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Cycle de Tom et Huck tome 2 sur 4

André Bay (Traducteur)Claude Grimal (Éditeur scientifique)
EAN : 9782080707000
344 pages
Flammarion (04/01/1999)
4.01/5   1049 notes
Résumé :
On a rencontré Huckleberry Finn dans Les Aventures de Tom Sawyer où il figurait parmi les personnages principaux du roman. Cette fois, c'est lui le héros. Huckleberry, Huck pour les amis, est un jeune vagabond livré à lui-même, son père, alcoolique et violent, ne faisant que de brèves apparitions dans sa vie. Au début de l'histoire, on le retrouve adopté par une veuve riche et charitable, qui tâche de faire de lui un gentleman. Un véritable défi pour qui connaît Huc... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (79) Voir plus Ajouter une critique
4,01

sur 1049 notes
Depuis « Les aventures de Tom Sawyer », Huckleberry Finn a quitté la maison de la veuve Douglas et son père, ivrogne notoire et assez violent avec son fils, est de retour à Saint-Pétersbourg.
Ce qui compte c'est le modèle du héros américain, sur son radeau, au fin fond de la brousse, bien à l'abri de la « sivilisation ».
On pourrait parler de picaresque, car il s'agit d'une suite d'aventures (assez bizarres et sans trop grande morale). On est dans le sud des États-Unis : il y a une tendance légèrement raciste et l'esclavage présenté comme étant normal.
Au final on retiendra surtout le thème du voyage initiatique, nous sommes d'emblée en plein dans la question de l'identité : Huck voudrait bien renier son père et passe pour mort auprès de la population de Saint-Pétersbourg.

Pour ma part j'ai préféré « Les aventures de Tom Sawyer ».
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Si "Les aventures de Tom Sawyer" m'avaient énormément amusée, celles de Huckleberry Finn - qui font suite aux premières - m'ont plus souvent fait rire... jaune. Normal dans un sens puisque Mark Twain aura mis huit ans à les écrire, voulant minimiser l'aspect purement jeunesse de sa littérature au profit d'une critique sociale de l'Amérique ségrégationniste.

Huck s'enfuit du Missouri sur un radeau avec Jim, un esclave "marron" qui cherche à échapper aux poursuites et au sort funeste - la pendaison - commun aux Noirs échappés des plantations de coton. L'accent du récit est donc davantage mis sur la société sudiste américaine dans le but de dénoncer la ségrégation puisque Huck, personnage principal et définitivement anticonformiste et libre-penseur, cherche lui aussi à fuir "la civilisation" et à préserver son mode de vie marginal, faisant bien volontiers une croix sur ses proches et son patrimoine (il avait trouvé un trésor dans le tome précédent). Un seul mot d'ordre : liberté ! Un paradoxe dans le contexte bien que ce mot soit le plus chéri des Etats-Uniens...

Le roman est une succession d'aventures au sens littéraire du terme : action incessante, rencontres cocasses, escroqueries, plan d'évasion, dissimulations en pagaille... on ne s'ennuie pas un instant et l'imagination fertile de Mark Twain n'hésite pas à faire même apparaître Louis XVII réchappé de la Révolution sous les traits d'un batteur d'estrade escroc réfugié au Nouveau-Monde !

Tom Sawyer fera quant à lui son apparition dans la dernière partie du récit pour raccrocher le roman à la littérature jeunesse en un hilarant hommage aux grands évadés de l'histoire et de la littérature, ce qui permet à l'auteur d'achever de maquiller habilement sa satire. "Les aventures de Huckleberry Finn" sont donc autant à lire par les adultes que par les enfants et, si possible, entre les lignes.


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"Aventures de Huckleberry Finn", c'est un idéal de roman d'aventures. Mais il n'est pas que ça.

Bien plus qu'un simple récit de divertissement, c'est aussi un formidable roman d'apprentissage et un grand texte humaniste, où l'on voit le jeune Huck, peu à peu ouvrir les yeux sur le monde et les hommes qui l'entourent. Progressivement, il verra en Jim le "nègre" un homme, un ami. de ce point de vue, le roman de Twain est d'ailleurs assez précurseur.

En suivant le périple rocambolesque du sympathique Huck, ses aventures trépidantes au gré de ses rencontres avec une galerie de personnages originaux et pittoresques, on ressent tout un panel d'émotions, passant du rire aux larmes, de la colère à l'émerveillement.

Le récit, ample et très vivant, alterne des moments calmes et paisibles avec des passages au rythme échevelé.
Le fantasque Tom Sawyer illumine de son panache la dernière partie du récit en y insufflant un souffle de folie drolatique.

