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Adèle Blanc-Sec - BD tome 2 sur 10
EAN : 9782203009486
48 pages
Casterman (22/10/2007)
3.92/5   315 notes
Résumé :
En ce mois de décembre 1911, Paris est secouée par la brusque réapparition de la peste et par une mystérieuse vague de disparitions sur le Pont-Neuf. Adèle, déterminée à venger la mort de son ami Lucien Ripol, mène l'enquête, persuadée qu'un lien existe entre ces trois affaires. Affrontant tour à tour Albert, son ancien complice, et une redoutable secte d'adorateurs du démon Pazuzu, arrivera-t-elle à échapper aux différentes menaces qui planent sur elle ?
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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La belle et intrépide Adèle Blanc-Sec, dont on ne sait si elle est journaliste ou aventurière, enquête sur un mystérieux objet. Et ce que découvre Adèle à Paris en ce mois de décembre 1911 au sujet d'une certaine statuette assyrienne, figure du démon Pazuzu, est particulièrement inquiétant. Notamment la relation qu'il existe entre Pazuzu et les cas de peste qui commencent à apparaître dans la capitale…

Tardi l'anarchiste et rebelle a imaginé une héroïne un peu à son image. Adèle refusant toutes compromissions et récupérations. Une jeune femme sur un pied d'égalité avec les hommes prête, dans ce second opus qui clôt l'affaire commencée avec Adèle et la bête, à s'engager au péril de sa vie contre le pouvoir policier dévoyé. En somme une héroïne féministe, courageuse et iconoclaste, telle que je les aime.

Challenge MULTI-DEFIS 2022
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Adèle après avoir été roulée par ses deux coéquipiés décide de se venger.
Mais elle ne sait pas ou elle va mettre les pieds et ses aventures vont être assez mouvementées.

Ce qui est bien dans cette série c'est qu'il y a du fantastique, Enfin un peu et pas toujours celui que l'on croit. Après il ne faut pas s'attendre a de la SFFF pure et dure, tout est fait en finesse - ou presque.

J'aime toujours autant l'atmosphère qui ressort de cette Bd, même si les graphismes ne sont pas mes préférés. J'aime les choses plus fines en général mais ceux ci correspondent tellement bien au scénario que je m'y adapte au final assez facilement.
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Le démon de la Tour Eiffel... Ou les Tardi que j'affectionne pour plein de choses...

Pitch :
Ripol is dead, rip... même si ce n'est pas à cause de la guillotine, le butin à disparu, et les salauds sont dans la nature. Adèle réfléchit à comment les retrouver pour se venger. Elle n'aime vraiment pas avoir été le dindon de la farce.


Elle est morte Adelle... nan mais c'te jeux de mot... et je rigole.
Tardi de jadis, quand il n'était pas englué dans ses histoires de tranchée, dans ses poilus.
Quand il dessinait Paris. Quand il laissait la porte grande ouverte au fantastique, à un zeste d'horreur.. à une grande héroïne..
Mazette cette Adèle c'est un sacré bout de nana !
Intelligente et belle, forte et courageuse, même si ses chapeaux sont plus que moches !
Adèle qui fume, qui boit, qui écrit... qui enquête.

Mazette que cet album m'avait foutu les chocottes quand j'étais môme.. Mais j'aimais déjà les histoires de diables, de démons, ce fantastique à la frontière... étrange et pénétrant... Cauchemardesque.
Oui cauchemardesque tout autant que drôle.
Rempli de cinglés.
Alors oui ça date, et comme ça date c'est fait d'une façon un peu ancienne, c'est très verbeux, les bulles expliquent, les personnages expliquent ce qu'il se passe pour la compréhension du lecteur. Oui ça se lit autant que ça se regarde.

Une sacrée ambiance, servit par un chouette dessin et une belle colorisation.
J'aime beaucoup les Adèle Blanc-Sec du début...
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Le démon de la vitrine !


Son éditeur lui ayant demandé de créer un personnage féminin qui puisse devenir l'héroïne d'une série (les séries étant toujours plus vendeuses que des albums uniques), le dernier des Communards, j'ai nommé le libertaire Jacques Tardi, a donc donné naissance en 1976 à une féministe rentre-dedans du genre à ruer dans les brancards, j'ai nommé Mademoiselle Adèle Blanc-Sec, qui va devenir effectivement un personnage-culte et accompagner le révolutionnaire Tardi et nous-mêmes, son fidèle public, tout au long des années.


Dans le premier volume des aventures de celle-ci (en 46 pages en couleur, ce qui n'est pas si fréquent que cela chez Tardi), nous ne savons pas encore trop qui est vraiment la belle demoiselle imaginée par notre créateur rebelle qui, dans le Paris de 1911, nous fait traverser musées et jardins et arpenter les toits de la ville ainsi que les pavillons sinistres de la rue Louis-Ferdinand Bardamu (!) à la recherche d'un ptérodactyle meurtrier, réveillé par un lyonnais aux pouvoirs surnaturels, et qui, depuis, écume le ciel parisien à la recherche de nourriture et que traquent non seulement les photographes et la police, mais aussi un célèbre chasseur particulièrement expérimenté, chargé bien sûr de mettre fin aux exactions de la bête…


