Un mélange de
Voltaire pour le vernis philosophique et de
John Irving pour l'imagination débridée a dit un critique. Ce qui n'est pas idiot. Mais quelle histoire artificielle. L'auteur entasse personnages déjantés sur péripéties outrancières, genre qu'est-ce que je pourrais bien écrire qui ne l'ait pas encore été? Mais ça ne prend jamais forme, ça reste une addition sans jamais devenir un tout. Ce n'est pas déplaisant à lire, juste un peu fatigant.
Commenter  J’apprécie         60