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Critique de Diabolau


Un album particulier, à la fois parce que c'est un flashback qui revient sur des épisodes de l'enfance de Thorgal, et parce qu'il est divisé en trois parties à peu près égales.
J'avoue n'avoir vraiment aimé que le premier de ces trois sous-volumes. Je l'ai déjà dit dans les chroniques des tomes précédents, mais Rosinski excelle décidément à peindre les scènes maritimes, et là on s'en donne à coeur joie avec ce drakkar en perdition au milieu d'une mer déchaînée.
Ensuite, c'est là encore très personnel, mais je suis moins fan des délires mythologiques, moins crédibles, donc je suis moins happé par l'histoire, même si ce n'est pas inintéressant non plus.
Quant au troisième opus, il revient à la fibre SF qu'on avait déjà trouvée dans le tome 2, l'Ile des Mers Gelées, sauf que là je ne sais pas trop dire pourquoi, mais ça passe un peu moins crème... Peut-être parce que la dernière fois il ne s'agissait que de vestiges, alors que là on a un long flashback avec explication musclée dans et en dehors d'un vaisseau spatial. Le twist final du grand-père-sage-sorcier sur la montagne est quand même bien trouvé, je ne l'avais pas vu venir.
Et l'on fait connaissance avec le père adoptif de Thorgal, le viking Leif Haraldson, personnage attachant qui tranche, par sa sagesse et sa mesure, avec les habituels Gandalf-le-Fou et autre Jorund-le-Taureau.
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