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EAN : 9782812321603
432 pages
Editions du Chêne (15/11/2023)
3.96/5   4722 notes
Résumé :
Le professeur Aronnax, son domestique Conseil et le harponneur Ned Land, qui cherchaient à capturer un fantastique monstre marin, se retrouvent prisonniers du capitaine Némo, à bord de son sous-marin le Nautilus.
Quel lourd secret cache Némo pour vouloir les retenir ainsi à jamais ? C’est alors que parallèlement au fabuleux périple maritime qu’ils entament, s’engage une lutte psychologique et culturelle entre Aronnax et Némo.

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Critiques, Analyses et Avis (291) Voir plus Ajouter une critique
3,96

sur 4722 notes
Au risque de heurter les fans, adorateurs et autres aficionados de Jules Verne, j'ose avouer — oui j'ose — que j'ai toutes les peines du monde à lire, et plus encore à m'enthousiasmer, pour ce livre célèbre, au style précis, si précis, — oh oui précis, combien précis ! — précis jusqu'à l'ennui total... Étonnant mélange de laxatif et de soporifique.

Ce ressenti ne semble pas être le reflet de la majorité (du moins de la majorité de ceux qui s'expriment, la nuance est d'importance) mais je me dis néanmoins que ce que j'éprouve, d'autres peuvent l'éprouver également et donc que cela pourra peut-être leur être utile ou profitable. Qui sait ?

Dans la première partie, j'ai souffert atrocement de cette espèce de catalogue, façon Quid de la haute époque, où l'on passe d'une litanie technique sur chaque rivet ou chaque tête de boulon du Nautilus à une litanie zoologique sur la classification des madrépores (et pourtant je suis biologiste marine de formation et je me suis mortellement ennuyée) puis à une litanie géographique où aucun degré de latitude ni de longitude ne vous sera épargné, pour enfin passer à une litanie historique où l'on vous énumère toutes les dates et tous les découvreurs de tel ou tel îlot perdu de la Micronésie sub-équatoriale.

Pouaahhoouuffff ! C'est éprouvant et, si je dois trouver quelque chose de positif à dire, il me faut louer l'immense somme de recherches et de travail qu'a dû représenter l'écriture de ce livre pour l'auteur, mais ça n'en fait pas, à mes yeux, un chef-d'oeuvre pour autant, bien au contraire.

Si j'ai hissé ce livre péniblement jusqu'à deux étoiles, c'est que j'ai malgré tout bien aimé la personnalité du capitaine Némo, un bon vieux misanthrope, père d'une maxime merveilleuse : " Ce ne sont pas de nouveaux continents qu'il faut à la terre, mais de nouveaux hommes ! "

La deuxième partie, sans être mieux écrite ni très différente (toujours aussi verbeux, toujours les mêmes listes interminables de noms latins auxquels l'auteur ne semble comprendre goutte, par exemple les phoques sont pour lui des cétacés) est un soupçon plus intéressante et laisse plus de place au suspense.

L'auteur s'y engage beaucoup plus avant dans l'imagination, laissant de côté la réalité et le plausible, avec par exemples son exploration de l'Atlantide, son passage secret entre la Mer Rouge et la Méditerranée ainsi que son avancée jusqu'au pôle sud à bord du Nautilus et presque en bras de chemise.

Ce livre fut pour moi une déception sur quasiment toute la ligne. Moi qui raffole de la littérature française du XIXème de type Balzac, Stendhal, Hugo ou même Dumas, j'ai bu ici mon calice jusqu'à la lie. Toute cette glose pas folichonne m'évoque davantage les traductions d'Edgar Poe par Baudelaire que les auteurs sus-nommés et que je considère être d'un tout autre calibre.

C'est vrai, il faut reconnaître ce qui est, ce livre a un intérêt historique d'anticipation. Mais ouille, ouille, ouille, que cela a trèèèèèès mal vieilli contrairement à d'autres romans d'anticipation et de science-fiction.

Les ficelles d'écriture sont grosses, malhabiles et deviennent des câbles assez costauds pour soulever le Nautilus ! le domestique Conseil est pathétique à souhaits (déjà rien que le nom dont Jules Verne l'affuble !), le harponneur Ned Land (n'en parlons pas !) est une bonne grosse et grasse caricature du bûcheron canadien, bref, vous avez compris, inutile d'en dire plus...

Voilà, ne m'en veuillez pas, je vous ai donné sincèrement mon avis, mon tout petit avis qui ne signifie pas grand-chose, maintenant, c'est à vous de voir et de juger en espérant que ce livre ne soit pas pour vous comme il le fut pour moi, vingt mille lieues sous l'éther !
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Eh, Jules, trop, c'est trop !

Evidemment, je comprends parfaitement que de ton temps, à cette époque charnière d'avancées scientifiques et technologiques, ton roman ait revêtu un rôle instructif autant que récréatif mais, sauf ton respect, pour un lecteur du XXIème siècle, ta narration prend vraiment des allures de régurgitation encyclopédique assez indigeste, d'autant qu'on le sait, tu es bavard.

