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Critique de petitours
Réussir à atteindre un tel niveau de saleté avec une série de cases homogènes relève de la gageure artistique de très haut niveau : un fond noir, un ou plusieurs ovales blancs et quelques points à droite à gauche.
Par le jeu de ces quelques éléments, Trondheim invente un langage où l'on devine un large panel de combinaisons et de positions sexuelles. Il est assez troublant de voir à quel point le cerveau du dessinateur est tordu, encore plus troublant de se voir en lecteur pervers devinant assez vite là où il veut en venir.
Une remarque toutefois, cette nouvelle pornographie pourra paraître légèrement ésotérique à ceux qui manquent un peu de second degré. Dans le fond je me suis fait une promesse : quand j'aurai des gosses, je mettrai ce bouquin dans les toilettes, (dans le coin à côté des harlequin et des san antonio). le jour où j'entendrai de puissants éclats de rire ou à l'inverse des râles de dégoûts, j'aurai compris que l'adolescence touche à sa fin et qu'une nouvelle maturité se prépare.
En résumé, à pisser de rire!
Par le jeu de ces quelques éléments, Trondheim invente un langage où l'on devine un large panel de combinaisons et de positions sexuelles. Il est assez troublant de voir à quel point le cerveau du dessinateur est tordu, encore plus troublant de se voir en lecteur pervers devinant assez vite là où il veut en venir.
Une remarque toutefois, cette nouvelle pornographie pourra paraître légèrement ésotérique à ceux qui manquent un peu de second degré. Dans le fond je me suis fait une promesse : quand j'aurai des gosses, je mettrai ce bouquin dans les toilettes, (dans le coin à côté des harlequin et des san antonio). le jour où j'entendrai de puissants éclats de rire ou à l'inverse des râles de dégoûts, j'aurai compris que l'adolescence touche à sa fin et qu'une nouvelle maturité se prépare.
En résumé, à pisser de rire!
