Pas de nom.
Pas de prénom.
Un boulot, dessinateur judiciaire, ce qui explique le curseur plaisir en rade dans ce type de taf.
Un trauma, profond.
L'assassinat de sa fille, Caroline, "20 ans, jeune et jolie
Remets donc le film à l'envers, magnéto de la vie
Pour elle, faut-il l'admettre, des larmes ont coulé
Hémorragie oculaire...".
Depuis, c'est le trou noir.
Désir de vengeance absolu.
Alors, toi qui t'apprêtes à sortir de prison, un bon conseil, prolonge le séjour ou le dessinateur pourrait bien te croquer tout cru.
Pitch prometteur.
Retard à l'allumage.
Difficile d'imaginer un gars assassiner en toute impunité sans foutre les condés sur une quelconque piste, fût-elle blanche.
Compliqué d'imaginer venger sa gamine en rayant de la surface de la terre chaque vil salopard encagé recouvrant la liberté.
Un twist bienvenu, une compagne aux intérêts divergeant et c'est avec un oeil neuf que j'appréhenderai le second volet en escomptant un final qui tienne aussi bien la route que sa VMax.
Dessin plaisant.
Scénar' abarcra, abbra...vous m'aurez compris.
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Album peu connu et peu lu. Dommage car le scénario est bien construit.
Dessinateur judiciaire, les salauds, les dingues et le laches n'ont cessé de remplir le côté professionnel de sa vie.
Côté personnel, il a perdu sa fille Caroline il y a deux mois. Violée un soir dans un train de banlieue, elle a mis fin à ses jours 3 mois plus tard.
Alors il ne lui reste qu'une chose à faire : tuer ces salauds à leur sortie de prison afin de venger Caroline. .
Le trait est épais, noir, rajoutant ainsi de la noirceur au thriller qui a pris toute sa dimension à la fin de tome 1.
Assurément le tome 2 à lire.
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