Dans ce second opus (à nouveau en 46 pages en couleur), qui fait suite et conclut en fait la première aventure d'Adèle Blanc-Sec, dont nous continuons de ne pas trop savoir quel personnage elle est vraiment (voleuse, écrivaine, aventurière, journaliste), certains protagonistes du premier tome se rappellent à notre bon souvenir, l'attention de tous étant cette fois-ci focalisée sur un ancien dieu assyrien dont les adorateurs du Paris de 1911 sèment le trouble dans la Cité-Lumière (mystérieuses disparitions sur le Pont-Neuf, retour de la peste)…


Après nous avoir promené au Jardin des Plantes et à l'intérieur du Muséum d'histoire naturelle dans le premier volet, Tardi nous entraîne cette fois-ci du Louvre à la Tour Eiffel en continuant de nous faire découvrir les rues, les édifices, les portails, les cimetières et les vitrines poussiéreuses du vieux Lutèce et ce pour notre plus grand plaisir de mateurs de vignettes et de planches d'un artiste de grand talent qui a toujours su, comme personne, nous faire profiter de l'atmosphère du Paris d'antan.


Si vous aimez ‘Rocambole' et ‘Les mystères de Paris', le style délirant de Gustave le Rouge et le surréalisme, vous vous régalerez avec ‘Les aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec' ; mais si vous en êtes restés à Tintin et Milou, Astérix, Achille Talon et consorts, vous aurez peut-être un peu plus de mal à digérer le plat (encore que) !
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Le deuxième volet des aventures d'Adèle Blanc-Sec se poursuivent dans le Paris de 1911 où le lecteur retrouve des lieux familiers ramenés au début du XXème Siècle.
A la suite de l'affaire du jardin des plantes, objet du premier opus, Adèle est sur les traces de ses comparses qui l'ont trahie.
Alors que des disparitions inexpliquées se déroulent sur le Pont Neuf, un comédien est assassiné sur la scène où il joue une pièce somme toute médiocre qui évoque la Babylone antique.
A partir de nombreux faits mystérieux démarre une aventure rocambolesque aux ramifications multiples et parfois unpeu confuses si on ne suit pas le déroulement avec attention.
On retrouve les ingrédients présents dans ces albums : un Paris disparu, une jeune femme intrépide et un inspecteur médiocre qui peine à relier les énigmes entre elles.
Un moment agréable.
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
p.48.
Le commissaire principal DUGOMIER resta en place. C'est même lui qui tira toute la gloire de l'arrestation des membres de la secte dont il était lui-même l’instigateur des crimes.
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Oui, drôle d'histoire ! Même pas bonne à faire un mauvais roman...Trop compliquée ! On n'y comprendrait rien.
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- Des rendez-vous à la station SEVRES- BABYLONE pour rechercher une statuette assyrienne ! ceux qui s'intéressent à PAZUZU ne manquent pas d'humour. Bravo !
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Au contraire, vous me semblez bien mal parti, CAPONI . Vous compliquez à souhait cette affaire qui n'est certainement rien d'autre qu'une histoire de jalousie entre acteurs. Vous savez aussi bien que moi ce que sont ces gens, CAPONI, des artistes, autrement dit des détraqués, des pervertis sexuels, des criminels en puissance!
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- Écoutez ça : « Parmi les œuvres du Salon, remarquons tout particulièrement celle que nous donne à voir Jules-Émile PEISSONIER, représentant avec vigueur et fidélité une scène de sacrifice en l'honneur de quelque démon antique. Peu d'artistes auront eu la chance de marquer leur époque en restituant avec autant de force et de vérité les splendeurs sauvages de l'empire chaldéo-assyrien ! Quelle œuvre ! Quel talent ! Quel sens de la composition ! »
- Pas de doute PEISSONIER s'est spécialisé dans la représentation de scènes de l'Antiquité assyrienne. Regardez PAZUZU en plein milieu de la toile…
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Videos de Jacques Tardi (88) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jacques Tardi
La brillantez que genera la obra de los grandes artistas los aísla en una genialidad aparentemente solitaria. Pero esto no es así. Todos ellos llegaron a su arte admirando, a veces copiando, la obra de sus predecesores antes de emprender su propio camino. Escuchar a los artistas hablar de sus predecesores, que han tenido un profundo impacto en ellos, es una buena manera de hacerse una idea de su cultura gráfica. Aquí proponemos descubrir una generación de artistas a través de los ojos de la siguiente. Tomando prestado el título de uno de los primeros libros de PLG, Anabel Colazo, Kim y Paco Roca nos hablarán cada uno de los autores que les iniciaron en el cómic, y que les han acompañado. Y nos mostrarán las imágenes.
Nos cruzaremos con Dan Barry (más que con Alex Raymond), Harold Foster, Frank Robbins, los ilustradores de Mad, Richard Corben, la pandilla de El Juves, Tardi, Peyo, Kasumi Yasuda, Vittorio Giardino, Ambros, Francisco Ibáñez, Albert Uderzo, Jack Kirby, Moebius, Bruce Tim, Jaime Hernández, Hayao Miyazaki, además de películas, series, novelas y videojuegos...
Los tres artistas pertenecen a generaciones diferentes, pero, por supuesto, tienen distintas fuentes de inspiración, lo que da lugar a una interesante confrontación. La conversación, iniciada durante las mesas redondas de SoBD 2023, está dirigida por Manuel Barrero.
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