Où l'on découvre ce que peut dissimuler un beau canadien grand, fort et blond. Oups !!! je l'ai dit...
Quoi qu'il en soit, l'intrigue n'est pas top. Si j'ai apprécié ce roman, c'est plus en raison de la personnalité de l'auteur qui habite chacun des personnages et leur prête un peu de son excentricité. Tous, Camille, Soliman, Lawrence, et bien sûr, Adamsberg, présentent des traits de caractères décalés, lunaires, qui font d'eux les créatures indubitables de
Fred Vargas.
Si en outre vous lisez le bouquin dans un appartement douillet de Grenoble avec vue sur le Vercors enneigé, entre deux sorties glaciales dans la montagne déserte, comme je l'ai fait, alors une connexion spéciale opère forcément, qui donne lieu à quelques frissons supplémentaires. Oui, j'avais glissé le roman dans mon sac, sans en connaître le sujet. Sa lecture garde pour moi une dimension particulière, qui réjouirait certainement l'auteur.
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