L'oeuvre de Twain est un régal, un enchantement qui peut se lire à tout âge pourvu qu'on ait gardé une capacité d'émerveillement et une petite part d'enfance dans son coeur.
Pour terminer et j'espère vous donner envie de lire "Aventures de Huckleberry Finn", je citerai le grand Hemingway : "Avant, il n'y avait rien. Depuis, on n'a rien fait d'aussi bien."
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Huckleberry Finn est l'ami de Tom Sawyer. Il n'aime rien tant que vivre au grand air, dormir dans une grande et pêcher quand bon lui semble. Depuis que la veuve Douglas l'a recueilli, il doit apprendre à se tenir en société, respecter les horaires, manger proprement, aller à l'école. Et pire que tout, il doit se montrer à la hauteur de la fortune qu'il a trouvée avec son ami. Quand son père revient, bien décidé à faire main basse sur le magot de son fils, Huck se voit perdu, contraint de vivre sous la coupe de cet homme brutal et alcoolique. « Tu lâcheras cette école, entends-tu ? Élever un enfant pour qu'il rougisse de son père ! » Huck en regretterait presque la maison de la veuve Douglas ! Parvenant à s'échapper, il s'embarque pour une folle aventure sur le Mississippi en crue, avec Jim, vieil esclave en fuite qui tente de rejoindre les états abolitionnistes.

