Dès les premières pages, ce roman m'a rappelé
le Complexe d'Eden Bellwether de
Benjamin Wood et ce n'était pas un bon point car je n'en avais terminé la lecture tellement je m'étais sentie hermétique à ce qui s'y passait. On retrouve dans
le Maître des illusions le même milieu universitaire avec un jeune homme qui tente de s'intégrer dans un groupe "élitiste", la même atmosphère délétère... J'ai essayé de passer outre cette mauvaise impression, mais finalement, comme pour
le Complexe d'Eden Bellwether, je me suis arrêtée au tiers du roman. J'avais l'impression que l'intrigue, très sombre, s'étirait en longueur et, même si
Donna Tartt est indéniablement douée pour créer une atmosphère et dépeindre des personnages complexes, ce vers quoi elle m'entraînait ne me tentait pas du tout... Au moins j'aurai essayé...
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