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Takako Hasegawa (Traducteur)
EAN : 9782203396043
160 pages
Casterman (17/06/2004)
3.98/5   456 notes
Résumé :
Qui prend encore le temps, aujourd'hui, de grimper à un arbre, en pleine ville ? D'observer les oiseaux, ou de jouer dans les flaques d'eau après la pluie ? D'aller jusqu'à la mer pour lui rendre un coquillage dont on ne sait comment il est arrivé chez soi ? L'homme qui marche, que l'on apprend à connaître à travers ses balades, souvent muettes et solitaires, rencontre parfois un autre promeneur avec qui partager, en silence, le bonheur de déambuler au hasard.
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Critiques, Analyses et Avis (74) Voir plus Ajouter une critique
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L'homme vient d'emménager dans sa nouvelle maison d'où la vue est magnifique. Aussi décide-t-il d'aller faire un tour dans ce quartier calme et arboré de mille fleurs. Ici et là, il observe les poissons dans l'eau, écoute le bruit du vent dans les feuilles, surprend une mésange charbonnière ou une bergeronnette. À son retour l'attend un chien, apparemment abandonné par les anciens locataires. Tout de blanc vêtu, il l'appellera Neige. Et c'est en compagnie de son nouvel ami que l'homme va prendre le temps, au fil des jours, de vagabonder, de se laisser porter au gré de ses envies, de découvrir aussi bien la nature reposante que le chahut de la ville...

Jirô Taniguchi nous entraine paisiblement sur les pas de l'homme qui marche. Au gré du temps, de ses envies, l'on suit les pas de cet homme et l'on contemple un oiseau ou encore les premières neiges. L'on surprend des enfants joueurs, des écolières. L'on se réjouit de ce qui nous entoure. L'on se réchauffe des rayons du soleil. Et l'on prend le temps de contempler, d'admirer, de profiter de chaque petit instant. Dix-neuf balades reposantes et poétiques composent ce récit où, finalement, il ne se passe pas grand-chose. Mais Taniguchi, de par son trait élégant et travaillé, invite le lecteur à la contemplation.
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Marcher. Marcher sans vraiment savoir où l'on va. Prendre une rue puis une autre et encore une autre. Changer de chemin, découvrir un nouvel horizon, tourner, revenir, prendre à nouveau le chemin habituel et le redécouvrir à chaque fois. Un arbre, une fleur, une lumière, une ombre, un rayon de soleil, le plaisir de l'instant, un petit bonheur tout simple mais un petit bonheur…

Faire corps avec les éléments. Se laisser fouetter le visage par la pluie, s'étonner des premiers flocons de neige, être réchauffé par les rayons du soleil ou se laisser caresser par le vent. Croiser un regard, esquisser un sourire, s'émerveiller devant la majesté d'un cerisier en fleur.

Prendre de la hauteur pour contempler le monde ou simplement prendre le temps, lever le nez pour élargir son horizon, se laisser porter par le hasard. Une histoire servie par une multitude d'histoires. Un héros anodin, peu importe qui il est. Ce qui compte c'est la manière dont il se comporte. C'est un homme ordinaire mais en même temps un peu tous les hommes, un héros solitaire, encore.

L'Homme qui marche, c'est tout ça et plein d'autre chose encore, c'est un trait délicat qui exprime tout naturellement mais magnifiquement l'immense sensibilité de Taniguchi.

Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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Il s'agit d'un recueil de 18 histoires courtes de 8 pages chacune (sauf la dernière de 11 pages), en noir & blanc, écrites, dessinées et encrées par Jirô Taniguchi, initialement parues en 1995. Cette édition de 2003 comprend une histoire supplémentaire par rapport à la première édition, réalisée 10 ans après. Casterman a choisi de présenter ces histoires dans un sens européen (de gauche à droite), ce qui n'a aucune incidence sur les images (difficile même de repérer si l'homme qui marche est droitier ou gaucher).

Le dispositif narratif est identique d'une nouvelle à l'autre : un monsieur (trentenaire ou quadragénaire ?) se promène dans une ville (toujours la même) au Japon. Soit il s'agit d'une promenade d'agrément au cours de laquelle il observe ce qui l'entoure (une personne âgée qui se promène, l'état des rues après un typhon), soit il s'est fixé un but à sa promenade (comme se baigner dans une piscine fermée, ou observer le lever de soleil depuis le toit en terrasse d'un immeuble).