Présenté comme le pire des garnements dans Les aventures de Tom Sawyer, le jeune Huck est finalement un gamin aussi attachant que son ami, voire plus puisqu'il fait montre une vraie naïveté face aux déviances de la société, d'une véritable indignation et d'une sincère remise en question. Présenté par son auteur comme un roman picaresque, le texte est également une réflexion mordante sur la société américaine, son puritanisme et l'esclavage qu'elle pratique encore comme un droit. Loin d'être aussi léger et inoffensif que le roman consacré à Tom Sawyer, Les aventures de Huckleberry Finn est une virulente accusation des normes sociales et un hymne à la fuite de la civilisation qui corrompt les hommes. Cette histoire m'a bien plus émue que celle de Tom !
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J'ai longtemps dédaigné ce grand classique américain, pensant à tort qu'il s'agissait d'une littérature de jeunesse dans la lignée des Aventures de Tom Sawyer. Mais si l'on retrouve les personnages du premier opus dédié à Tom, les thèmes abordés par Twain dans les Aventures de Huckleberry Finn sont d'une tout autre profondeur. La langue de Twain, pleine de spontanéité et d'humour, doit beaucoup au fait que l'histoire est narrée à la première personne par Huck lui-même. J'ai découvert ce roman dans sa version originale avant de lire sa traduction par André Bay, que j'ai beaucoup appréciée. Plus récemment, j'ai souhaité découvrir la nouvelle traduction de Bernard Hoepffner qui revisite les Aventures de Huckleberry Finn dans une langue résolument moderne, à la transgression assumée, mais qui reste fidèle à l'esprit de Twain dans les erreurs, expressions populaires et inventions linguistiques dont le jeune narrateur émaille son histoire. Toute traduction est imparfaite bien sûr, mais il faut admettre que cette transposition contemporaine fonctionne plutôt bien. Les mots employés ne cèdent pas non plus aux élans révisionnistes actuels, et pas seulement outre-Atlantique, qui sous prétexte de lutter contre les stéréotypes raciaux et la haine de l'autre, renomment ou réécrivent de grands classiques en les aseptisant à l'aulne d'un conformisme bien-pensant. Par exemple, Hoepffner (tout comme Bay avant lui) s'est refusé à bannir le mot « nègre » de ce roman publié en 1884 et dont l'action, rappelons-le, se passe dans les années 1830 ou 1840, à une époque où un homme peut en posséder un autre et en disposer à sa guise. Et dans ce monde où la discrimination et l'abomination sont normales et légales, une voix s'élève contre l'injustice et la déraison. Cette voix, c'est celle de la conscience en éveil de Huck, un jeune garçon ni très intelligent ni bien cultivé, et qui pourtant véhicule l'une des plus belles odes à l'amitié et à la tolérance de la littérature américaine. Dans le contexte actuel d'une Amérique divisée, plus que jamais frappée par les injustices sociales et raciales, la lecture (ou la relecture) de ce roman laisse entrevoir toute l'intemporalité de son combat sous-jacent.
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critiques presse (4)
BulledEncre
21 décembre 2011
Un chef d’œuvre qui à l’époque a lancé la carrière de Mattotti. La maestria avec lequel il a rendu l’esprit libertaire du livre pousse à l’enthousiasme.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Du9
30 novembre 2011
Mises en lumière par la couleur [...] ces pages témoignent d’un Mattotti comme au bord du flux cherchant son dessin (chez Toppi et Pratt en particulier), son devenir pour s’y laisser glisser, embarquer, porter. Par hasard, par un livre, par Twain, avec un scénariste (Antonio Tettamanti), il l’exprima.
Lire la critique sur le site : Du9
BDGest
24 octobre 2011
Une indéniable réussite que cette publication, ode vibrante à la liberté, archétype du roman d’itinérance et d’apprentissage, où les deux héros savent conjuguer ruse et malice à leur optimisme naïf quand il s’agit de prendre soin l’un de l’autre. Que le lecteur soit un inconditionnel de Mattotti souhaitant découvrir une œuvre de jeunesse du transalpin, ou simplement curieux de lire cette réappropriation du livre de Mark Twain par un dessinateur talentueux, sa motivation se verra récompensée par un plaisir certain.
Lire la critique sur le site : BDGest
BullesEtOnomatopees
17 octobre 2011
Cette adaptation de Huckleberry Finn mérite amplement sa place dans la collection Fétiche, par sa grande qualité graphique (déjà !) et sa fidélité au texte original. Un détail frappe notamment lorsqu’on a suivi récemment les aberrations du puritanisme américain : l’emploi du mot nègre, respecté dans cette traduction. Et si Mattotti permettra ainsi à beaucoup de découvrir l’œuvre de Twain, c’est également un bon moyen pour découvrir l’œuvre de Mattotti ; ne vous privez d’aucune des deux !
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Citations et extraits (62) Voir plus Ajouter une citation
Elle me demanda :
"Dis-moi quand une vache est couchée, par où commence-t-elle à se lever. Réponds vite, sans réfléchir...
- Par l'arrière, bien sûr !
- Bon ! Et un cheval ?
- Par l'avant.
De quel côté la mousse pousse-t-elle sur les arbres ?
- Sur la face nord.
- Et si quinze vaches paissent sur une colline, combien d'entre elles paissent dans la même direction ?
- Toutes les quinze.
- Bon. Il n'y a pas de doute, tu as vécu à la campagne. Je me demandais si tu n'essayais pas encore de me bourrer le crâne. Quel est ton vrai nom, alors ?
- George Peters, madame.
- Bon, tâche seulement de t'en souvenir et ne viens pas me dire tout à l'heure que tu t'appelles Alexandre. Ton déguisement de fille ne tient pas debout, mon pauvre garçon. Peut-être qu'un homme s'y tromperait, mais pas une femme. La prochaine fois que tu voudras te déguiser ainsi, réfléchis à chacun de tes gestes. Quand tu enfiles une aiguille, pousse le fil à travers le chas de l'aiguille au lieu de faire le contraire, comme tous les hommes. Et quand tu lances quelque chose, il faut brandir le bras par-dessus la tête, tout raide, comme s'il pivotait autour de l'épaule, et il faut manquer largement son but au lieu de lancer sec et précis, d 'une secousse du poignet, comme un garçon. Et quand je t'ai envoyé le morceau de plomb sur les genoux, tu as serré les genoux au lieu de les écarter pour tendre la jupe, comme l'aurait fait une fille. Oh ! je me suis méfiée dès que tu as voulu enfiler l'aiguille et j'ai provoqué le reste pour être sûre.
Maintenant, Sarah Marie Williams George Alexandre Peters, reprends ta route et n'oublie pas ton chemin. La prochaine fois que tu voudras vagabonder, pense à mettre des chaussures, la route est mauvaise d'ici Goshen et tu auras les pieds en sang en arrivant.
"Allez, bon voyage, mon petit. Et si jamais il t'arrive des ennuis, sache que Judith Loftus - c'est moi - sera toujours prête à essayer de t'en sortir."
Je pus enfin filer!
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- Vous m’avez l’air d’un vieux malin, dit le jeune homme. Il me semble que nous pourrions nous atteler à la même voiture.
- Je ne demande pas mieux. Quelle est votre spécialité, sans indiscrétion ?
- Typographe, par état ; phrénologue, artiste dramatique, dentiste, magnétiseur, conférencier, maître de danse ou de géographie, débitant de médecines plus ou moins brevetées, selon l’occasion. Il n’y a pas de sot métier, pourvu qu’il n’exige pas trop de travail. Et vous ?
- J’ai fait un peu de tout cela dans mon temps. La bonne aventure et le magnétisme étaient mon fort, quand je trouvais un compère habile. Aujourd’hui, je m’en tiens aux conférences sur l’abus des liqueurs fortes. Si les ivrognes - on en rencontre partout - ne se dérangent guère pour venir m’entendre, leurs femmes accourent et d’assez grosses recettes récompensent mes faibles efforts.
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Je tremblais, parce que je devais trancher, à jamais, entre deux choses, et je le savais bien. J’ai étudié ça une minute, en retenant plus ou moins ma respiration, et puis je me dis :
"C’est bon, alors j’irai en enfer" […]
C’étaient des pensées terribles, et des paroles terribles, mais je les ai prononcées. Et je les ai laissées comme ça ; et j’ai jamais plus pensé à me réformer. J’ai repoussé tout ça de mon esprit ; et je me suis dit que j’allais reprendre le chemin du mal, ce qui était bien dans mon caractère, pasque c’était comme ça qu’on m’avait élevé, et que l’autre chemin était pas pour moi. Et pour commencer j’allais me mettre au travail et j’allais voler Jim de nouveau, pour le sortir de l’esclavage ; et si je trouvais quelque chose d’encore pire, je ferais ça aussi ; puisque, comme j’étais dedans, et que j’y étais jusqu’au cou, autant que j’aille jusqu’au bout.
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Pendant qu'elle y était, elle en a profité pour me dire tout ce qu'elle savait sur le paradis ; un endroit où les gens, à ce qu'il parait, n'ont rien d'autre à faire que de se balader avec une harpe et de chanter jusqu'à la fin des temps.
Ca ne me plaisait guère, mais j'en ai rien dit à Miss Watson ; je lui ai demandé si elle pensait que Tom Sawyer irait, lui au paradis. Et quand elle m'a répliqué que non, qu'il irait surement pas, j'ai été bien content, parce que j'avais pas envie qu'on soit séparés.

