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EAN : 9782070142910
196 pages
Gallimard (24/10/2013)
3.83/5   9 notes
Résumé :
Poursuivant le thème de l'anti-naturalisme qui a fait sa renommée et l'a démarqué singulièrement, Tanizaki met en scène des héros doués d'une certaine perversion dans un climat onirique.

L'image de la femme fatale dont la beauté et la volupté soumettent les hommes est centrale dans la nouvelle Le Kilin à la tonalité fortement exotique.

La nouvelle Les Jeunes Garçons est marqué par une liberté de ton et peut être perçue comme une illus... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Le malicieux maître Tanizaki frappe encore joliment avec ces quelques textes bien plaisants.

Dans « les jeunes garçons », deux amis adolescents, Ei-chan, narrateur, et Senkichi, vont jouer chez Shin.ichi et sa soeur Mitsuko, qui peut-être est la joueuse de cette musique de piano qu'on entend depuis le jardin… Dans leurs jeux à quatre, ils ne se font pas de cadeaux, torsions et écrasements des corps, enserrement, ligotage, crachats, tout y passe…Au début, cela a l'air anodin, tous les enfants en sont passés par là. Pourtant, peu à peu, Tanizaki, mine de rien, appose sa patte pour nous faire douter…Sont-ce vraiment des jeux innocents, ces gestes et mises en situation, ces jeux de rôles qui s'installent ? Un certain malaise gagne le lecteur, l'ambiance se teinte d'une coloration sado-masochiste, violente, et cette proximité des corps semble aussi perturber subtilement l'esprit de ces jeunes, comme si un désir d'ordre sexuel s'insinuait…On reste sur le fil, dans une ambiance devenue quelque peu inquiétante, qui va nous emmener à la frontière du fantastique, où la jeune fille en apparence si fragile pourrait bien être la dominante en majesté diabolique.

Dans « le secret », le narrateur, nous dit qu'il a depuis son enfance le goût du secret, de l'occulte, des choses cachées, avec un goût du jeu, de la devinette, du colin-maillard…Alors il se prend du plaisir de se travestir, et va se farder et porter un kimono de femme. Se rendant ainsi au cinéma, il reconnaît à côté de lui une ancienne maîtresse, accompagnée d'une nouvelle conquête. Il est à nouveau sous le charme…et contre toute attente, elle l'a reconnu. Ils vont se revoir, chez elle, mais à la condition d'un autre secret : qu'il se fasse transporter les yeux bandés, pour qu'il n'identifie pas son adresse exacte…

« Terreur » n'est pas une palpitante nouvelle fantastique, mais le court récit du narrateur, T***, qui dit avoir le mal du chemin de fer. Or il doit absolument faire un petit voyage, sur une petite ligne au départ de Kyôto. Alors pour se donner du courage, il s'alcoolise…A moins qu'alimenté par d'autres névroses comme la hantise de la mort, son problème originel ne soit justement l'alcoolisme ? L'occasion pour Tanizaki de nous mener non seulement en train, mais aussi comme souvent en barque, non sans s'amuser un peu, et, peut-être, de rendre hommage au pouvoir apaisant du train, ce mode de transport si cher au coeur des japonais.

Dans « La haine », le narrateur nous confie adorer haïr l'autre, y compris ses amis, et se remémore la première fois qu'il a ressenti ce sentiment, étant enfant. Il avait un copain Yasutarô, un vrai petit con, querelleur et moqueur. Mais un jour Yasutarô se fait rosser par un grand en présence du narrateur, qui est frappé par une image du gamin à terre : ses narines, béantes, qu'il trouve horriblement moches. A partir de ce jour, il va se mettre à haïr Yasutarô, au point qu'à l'évocation de ces narines et de ce corps, des pensées scatologiques lui viennent, il avoue en saliver, en malaxer avec hargne sa pâte à modeler…

Dans "Une mort dorée", notre narrateur, étudiant brillant et fin lettré voit son ami Okamura, issu d'une famille riche, se passionner plutôt pour la gymnastique. Il ressent à le voir une admiration mêlée d'attirance pour cette beauté masculine. Mais surtout, leur approche de l'art, grand sujet de débat, est différente. Okamura va avoir la folie des grandeurs et se faire construire un palais où il va bientôt recréer les grands sujets, notamment de sculpture, du monde gréco-romain et occidental. Mais il brûle très vite son argent, et sa vie, recourant à des figurants vivants pour reconstituer ce paysage artistique, jusqu'à lui-même se fondre en oeuvre d'art, et succomber asphyxié par la feuille d'or intégrale qui bouchera les pores de sa peau. Ce texte instille une double réflexion sur le vice de l'argent-roi, et le bonheur ou le malheur qu'il apporte, mais aussi sur la nature de l'art.

