[Ce] livre réussit le subtil équilibre entre la découverte d’un pays à couper le souffle et la rage de le voir menacé.
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Le quartier tibétain n’est plus qu’un îlot dans un océan de façades de céramiques et de plexiglas, de grands magasins, d’hôtels clinquants et de bars karaokés, de larges boulevards, de statues de béton et de jardins apprêtés. Ne subsistent que quelques fragments de Tibet, à l’instar de ce Potala qui trône toujours, insubmersible, sur sa colline. Malgré cette écrasante influence chinoise, Lhassa garde cependant un cœur et surtout une âme, celle d’un peuple porté par la foi.