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Infinity 8 tome 2 sur 8
EAN : 9782369812593
96 pages
Rue de Sèvres (25/01/2017)
3.15/5   24 notes
Résumé :
Premier Reboot à bord de l'Infinity 8 ! Les informations cruciales transmises par Yoko Keren (T1) au QG ont décidé le Capitaine à lancer une nouvelle trame temporelle et activer un second agent : l'impulsive Stella Moonkicker, qui ne disposera à son tour que de 8 heures pour réunir un maximum de renseignements. Flanquée de Bobbie, son assommant robot de probation, elle est assignée à la sécurité d'un groupe de nostalgiques du nazisme, dont ils ne comprennent pas les... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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J'avais bien apprécié le premier volume de cette série. Ici, donc, changement de dessinateur avec maintenant Olivier Vatine, et Lewis Trondheim est seul au scénario. Un histoire de Nazi dans le futur très lointain, des nazi qui n'ont pas une connaissance de l'histoire très pointue : “Le nazisme c'est pour tout le monde, c'est une philosophie d'élégance et de bonheur.” “Nous avons des conseils beauté, minceur, cuisine”. Trondheim se lâche, c'est délirant, drôle, d'un humour noir assez glaçant, le graphisme est élégant, plus “ligne claire” que le premier volume, c'est rempli d'inventions, de décors fous, d'être étranges, j'ai aimé aussi ce point de vue avec le héros qui se laisse embarquer dans le mauvais camp. Pétillant, drôle, je crois que je suis déjà accroc à la série, je continue sur ma lancée.
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Selfie avec tonton Hitler.

Á bord du gigantesque vaisseau intergalactique, une petite exposition "nazi c'est fashion" est organisée.
Il faut dire que l'idéologie a quelque peu muté, ils ont pas l'air bien méchants, ces geeks de la swastika.
Moonkicker, agente un poil susceptible et débridée, est quand même appelée pour surveiller la petite fête.

Et là, hasard de l'espace, tout ce petit monde tombe sur une improbable relique : la tête d'Hitler, congelée à l'époque par von Braun.
Et là encore, idée de génie, il vont faire revivre ce cerveau fétiche... dont toutes les lumineuses petites cellules grises n'ont pas pris une ride depuis 1945...

On reconnaît bien dans cet opus, l'esprit tordu de Trondheim.
Un rien l'amuse, surtout si c'est un tantinet sacrilège. Toujours en gardant un esprit bon enfant, donc çà passe.

Ce scénario m'a un peu plus électrisé que le premier opus, par contre j'ai aussi été un chouïa déçu par la patte de Vatine, moins poussée que d'habitude.
Correct, mais ces deux auteurs ont fait tellement mieux...
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8 albums pour justifier un « reboot » à bord d'un immense vaisseau, l'Infinity 8, dont le capitaine, une puissante créature extraterrestre, peut « rebooter » jusqu'à 8 fois pour éviter des situations désagréables tournant au chaos.

Nous suivons l'incroyable agent de sécurité, Stella Moonkicker, sexy en diable, qui doit veiller à la tranquillité des centaines de milliers de passagers voyageant à bord de l'Infinity 8. Cette jeune fille est pour le moins très indépendante et n'a guère envie d'écouter le robot qui l'accompagne qui est la raison-même.

Stella sympathise très vite avec les nazis qui sont à son bord et qui n'ont aucune idée de qui étaient vraiment les nazis et Hitler. En clair, ce sont des gens charmants qui proposent de jolis mugs, des porte-clefs exclusifs, le gâteau de l'amitié, des conseils beauté-minceur, etc.
Soudain, l'Infinity 8 est bloqué dans son voyage vers Andromède par un obstacle imprévu : un amoncellement de tombes, mausolées, cimetières…


Critique :

Je n'ai été séduit ni par le dessin, ni par le scénario. L'humour se veut absurde. Il l'est ! Mais je ne l'ai pas trouvé drôle. le dessin me paraît d'un autre âge.
Je n'en dirai pas plus car je n'aime pas démolir un livre. J'ai longtemps hésité à en faire la critique pour cette raison, mais après tout, si je ne place sur BABELIO ce que j'ai aimé, je tronque la vérité.
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http://dcafeine.blogspot.be/2017/06/infinity-8-t1-et-t2-trondheim-et-des.html

Dans le tréfonds d'une galaxy lointaine navigue le vaisseau de classe-A : l'Infinity-8. Sa destination ? la Galaxy d'Andromède. Sa cargaison ? pas moins de 900.000 passagers de toutes races parti faire bronzette les doigts de pieds bien écartés s.v.p.