Ces histoires sont toutes bâties sur une anecdote apparemment assez anodine, prétexte pour le narrateur à nous livrer un aspect de sa personnalité. Et évidemment, comme toujours avec Tanizaki, le jeu, l'ambiguïté sexuelle et la perversion psychologique sont à l'honneur. Dans une langue remarquable, Tanizaki nous livre en quelques pages des textes de bonne portée intellectuelle, qui apportent réflexion et détente au lecteur. Un bon recueil, dominé par les deux premiers textes, « le secret » et « Les jeunes garçons », sans doute plus consistants, et "Une mort dorée" qui paraît d'une grande modernité dans son traitement de l'art, et notamment de l'art vivant et performatif, comme on dit aujourd'hui.
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Les idéogrammes de Tanizaki, bien que recomposés par la traduction, continuent en français de s'agencer en d'entêtants tableaux synesthésiques empreints de perversion. Chez cet auteur, le sadomasochisme apparaît comme un rite d'entrée dans l'âge adulte à travers des textes comme « Les jeunes enfants » et « La haine ». le premier prend la main du lecteur pour l'entraîner dans des jeux de dominations entre enfants de moins en moins innocents, qui culminent dans une sorte de catabase nocturne, la rencontre magique d'une jeune fille transfigurée par la présence de mystérieux serpents qui pourraient (ou non) être moins pétrifiés que les personnages masculins face à cette gorgone, cette Hécate, dont la métamorphose reflète celle de leurs désirs grandissants.

Et « La haine » inflige une violence psychologique totalement contenue dans une narration interne à la première personne, plaçant les pensées perverses du personnage à l'écart de la violence physique qui le stimule et qu'il contribue à stimuler en retour, dans le plus parfait secret.

Pour espérer trouver la clé de ces textes, peut-être faut-il se tourner vers « La terreur ». Tanizaki y livre le portrait émotionnel d'un homme anxieux et hyper sensible, capable de trouver un stimulus à ses angoisses dans certains évènements aussi anodins qu'un voyage en train : le supplice vient des détails, et l'art raffiné de Tanizaki se pervertit ainsi.

Cette tempête intérieure est là encore un secret, gardé pour soi. La nouvelle éponyme donne à ce secret un tour plus positif, gage d'épanouissement esthétique, mais non sans une forte tension sexuelle et identitaire. Gare à trahir les règles établies dans ce rapport, sous peine d'impuissance...

Avec la dernière nouvelle « Une mort dorée », ce jeu de dualité devient un rapport entre deux artistes ratés. Ils se complètent grâce au premier (le narrateur anonyme), qui permet à l'accomplissement du second (son ami Okamura) de subsister dans l'art et la mémoire.

Le travail d'Okamura s'avère d'une étonnante (post)modernité. Aucune de ses figures n'est originale : elle est directement calquée sur une oeuvre existante. Mais leur assemblage, transposé dans la chair et l'éphémère, lui permet d'ouvrir une voie insolite à l'art.

En totale opposition à la dimension « spirituelle », son approche exclusivement « sensuelle » et même hédoniste en ferait presque un double de Tanizaki, qui s'imaginerait ainsi dans un second corps capable de faire correspondre l'art avec les organes humains.

« La plus vile des oeuvres d'art est le roman. Un peu moins vile, la poésie. Au-dessus de la poésie, on trouve la peinture, la sculpture, et plus haut encore que la sculpture, le théâtre. Cependant, l'oeuvre d'art suprême n'est autre que le corps humain. L'art commence dès lors que l'on transforme son corps en beauté. »

Néanmoins, le refus, chez Okamura, de lier et art et imagination paraît trop jusqu'au-boutiste pour faire coïncider les vues du personnage et les descriptions hypnotiques de son auteur, qui évoquent précisément de riches images chez le lecteur. D'ailleurs, une partie des descriptions baroques de la fin de la nouvelle laissent au lecteur « le soin d'imaginer comment chacune de ces compositions pouvait atteindre le comble du raffinement » : une narration qui révèlerait ainsi subrepticement sa part d'ironie… à moins qu'il ne s'agisse d'une confirmation de l'impuissance de la littérature à rejoindre cet art idéalisé.

