On a dit de Je qu'il était un roman politique. Et, pourtant, Je met en scène une figure de pasteur, Jean-Luc Friedrich, dans le cadre d'une paroisse bien réelle. Friedrich est un pasteur tourmenté, jusqu'à l'obsession: obsession d'une faute mal définie qui se traduit le plus souvent par le doute, le manque de confiance en soi, l'incapacité de vivre avec son prochain. Celle même de se marier, comme de rallier la vision générale du monde que lui impose sa fonction trè...
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