Les titres de ces 18 nouvelles sont les suivants : (1) Observer les oiseaux, (2) Tombe la neige, (3) Dans la ville, (4) Grimper à l'arbre, (5) Il pleut, (6) Nager dans nuit, (7) Après le passage du typhon, (8) le long du chemin, (9) La nuit étoilée, (10) Dans la ruelle, (11) Un paysage flou, (12) Sous le cerisier, (13) Objet perdu, (14) L'aube, (15) Un store en roseau, (16) Un bon bain, (17) Voir la mer, et (18) Dix ans après.

Ces 18 nouvelles disposent donc d'un personnage récurrent dont la propension à observer ce qui l'entoure constitue le lien d'une histoire à l'autre. Il s'agit d'un monsieur un peu rondouillard, arborant souvent un sourire (seule la canicule dans "Un store en roseau" le fait tellement souffrir qu'il en perd sa bonne disposition d'esprit), vêtu avec soin (chemise, pantalon de costume, parfois cravate et veston, plus rarement une tenue décontractée), certainement un cadre moyen ou supérieur (on le voit aller ou revenir du travail à une ou deux occasions). L'autre personnage récurrent est son épouse qui ne fait montre d'aucune personnalité dans les quelques cases où elle apparaît.

Dès la première page, le lecteur peut apprécier les qualités de dessinateurs de Jirö Taniguchi. Il s'agit d'un dessin pleine page montrant l'homme qui marche s'avançant vers le lecteur au milieu d'une ruelle, avec la perspective montrant les façades et clôtures des 2 côtés de cette ruelle. L'homme est vêtu d'une belle parka, il a les yeux tournés légèrement vers l'horizon, et il arbore un sourire de contentement. le lecteur peut détailler l'arrière plan qui est criant de réalisme : 2 clôtures de nature différente dont l'une carrelée (il ne manque aucun carreau), les arbustes, une roue de vélo qui dépasse, les toitures et leurs tuiles (il ne manque aucune tuile), les gouttières, les antennes, le tampon de regard de l'égout, etc. Dans chacun de ces 18 nouvelles, le lecteur est invité à rendre le temps de regarder, de détailler l'environnement dans lequel évolue l'homme qui marche. Il peut contempler ce qui l'entoure comme s'il était lui-même l'homme qui marche. Tanigchi utilise un trait très fin pour délimiter les contours ce qui aboutit à des dessins à l'apparence éthérée et délicate, même si le nombre de détails est élevé.

Taniguchi alterne les plans montrant l'homme qui marche en train d'avancer, le mettant en situation dans le décor qui l'entoure, ou interagissant (échanges de propos avec une autre personne, transport d'un objet, promenade du chien, etc.), avec des plans subjectifs (la case montre ce que l'homme est en train de regarder, avec son point de vue physique, à partir de la position de ses yeux). le lecteur éprouve donc aussi bien la sensation d'être un spectateur des mouvements de l'homme, que de parfois voir la réalité par ses yeux.

À l'évidence chacune de ces nouvelles ne racontent pas une histoire sur la base d'une solide intrigue. Il y a parfois une forme de chute, mais ce qui importe avant tout est l'instant présent (le voyage plutôt que la destination) et la capacité d'être curieux des petites choses. Taniguchi met en en scène un individu qui prend le temps de se promener et de regarder. L'homme qui marche n'est pas à la recherche de sensationnel, de grands événements, ou de réalisations spectaculaires. Il observe la vie quotidienne dans ce qu'elle a de plus ordinaire et de plus banale, au point d'en devenir insignifiant et invisible. Observer les oiseaux, cheminer à côté d'un inconnu, s'allonger sous un arbre, souffrir de la chaleur, regarder un paysage nouveau (en bordure de mer), l'homme qui marche observe avec un regard ouvert au monde, avec une disposition d'esprit dont la sérénité lui permet de voir ce que l'esprit écarte d'habitude comme étant trop commun.

Il devient alors évident que Taniguchi ait choisi un personnage sans marque distinctive de capacité physique ordinaire, et encore moins remarquable. Il construit ses nouvelles pour proposer un regard orienté sur le calme de la ville, sur des oasis de paix. Pour un citadin, cette façon de voir les choses est une illusion. La ville n'est jamais calme, jamais au repos.