J'aurais bien demandé confirmation à Tanizaki, mais je pense qu'il aurait répondu par cette énigme : « qu'est-ce qui cesse d'exister dès l'instant où on le découvre ? »
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Ce fascicule de 188 pages contient cinq récits
Les jeunes garçons
Un jeune garçon convie des camarades à pratiquer des jeux bizarres, ce petit tyran les asservit pour ses plaisirs masochistes. Tanizaki nous livre un récit réaliste, sensuel et poétique ces jeux d'enfants sont à peine supportables, ils interpellent, violence et cruauté sous tendent ce récit.
«J'allais donc y passer aussi… Ces lèvres humides, cette langue lisse qui me léchait et me pourléchait sans relâcher sa pression, me procuraient des sensations étranges et avaient le don de faire disparaître ma frayeur pour la remplacer par une fascination qui, s'emparant de moi, finissait par me faire éprouver du plaisir. Subitement mon visage, de la tempe gauche à la joue droite, fut violemment écrasé par ses pieds, mon nez et ma bouche supportant directement les semelles pleines de boue de ses zôri, mais je trouvais cela aussi suprêmement plaisant… pour ma part, je suçotais de mon mieux les membranes entre les orteils, tout à ma découverte de leur goût salé et acide ; je constatai aussi que, les gens beaux sont beaux de la tête jusqu'au bout de leurs ongles de doigts de pied… »

« le secret »
Nouvelle ambiguë sur le plaisir d'un jeune à se travestir et sortir incognito dans les rues de Tokyo. Intéressant pour la découverte des quartiers de la ville.

« Mort dorée »
C'est mon récit préféré, deux amis sont en compétition pour leurs études et dans leur recherche de l'esthétisme celui « du paradis artistique », chacun voulant à sa manière faire un oeuvre d'art inédite. Beauté, sensualité dominent ce récit qui pique notre curiosité, car Tanizaki à cet étrange pouvoir de fixer notre attention, de nous exciter par l'exubérance, et nous transporter dans un autre monde à mi chemin entre le rêve et la réalité. J'ai aimé.

Les deux autres récits explorent les sentiments de haine et de peur
«Il y a un sentiment que j'adore, c'est la haine. Aucun autre n'est aussi radical, entier, agréable. Haïr quelqu'un, le haïr de tout son coeur, quelle jouissance ! » Cette phrase
souligne le thème de la perversion souvent présent dans ses récits.

« Terreur »
Traite de la phobie, en particulier, celle de l'impossibilité de prendre le train sans crise de panique.

Au final j'ai aimé découvrir Tanizaki, mais le sadomasochisme ne m'intéresse pas plus que ça, c'est quand même une impression de malaise qui domine ! Cependant j'aimerais lire « Nostalgie de ma mère » qui éclaire paraît-il sur sa personnalité.
( Conseillez moi …)
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critiques presse (1)
Liberation
25 novembre 2013
Tanizaki a aussi l’incroyable force d’associer légèreté et simplicité aux manifestations physiques et psychologiques qu’il décrit. Quelque chose de fascinant s’attache à la «contrée humaine» telle qu’elle ressort du Secret et autres textes.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Pendant que je restais là à l'observer en silence, ma fascination croissait, au point de jalouser sa technique virtuose et son agilité. "Fendre l'air comme un oiseau" ; cette expression semblait avoir été créée pour qualifier l'adresse d'Okamura...Il bondissait, aérien, du sol vers la barre et, à une vitesse proprement stupéfiante, poussait ses jambes vers le ciel avant de se renverser, la tête pendante comme une chauve-souris ; ses membres s'élançaient dans le vide avec la force inouïe d'un élastique de lance-pierres avant de rejaillir pour s'enrouler aussitôt comme un treuil autour de la barre. Chaque fois, son corps tel un fouet venait frapper la barre de fer, laquelle semblait frémir de douleur. Quand il eut finit cet exercice, il entreprit de sauter du haut des marches - mais la tête en bas -, de bondir, à l'aide d'une perche de bambou de quelques trois mètres de long, plus haut que le faîte du pin planté dans le jardin...Son jumping offrait une forme si admirable qu'il en paraissait, à tous égards, surhumain.
"Voilà, pardon de t'avoir fait attendre ! Je me sens enfin mieux !" s'écria Okamura, en me rejoignant.

