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Critique de Fiorile


Alors on ne le dirait pas comme ça, mais normalement, j'aime beaucoup Fred Vargas. A tel point que j'ai donné mes exemplaires à des amis pour leur faire découvrir cet auteur (ne comptez pas sur moi pour mettre un “e” à auteur, je grince des dents à chaque fois que je tombe sur ce mot féminisé). Or, inscrite à un resto littéraire organisé sur le thème Vargas, je me précipite à la Fnac pour racheter un de ses livres. Et là, je tombe sur le premier roman qu'elle a écrit, dans les années 80, et qui en plus, a récolté un prix au Festival de Cognac. Ô joie, ô bonheur, vite, précipitons nous sur cette pépite !



Sauf que… Si j'avais découvert Vargas à ses débuts, je n'aurais probablement jamais fait connaissance avec Adamsberg.



L'histoire rapidement : Tom, peintre sans renom, décide que rencontrer le grand Gaylor, le peintre chéri de cette fin de 20ème siècle, assurera sa notoriété. Il arrive à se faire plus ou moins inviter dans une soirée organisée par le grand homme, mais un meurtre est commis, et tout désigne le pauvre Tom comme coupable.



D'accord, il s'agit d'un premier roman, je devrais être indulgente. Mais on sent tellement, dans les premiers chapitres, que l'auteur s'est donné du mal pour faire « du polar », que ça en devient pénible à lire. le style s'améliore heureusement ensuite, mais il me reste de la lecture de ce livre une impression d'hystérie collective, avec des personnages qui passent leur temps à crier ou à hurler. J'ai trouvé l'histoire globalement inintéressante, sans vrai ligne directrice, les personnages désagréables et le dénouement franchement décevant.
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