Pour un lecteur occidental, se pose la question de savoir si ce que montre Taniguchi est réel ou non. En tant qu'auteur, il recompose forcément ses observations, il y a donc une forme d'interprétation du réel, un regard orienté pour faire émerger une composante, une particularité plutôt qu'une autre. Taniguchi mêle le vrai et le faux. Lorsque le lecteur contemple un dessin comprenant un haut degré de détails techniques et urbanistiques, il se dit que l'auteur a dû travailler d'après photographie ou suite à des repérages minutieux. Nouvelle après nouvelle, le niveau de précision est hallucinant. Taniguchi n'utilise aucun raccourci graphique pour réaliser une case plus vite. Il fait preuve du même degré d'investissement qu'il s'agisse de représenter des herbes folles, une façade de maison ou des toitures vues du ciel (page 80).

À ces moments, le lecteur acquiert la conviction que ce qui lui est donné à voir est bien réel, qu'il y a un quartier d'une ville de moyenne importance au Japon qui ressemble à ce qui est dessiné. En même temps, il ne peut qu'être surpris de la faible densité de population, du peu de personnes que croise l'homme qui marche. le calme et l'apaisement ressentis par l'homme qui marche ne sont possibles que dans un environnement où il a la place d'exister, la possibilité de prendre le temps de regarder sans être entraîné par la foule. Sur 18 nouvelles, un tiers comprend une interaction verbale significative entre l'homme qui marche et quelqu'un d'autre. Dans les deux autres tiers, la ville n'est que le décor de ses déambulations. le lecteur la voit telle que l'homme qui marche la perçoit. Il ne s'agit donc plus du réel, mais bien de la représentation qu'il s'en fait. D'ailleurs les individus avec qui il échange quelques propos peuvent également être considérés comme des figurants dans sa vie intérieure, sans réelle personnalité ou épaisseur. Ces nouvelles montrent comment l'homme qui marche s'affranchit des êtres humains (sauf quand il souhaite en voir certains) pour mieux percevoir la ville qui l'entoure, qui constitue son environnement.

Avec 18 récits courts très axés sur l'environnement urbain, Jirô Taniguchi propose au lecteur de partager des moments de paix intérieure d'un individu capable de regarder le quotidien en face pour voir ce qu'il a d'extraordinaire. Taniguchi reconstruit avec habilité la banalité d'un urbanisme de banlieue nippon pour en faire apparaître les singularités et les bons côtés (même quand on est trempé sous une pluie d'été). Il ne fait pas l'éloge d'une qualité de vie urbaine. Il montre plutôt comment l'individu peut s'approprier la réalité, l'assujettissant à sa curiosité pour en faire le décor de ses rêveries, de sa façon de voir les choses.
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Le toucher, l'ouïe, l'odorat, la vue, le goût, voilà nos cinq sens à l'honneur dans ce délicieux manga qui va nous ramener aux vraies valeurs.

Après les kilos pris avec « le Gourmet Solitaire » de Jirô Taniguchi, il me fallait bien pour éliminer poursuivre avec ce même auteur et marcher, marcher et marcher encore.

Quel bonheur de flâner au coté de cet homme paisible et tranquille, de cet écrivain à la plume si sereine et au dessin aussi délicat que captivant. La lecture de ce manga a réveillé en mon for intérieur une zen attitude que j'avais quelque peu mis de coté ces derniers temps. le stress laisse place aux futilités et nous éloigne peu à peu des saveurs qui nous sont offertes chaque jour par la nature. Quel dommage !

Avec L'Homme qui marche, tout reprend sa place, l'essentiel reprend ses droits. Après une journée dure ou stressante, venez l'accompagner au gré du vent, au détour d'un chemin, d'un ruisseau et prenez le temps d'apprécier les petits riens. Laissez-vous porter par la brise dans vos cheveux. Fantasmez sur le sourire, le déhanché d'une femme ou le regard sulfureux d'un homme. Ecoutez le clapotis de la pluie, le chant d'un rossignol ou le claquement harmonieux des talons aiguilles sur le pavé. Arrêtez-vous quelques minutes et observez le vol d'un oiseau, d'un papillon, d'une feuille qui se décroche de sa branche et qui virevolte lentement avant d'atteindre son but final. Humez, au hasard des rencontres, la douce fragrance d'un parfum supérieur... Allongez-vous au pied d'un arbre et rêvez les yeux ouverts. Laissez perler sur vos doigts la rosée matinale et marchez pieds nu sur la pelouse ou le sable chaud. Un je t'aime à la volée, le bonjour d'un inconnu, nous passons à coté de toutes ces choses merveilleuses tous les jours sans les voir ni les entendre, obnubilés que nous sommes par notre carcan quotidien.

