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Critique de Esorlecram
Pas de commissaire Adamsberg cette fois, mais le lecteur ne perd pas au change. En lieu et place, Louis Kehlweiler dit " l'Allemand" est un ancien policier qui a du mal à abandonner ses activités d'enquêteur (comme d'habitude). A ses côtés, trois personnages hautement folkloriques dits les "Evangélistes": Marc, Lucien et Mathias.
le roman n'est pas un policier classique. La trame policière y est bien omniprésente, mais nos sympathiques lurons vont surtout tenter de protéger un suspect quasi coupable évident: Clément, l'idiot du village ou plutôt d'un coin de Paris. Ce n'est pas que Louis et ses évangélistes soient certains de l'innocence de Clément, mais bon, c'est le protégé de Marthe qui a tenté jadis de lui donner quelques bribes d'éducation. Et puisque Marthe le croit innocent...
Il ne faut pas trop rechercher le rationnel dans cette histoire, mais savourer les dialogues surréalistes, pleins d'humour, dans lesquels on retrouve le style de la série du commissaire Adamsberg.
Rassurons les inconditionnels du policier traditionnel: la fin est classique
le roman n'est pas un policier classique. La trame policière y est bien omniprésente, mais nos sympathiques lurons vont surtout tenter de protéger un suspect quasi coupable évident: Clément, l'idiot du village ou plutôt d'un coin de Paris. Ce n'est pas que Louis et ses évangélistes soient certains de l'innocence de Clément, mais bon, c'est le protégé de Marthe qui a tenté jadis de lui donner quelques bribes d'éducation. Et puisque Marthe le croit innocent...
Il ne faut pas trop rechercher le rationnel dans cette histoire, mais savourer les dialogues surréalistes, pleins d'humour, dans lesquels on retrouve le style de la série du commissaire Adamsberg.
Rassurons les inconditionnels du policier traditionnel: la fin est classique
