre, un fantazmë en Albanais, extrêmement déterminé et puissant.
Outre cette enquête qui sèment les morts plus vite que le commandant Khnan et son équipe progresse, se mêle le passé de Tomar, son mal-être, ses cauchemars qui le torturent et le perturbent de plus en plus. Sur le fil du rasoir il tente de se raccrocher au peu de lumière qui brille encore du fond de sa noirceur, gràce à sa mère Ara, et sa compagne et collègue Rhonda.
Une lecture au rythme d'une plume dynamique, cash, mais adoucie par la fragilité de Tomar Khan. Une enquête qui laisse peu de place à l'espoir mais pas totalement noyée dans les ténèbres.
Et l'envie pour la lectrice que je suis de retrouver bientôt ce commandant et son équipe dont au fil des romans je me suis attachée.