Ce livre en dit peu par les mots mais les dessins se suffissent à eux-mêmes. Après une telle lecture, nous réalisons où est l'important, le vrai bonheur. Il est juste là, devant nous, tout près, il suffit d'ouvrir grand les yeux, d'observer et de tendre la main.

Besoin d'un lâche-prise ? Venez déambuler avec l'homme qui marche. Ce manga est un poème, une douce odeur qui vous rappelle votre enfance, un moment de pur bonheur, comme un retour aux sources.
Alors lève-toi et marche…

Antho que tu lises ce billet ou pas, il t'est dédié. Allons marcher dans les allées d'un cimetière, nos chers disparus ont tant de secrets à nous raconter, ensuite, nous longerons la plage et rendrons le coquillage à la mer. Regarde ! la vie est là simple et tranquille. de belles choses nous attendent…

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L'homme qui marche (1992) est un Taniguchi zen parfait si vous avez des tensions dans les cervicales. J'ai peut-être une petite préférence pour Furari dans la même veine car il se passe dans le vieil Edo et m'a davantage dépaysée. Ici nous sommes au début des années 90. L'homme qui marche n'a rien d'un Giacometti. C'est un quinquagénaire banal à lunettes avec une légère petite brioche. Il vient d'emménager dans une maison avec jardin. Pendant que son épouse dévouée défait les paquets, il prend la tangente. Il flâne, baguenaude, banturle. Et ceci pendant tout l'album. Il observe son environnement et accueille les petits riens comme des cadeaux. le dessin très précis décrit ses sentiments profonds. Il se laisse guider par ses impulsions; Il fuit le monde, la vitesse, la technologie et leur préfère la solitude, la lenteur et l'imprévisible. Il cherche à retrouver ses sensations d'enfant. Il grimpe sur un arbre, fait voler un avion en balsa abandonné, prend une grand-mère en filature comme s'il s'agissait d'une criminelle, franchit un grillage pour prendre un bain délectable tout nu dans l'immense piscine municipale…
Mon édition Casterman propose deux épisodes supplémentaires à la fin qui arrivent comme un cheveu sur la soupe. Ne soyez donc pas surpris de retrouver d'abord notre quinqua au lit avec une belle brune, puis, dans un épisode en couleurs, tout jeunot devisant avec un gars à barbichette en costume traditionnel.
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critiques presse (1)
BDZoom
24 mai 2016
« L’Art de Jirô Taniguchi », devrait rallier définitivement les sceptiques dans le clan des nombreux inconditionnels de ses travaux graphiques qui sont, d’ailleurs, régulièrement exposés.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Un instant...je me suis demandé ce qui rendait cet endroit si paisible...peut-être l'air, tout simplement ? Celui qui flottait autour de la rivière semblait différent... Le cours du temps y était comme celui de l'eau...lent...un interstice, une parenthèse dans le fil de jours ordinaires...
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Un instant... je me suis demandé ce qui rendait cet endroit si paisible... Peut-être l'air, tout simplement ? Celui qui flottait autour de la rivière semblait différent... Le cours du temps était comme celui de l'eau... lent... Un interstice, une parenthèse dans le fil de jours ordinaires... C'est vrai, à quoi bon toujours se presser... Lentement, j'ai longé le bord sans chemin de la rivière.
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- Comprenez, j'ai suffisamment couru toute ma vie... Alors maintenant j'prends mon temps, lentement... N'est-ce pas agréable ? Lentement.
- Houaah... Lentement... oui...
......
Le cours du temps y était comme celui de l'eau... lent... Un interstice, une parenthèse dans le fil de jours ordinaires... C'est vrai... A quoi bon toujours se presser... Lentement, j'ai longé le bord sans chemin de la rivière.
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L'homme qui marche ? c'est celui qui prend le temps de vivre dans un Japon moderne. celui qui s'arrête pour regarder un oiseau.un rêveur forcené dont on connaît juste les gestes quotidiens, comme figés dans le temps
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Quelle vue !
_ Oui.
_ C’est beau ! Je sors faire un tour !
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Vidéo de Jirô Taniguchi
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