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Critique de Folfaerie


Encore un titre qui m'attendait sur mon étagère, mon dernier Vargas non lu. Et qu'est-ce que c'était bien !

Le tueur aux ciseaux sévit dans Paris. Il tue des jeunes femmes, de manière horrible. Et évidemment, le suspect est rondement identifié, un crétin qui se cache à peine et laisse ses empreintes. Les flics ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, normal. Mais tous les flics ne sont pas stupides, heureusement. Il y en a même qui ont du génie. Oui, je pense à Adamsberg. Sauf qu'ici, l'enquête est menée par Louis Kehlweiler; Vous vous souvenez de lui ? L'Allemand qui se balade avec son crapaud dans sa poche. Encore un intuitif celui-là. Heureusement pour le suspect, Clément Vauquer (seule Marthe croit en lui, mais ça ne compte pas, elle lui a appris à lire, elle n'est pas objective, forcément), qui se retrouve caché chez les Evangélistes le temps de l'enquête. Ceux-là non plus, on ne peut pas les oublier : Marc, Lucien et Mathias qui habitent la vieille baraque avec le parrain de Marc. Des amis d'Adamsberg, évidemment.

Tout ce petit monde se démène, chacun à sa façon, pour innocenter le simplet. Qui a sa propre logique.

Bon, que Louis se débrouille avec tout ça, ses doutes, son affection pour Marthe.

Que dire de plus ? Que cette lecture fut un régal, comme pour les autres romans de Fred Vargas, que si un jour je suis victime d'une terrible machinerie, je prierai pour qu'un Kehlweiler ou un Adamsberg vole à mon secours, et qu'enfin, j'attends le nouveau volet des aventures de mes flics préférés avec la plus grande des impatiences.
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