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Critique de Alfaric
J’ai rarement lu un shonen aussi bien rempli ! Pas de chialades à répétition, pas de flashbacks qui n’en finissent plus ou de longs monologues sur la force de l’espoir et de l’amitié ou de discours sur le pouvoir de l’amour : l’auteur pense ses lecteurs suffisamment intelligents pour ne pas avoir à les prendre par la main…
Et graphiquement c’est un vrai plaisir, la mangaka affinant son style personnel en puisant dans diverses inspirations pourtant divergentes. On glisse ainsi de la légèreté visuelle d’un Akira Toriyama ou d’une Rumiko Takahashi, aux dessins réalistes de Tetsuo Hara ou de Tsukasa Hojo.
Dans le tournoi des ténèbres, l’affrontement continue entre la team Yusuke et les artistes martiaux lobotomisées en machines à tuer du Docteur Itchigaki.
Kuwabara s’interpose pour les faire revenir à la raison, mais se fait méchamment laminer. En dernière extrémité, Yusuke s’avance pour leur apporter la mort qu’il appelle de leur vœux mais c’est le Masque qui conclue en utilisant une puissante technique secrète qui les envoie tous les 3 au tapis : le Shu no Ken (= le Poing de la Purification) !
Aux abois, le savant fou à la Akira Toriyama utilise un produit de sa conception pour se transformer en monstre terrifiant en monstre terrifiant… qui se fait exploser en 1 seul coup par Yusuke ^^
Le sensei est guéri et ses élèves sauvés, d’ailleurs ils se proposent même pour remplacer Kuwabara blessé.
Tout est bien qui finit bien ? Non ! Alors que la team Yusuke pensait panser ses plaies, les organisateurs pourris du tournoi leur font immédiatement commencer le tour suivant en affrontant l’équipe des « Mashotsukaï », les ninjas des ténèbres. (Une équipe qui souhaite remporter le tournoi pour gagner le droit de vivre à la surface et de contempler les rayons du soleil).
Et pour ne rien gâcher, Hiei et le Masque se font piéger à l’infirmerie par Ruka la démone sexy spécialiste en champs de force… Oh, tout ça ne plaît pas du tout à Zin le Maître du Vent, le meilleur guerrier adverse (un super personnage à la Rumiko Takahashi ^^).
Kurama se propose d’éliminer le maximum d’adversaires avant de passer le relais à Yusuke :
- du pathos et de l’originalité avec Gama le peintre démon qui donne sa vie pour priver Kurama de ses capacités physiques et magiques.
- du pathos et de classicisme avec Toyha le cryomancien démon obligé de jouer au chat et à la souris avec Kurama qui joue la montre jusqu’à un très épique cross counter final !
- du pathos puis de l’humour avec Bakuken le colosse qui génère du brouillard avec sa sueur, qui éclate un Kurama grièvement blessé avant de se faire éclater un 1 seul coup par une Yusuke complètement déchaîné…
C’est là que Zin l’aéromancien démon entre en scène, anticipant un combat digne de son nom contre un aficionado de la baston. Et il a bien raison, le mangaka nous offrant un super combat à la fois bourrin et stratégique, dans la plus grande tradition des meilleurs tomes de "Dragon Ball" !
Un excellent shonen nekketsu, qu’on se dise… blink
Et graphiquement c’est un vrai plaisir, la mangaka affinant son style personnel en puisant dans diverses inspirations pourtant divergentes. On glisse ainsi de la légèreté visuelle d’un Akira Toriyama ou d’une Rumiko Takahashi, aux dessins réalistes de Tetsuo Hara ou de Tsukasa Hojo.
Dans le tournoi des ténèbres, l’affrontement continue entre la team Yusuke et les artistes martiaux lobotomisées en machines à tuer du Docteur Itchigaki.
Kuwabara s’interpose pour les faire revenir à la raison, mais se fait méchamment laminer. En dernière extrémité, Yusuke s’avance pour leur apporter la mort qu’il appelle de leur vœux mais c’est le Masque qui conclue en utilisant une puissante technique secrète qui les envoie tous les 3 au tapis : le Shu no Ken (= le Poing de la Purification) !
Aux abois, le savant fou à la Akira Toriyama utilise un produit de sa conception pour se transformer en monstre terrifiant en monstre terrifiant… qui se fait exploser en 1 seul coup par Yusuke ^^
Le sensei est guéri et ses élèves sauvés, d’ailleurs ils se proposent même pour remplacer Kuwabara blessé.
Tout est bien qui finit bien ? Non ! Alors que la team Yusuke pensait panser ses plaies, les organisateurs pourris du tournoi leur font immédiatement commencer le tour suivant en affrontant l’équipe des « Mashotsukaï », les ninjas des ténèbres. (Une équipe qui souhaite remporter le tournoi pour gagner le droit de vivre à la surface et de contempler les rayons du soleil).
Et pour ne rien gâcher, Hiei et le Masque se font piéger à l’infirmerie par Ruka la démone sexy spécialiste en champs de force… Oh, tout ça ne plaît pas du tout à Zin le Maître du Vent, le meilleur guerrier adverse (un super personnage à la Rumiko Takahashi ^^).
Kurama se propose d’éliminer le maximum d’adversaires avant de passer le relais à Yusuke :
- du pathos et de l’originalité avec Gama le peintre démon qui donne sa vie pour priver Kurama de ses capacités physiques et magiques.
- du pathos et de classicisme avec Toyha le cryomancien démon obligé de jouer au chat et à la souris avec Kurama qui joue la montre jusqu’à un très épique cross counter final !
- du pathos puis de l’humour avec Bakuken le colosse qui génère du brouillard avec sa sueur, qui éclate un Kurama grièvement blessé avant de se faire éclater un 1 seul coup par une Yusuke complètement déchaîné…
C’est là que Zin l’aéromancien démon entre en scène, anticipant un combat digne de son nom contre un aficionado de la baston. Et il a bien raison, le mangaka nous offrant un super combat à la fois bourrin et stratégique, dans la plus grande tradition des meilleurs tomes de "Dragon Ball" !
Un excellent shonen nekketsu, qu’on se dise… blink