Extrait de "Une mort dorée"
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"Savez-vous que c'est très gentil à vous de vous souvenir si bien de moi ? Depuis notre séparation à Shanghai, j'ai eu affaire, non sans bien des épreuves, à toutes sortes d'hommes ; mais bizarrement, je n'ai jamais pu vous oublier, vous. Cette fois, ne m'abandonnez plus, je vous en prie. Que je sois pour vous la femme d'un songe, dont vous ignorez l'état et la situation, et restez toujours mon ami !"
Chacune de ses paroles, chacune de ses phrases, comme une mélodie de pays lointain, éveillait dans mon coeur un écho mélancolique. Comment cette femme hier soir si brillante, si pleine d'intelligence pouvait-elle, avec tant de classe, se donner une apparence si triste ? On aurait dit qu'elle se défaisait de tout et jetait son âme à mes pieds.
"Femme d'un songe..." "Femme mystérieuse..." L'attrait d'une aventure d'amour dont les brumes empêchaient de distinguer la réalité du fantasme fit que je continuai à me rendre chez elle chaque soir.

Extrait de "Le secret"
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"Nous devrions y aller maintenant...Après vous...
- Oui, euh, merci..."
Mes réponses demeuraient indécises , et pourtant, comme m'y invitait K***, je me laissai entraîner vers le train, inquiétant, terrible.
"Après vous, je vous en prie, répétait K*** qui, des deux mains, me poussait dans le dos.
- Bon, alors, dans ce cas..."
J'en pris mon parti, fermai les yeux, et franchis d'un pas léger la portière. Sitôt dans le wagon, je me suspendis à une poignée et vidai la bouteille de whisky à même le goulot (plutôt que d'être assis, je préférais encore être agrippé à une poignée car j'avais ainsi le sentiment de desserrer un peu l'emprise du destin).
"Quelle santé ! Je vois que vous faîtes un fameux buveur, dit A***.
- Non, c'est seulement que je déteste le train et qu'à moins d'être soûl, je suis vraiment très mal."
Devant un médecin, mon explication pouvait paraître manquer de rigueur.
Un sifflement retentit, véritable rugissement à mes oreilles, et le train finit par s'ébranler.
"Vais-je mourir ?" murmurai-je en moi-même.
Je devais alors partager les sentiments du condamné à mort dont la tête est placée sur l'échafaud.
" A votre avis, T*** sera-t-il déclaré apte au service ? demanda K*** à A***.
- Laissez-moi réfléchir...Je crains fort que oui. Vous êtes loin d'être maigre, et vous avez une belle carrure."
Une fois quittées les rues de Kyôto, à travers les fenêtres du wagon défilaient la verdure des feuillages nouveaux, les arbres, les routes, les collines des environs de la ville. Peut-être parviendrais-je malgré tout à atteindre Ôsaka sain et sauf ? C'est alors que la quiétude, enfin, germa en moi.

Extrait de "Terreur"
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La beauté ne se réfléchit pas. C'est quelque chose que l'on ressent à la première vue, immédiatement, selon des modalités extrêmement simples. Et plus ces modalités sont simples, plus "l'effet" de la beauté doit avoir de la force.
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Nous nous assîmes tous deux au bord de l'eau, les jambes ballantes, rêvassant à l'odeur de terre mouillée, quand les échos d'une musique raffinée, émouvante, nous parvinrent d'on ne sait où.
" Qu'est-ce que c'est ? demandai-je en tendant l'oreille.
- C'est ma soeur, elle joue du piano.
- Et c'est quoi, un piano ?
- Elle m'a dit que c'était une sorte de petit orgue. Une étrangère va tous les jours là-bas pour lui donner des leçons ", expliqua Shin.ichi en désignant du doigt l'étage du pavillon européen.
Cette mystérieuse résonance continuait de filtrer depuis les fenêtres masquées par des tentures rose pâle...On croyait entendre l'écho du rire des elfes de la forêt, ou parfois les pas de danse d'une assemblée de nains tout droit sortis des contes de fées : mystérieuse résonance, qui tramait dans mon esprit innocent des rêves subtils, un jeu composé des milliers de ficelles de l'imagination, et qui semblait même provenir du plus profond de ce vieil étang.
Quand enfin le récital s'interrompit, c'est le coeur empreint d'une extase persistante que je fixai l'étage en espérant apercevoir à la fenêtreles visages de l'étrangère et de la soeur de mon ami.

Extrait de "Les jeunes garçons"
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Vidéo de Junichirô Tanizaki
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