C'est a son bord qu'officie la jeune et jolie Yoko Keren, agent de police qui porte fièrement le lycra comme une seconde peau et qui est en charge de faire respecter l'ordre d'une poigne de fer ... mais à sa manière; D'autant plus qu'elle à sur ces fesses le lubrique le lieutenant Reffo et le capitaine du vaisseau à la forme tentaculaire et qui a l'habilitée de pouvoir rebooter jusqu'à 8x un moments afin de faire une boucle dans le temps et d'éviter certains désagrément :)

Mais une situation d'urgence vient de survenir : le vaisseau vient de faire un arrêt inattendu suite à l'encontre d'un amas d'artefact d'origine inconnue façon gros dépotoir, surtout qu'il est rempli de vestige symbolisant la mort sous toute ces formes; que ce soit des morceaux de villes, des débris , ou autres.

L'agent Keren va devoir investiguer et s'assurer qu'aucun danger n'y est caché ... mais c'est sans compter certains passagers Kornalien, qui non content d'être de sacré nécrophage, sentent cette bonne odeur de mort les appeler.

Sexy, fun , décomplexé, ... voilà un sympathique Space Opera qui aura le mérite de vous mettre l'eau à la bouche avec ce premier épisode d'un cycle comportant pas moins de 8 numéros; Proposé aux éditions "Rue de Sèvres" , ce projet à pour origine le duo Olivier Vatine et Lewis Trondheim.

Alors je freine un peu tout de suite avant de continuer cette critique, mais celle-ci ne porte que sur les deux premiers cycles, je n'ai point eu entre mes fraîches mimines les deux derniers épisodes;

Alors, c'est bien ?

Chaque cycles ou épisodes de cette série est l'opportunité de vivre une nouvelle aventure mais sous un tout autre angle car un simple élément, l'effet papillon, va donner une toute nouvelle direction. La preuve en est le deuxième épisode ou l'agent doit mené l'enquête mais elle est surtout en train de tombé sous le charme de se jeune mouvement qui à le vent en poupe et portant fièrement la croix gammée.

Encadré par une charte graphique crée par deux main gantés (et clouté), j'ai nommé Olivier Vatine et Lew Trondheim, chaque récit est tenue par un graphiste différent offrant au lecteur l'avantage de retrouver facilement notre équilibre et nous offrir une cohérence et continuité entre chaque cycle temporels (oui je sais une continuité quand on parle de reboot ça fait très euclidien).

Scénaristique-ment les deux premières histoires sont très originales et complètement différentes. Des dialogue qui mon mouche à chaque crochet de page (mouche ... crochet ... non ?) et le graphisme, étant confié à un auteur de talent différent, est simple et sans chichi (c'est pas du Goya non plus hein) vous fera une lie qui donnera un moment d'évasion à nos chères esprits; d'autant que les dialogues sont amusants, frivole et même parfois sérieux.

L'on passe donc un très bon moment de lecture; à cela vous rajoutez une jolie couverture et je pense que cette série aura du succès si elle est diffusée correctement chez tous nos libraires.

Les deux premiers épisodes sont disponibles façon cartonnée , genre bd classique ou également en format comics très très sympathique.