.......................


- Qu'est ce que c'est la rançon ?
- j'en sais rien. Mais c'est ce qu'on fait. J'ai vu ça dans les livres ; ce qui fait qu'il faut qu'on fasse pareil.
- Mais comment veux tu qu'on le fasse si on sait pas ce que c'est ?
-Zut à la fin ! Il faut qu'on le fasse. Puisque je te dis que c'est dans les livres !



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Si vous n'avez jamais lu Tom Sawyer, vous ne me connaissez pas encore, mais peu importe. Ce livre a été écrit par M. Mark Twain. Il a bien un peu exagéré, parfois, mais il a dit, en gros, la vérité.
Son livre finissait ainsi : Tom et moi avions déniché un trésor, caché dans une caverne par des bandits. Nous étions devenus riches ; six mille dollars chacun, le tout en pièces d'or. Je vous prie de croire que cela faisait un fameux tas ! Le juge Thatcher - il n'exerçait plus, mais nous l'appelions quand même juge, par habitude - avait placé notre argent, et nous recevions chacun un dollar d'intérêt par jour... Le Pérou, quoi, pour des gamins de quatorze ans !
Malheureusement pour moi, la veuve Douglas se mit en tête de me civiliser. Elle m'adopta. Quand je vous aurai dit que j'avais l'habitude de dormir dans un tonneau, de porter de vieilles frusques, de pêcher et de fumer à ma guise, vous comprendrez qu'il n'était pas drôle d'être enfermé dans une maison toute la journée. D'autant que la veuve était diablement à cheval sur les convenances ! Aussi personne ne n'étonnera-t-il d'apprendre qu'un beau jour j'en eus assez : je décampai.
Je retrouvai avec délices mes vieilles hardes, mon tonneau et ma liberté.
Hélas! Tom vint aussitôt me relancer. Il me raconta qu'il organisait une bande de brigands. Il était prêt à m'y accueillir, mais à une condition : je devais retourner chez la veuve et devenir, enfin, respectable. Que voulez-vous ... j'y retournai !
La veuve s'attendrit sur mon compte. Elle me traita de brebis égarée et d'un tas d'autres noms encore, mais sans penser à mal. Je dus remettre le costume neuf dans lequel j'étouffai et tout recommença. La cloche sonnait pour les repas et il fallait y être à l'heure. Et encore, on ne pouvait même pas manger tout de suite : il fallait attendre que la veuve eût baissé la tête et grommelé quelques mots au-dessus des plats. Au fond, je ne sais pas pourquoi elle bougonnait ainsi : ils étaient excellents, ces plats.
Après le dîner, elle prenait son livre et me racontait l'histoire de Moïse dans les roseaux. Moi, je trouvais cela passionnant, au début, mais quand je découvris que Moïse était mort depuis longtemps, il m'intéressa beaucoup moins.
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Vidéo de Mark Twain
Le récit initiatique d'une amitié estivale entre deux pré-adolescents, l'un noir, l'autre blanc, et une jeune fille, dans la Louisiane raciste des années 1930. Un roman graphique qui évoque l'univers des grands écrivains américains comme Mark Twain, Harper Lee ou Truman Capote, entre Tom Sawyer et le bruit et la fureur, l'histoire d'une amitié estivale durant laquelle nos héros passeront de l'innocence de l'enfance à certaines réalités de l'âge adulte… En librairie : https://www.dargaud.com/bd/swamp-bda5512570
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