Sauront-ils s'échapper de ce mystérieux amas d'artefacts morbide ? Huit aventures, Huit possibilités ... à vous de choisir la votre
Lien : http://dcafeine.blogspot.be/..
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Le concept d'Infinity 8 est basé sur un principe prometteur. Un vaisseau-monde se retrouve bloqué à proximité d'une nécropole spatiale. C'est alors que les problèmes surgissent. A chaque album, grâce uax capacités d'une entité extraterrestre, les autorités ont l'opportunité d'explorer les 8 prochaines heures avant de décider, ou non, d'un "reboot" qui permet de revenir 8 heures en arrière et d'adapter les mesures pour tenter de suavegarder le vaisseau et pouvoir reprendre la route. Chaque tome sera donc indépendent et pourra se lire sans ordre particulier, à l'exception du tome 1 qui expose le concept, et probablement du tome 8 qui apportera sans doute une conclusion.
Le champ des possibles est donc très larges.
Mais le resultat n'est jamais à la hauteur. le premier tome imaginait des nécrophages qui se lançaient dans une frénésie orgiaque. le deuxième tome met en scène des nazis de l'espace tout excités de retrouver la tête cryogénisée d'Hitler. Ce dernier revient à la vie et est bien décider à recréer le 3ème Reich dans l'espace.
Des nazis dans l'espace, une idée con dans la lignée de la série Z, qui semble inspirer les auteurs pour Infinity 8.
Mais la série Z sans recul et sans relief, c'est juste sans intérêt. J'attendais de la folie, de la parodie, du mauvais goût. de mauvais goût, aucune trace, ce qui finit par donner un mauvais goût à l'ensemble, paradoxalement. Parce que tout est d'un premier degré plat. parce que l'ensemble donne l'impression d'être inspiré de la culture pulp tout en s'enfermùant dans le carcan de la bande dessinée franco-belge: grand format, luxueux, cher... alors que ce genre de produit auraiot dû jouer à fond sur la format. C'est comme si SAS était édité à la Pleïade. Une incongruité de plus.
Un concept prometteur, un casting alléchant, mais un résultat sans intérêt.
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critiques presse (3)
BDGest
20 février 2017
Un album sympathique, qui ne figurera probablement jamais dans les anthologies, mais qui permet tout de même de passer un bon moment. Se lit un peu vite.
Lire la critique sur le site : BDGest
BoDoi
27 janvier 2017
Le deuxième volume, mené par la paire originelle Trondheim-Vatine, joue à fond la carte du second degré, avec pour vedette un Adolf Hitler exhumé et bien énervé dans son bocal. Ainsi qu’une bonne dose de violence sanguinolente pour rire, et quelques bon mots.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Sceneario
23 janvier 2017
On a hâte de lire la suite, qui ne devrait pas trop tarder à pointer le bout du nez ! Extrêmement conseillé en tout, surtout pour les superbes planches de Vatine qui s'éclate beaucoup visiblement !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- C'est homme m'avait TRAHI ! Et il avait trahi mes IDEAUX ! Qui es-tu pour le défendre ?
- Euh... c'était un clône... c'était pas le vrai.
- C'est le même SANG DE TRAITRE qui coulait dans ses veines.
Qui es-tu ? Ta tête me dis quelque chose.
- Je... je m'occupe du site ultranet nazi, conseils beauté, minceur, cuisine...
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- Je vais vous équiper.
Enfilez cette combinaison spatiale.
Allez ! Tenez !
- Je ne mets pas cette daube.
- Mais... Euh...
- De l'astro-spray, et ce sera très bien.
- Mais c'est dommage.
- Si vous voulez voir mon cul, enfilez des lunettes à rayon X.
...
KLK ! Back to business.
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KLK !
...
- Je suis un de vos followers, agent Moonkicker. Quand vous postez une photo où j'apparais avec la légende : "échange robot stupide contre flingue, arc ou même lance-pierre", j'y ai accès.
- Aucune importance, les robots ne peuvent pas être vexés.
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- Bon... si on allait oublier tout çà, et boire une petite verveine tous ensemble ?
- Quoi ? Tu veux te DEBINER comme Rudolph Hess qui est parti en ANGLETERRE ?
- !! Je... je ne m'appelle pas Rudolph Hess... je m'appelle... Euh...
...Winston Churchill !
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