Tout commençait bien pourtant avec la place VIP laissée à l'action, j'étais bien installée dans un trépidant roman d'aventures. Mais patatras, il a fallu qu'une fois embarqués à bord du submersible Nautilus, nos héros se transforment en ornithologues, zoologues et océanologues. Tu ne leur/nous auras épargné aucune espèce de crustacés, cétacés, planctons, cnidaires, métazoaires, et consorts.

Abreuvée jusqu'à plus soif de phycologie et de cétologie, il est fatal que la lectrice que je suis ait soupiré d'aise en tournant la dernière page de ton pavé wikipediesque, avec au coeur l'amer regret d'y avoir vu action et aventures englouties à vingt mille lieues sous les mers.


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20.000 lieues sous les mers (ou 96.560,64 kilomètres) est un livre que j'avais déjà lu étant jeune, mais il s'agissait probablement de la version abrégée. À l'âge de ma fille, je faisais aussi attention au nombre de pages et je ne pense pas que je me serai laissée tenter par une brique de 600 pages ^_^

Dans ce roman d'aventures (de science-fiction pour les lecteurs de la fin du 19ème siècle ?) nous suivons les aventures d'un trio bien sympathique. Ils ont tous les trois embarqué sur l'Abraham Lincoln pour faire la chasse à une mystérieuse créature d'une force colossale. Il y a Pierre Aronnax du Muséum d'Histoire Naturelle de Paris, son assistant Conseil et le harponneur Ned Land.

Je ne vous apprends rien en vous disant que ce monstre marin n'est autre que le Nautilus, le sous-marin du capitaine Nemo ! Nos 3 passagers involontaires vont vivre la grande aventure de leur vie.

Roman d'aventures oui mais surtout descriptif… cela risque d'en ennuyer certains. Aronnax et Conseil passent la majeure partie de leur temps à décrire les fonds sous-marins (et la faune/flore des milieux marins) à l'aide de la classification scientifique des espèces : règne, embranchement, classe, ordre, famille, genre et espèce.

Je me suis franchement régalée et à aucun moment je ne me suis ennuyée. Je suis loin d'avoir lu tout Jules Verne mais j'ai adoré ce livre. Ce doit être un de ses meilleurs romans.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Ned Land et sa mauvaise humeur qui m'a souvent ravie :

« Comment ? ils tirent sur nous ! m'écriai-je.
- Braves gens ! murmura le Canadien. »

Je ne résiste pas à ce genre d'humour.

Un grand classique que je vous recommande chaudement !




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Vingt Mille Lieues sous les Mers est un livre d'aventure maritime, que l'on peut qualifié même roman d'anticipation; un des tout premiers romans de science-fiction (je vais peut être heurter les puristes ... mais de mon côté, c'est le plus ancien livre que j'ai pu lire). 
En 1864, alors que sort ce livre, aucun voyage sous-marin n'avait été fait, relaté, Jules Verne se permet donc d'imaginer à partir de base scientifique pour certains faits (pression, température, ... des différentes mers et océans parcourus) et plus fantasmagorique pour les créatures croisées. 
On se dit quel avant-gardiste avec ce sous-marin tout électrisé, ses scaphandres autonomes et qui sont utilisés à des fins humanistes et non militaires !

Ce roman est un véritable tableau de bord où l'on suit nos quatre protagonistes, on plonge avec eux pour découvrir les splendeurs de la mer, et les magnifiques illustrations de de Neuville rajoute à cette part de fabuleux. Certes, certains passages sont très (trop?) précis, très (trop?)détaillés en classification d'espèces, en coordonnées maritimes mais il ne faut pas oublier que ce tableau de bord est tenu par l'imminent Professeur Oronnax.
On est fasciné par le Capitaine Nemo : Que lui ai-t-il arrivé pour avoir tant voulu s'écarter de la Terre à tout jamais ? Pourquoi tant de haine et rancoeur envers les hommes, au point de s'attaquer à leurs bateaux?
Peut-on lui en vouloir, sans connaître son passé et en sachant de quoi sont capable les hommes ? Est-il plus à blâmer que les hommes qui partent au début de roman traquer le "monstre" marin pour le tuer parce qu'il nuit aux navigateurs ?
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1866. C'est la panique sur les océans : des témoignages de plus en plus nombreux parlent de l'apparition soudaine d'un gigantesque animal d'une force colossale, capable de provoquer de sérieux dégâts, même sur les navires les plus perfectionnés. Une chasse s'organise, à laquelle participe le scientifique français Pierre Aronnax, spécialiste du monde sous-marin.

Après de longues recherches, la confrontation a enfin lieu. Elle tourne rapidement à l'avantage du mystérieux monstre. Plusieurs hommes se retrouvent à la mer, dont Ned, harponneur renommé, Pierre Aronnax, et son serviteur Conseil, qui, voyant son maître à la mer, n'a pas hésité une seule seconde à plonger pour le rejoindre.

Les trois compagnons d'infortune atterrissent sur le dos du monstre... qui se révèle être un sous-marin, dirigé par le Capitaine Nemo. Misanthrope au possible, il a décidé de ne plus jamais remettre les pieds sur terre et vit entièrement des ressources de la mer. Il laisse la vie sauve aux trois rescapés, tout en leur faisant savoir qu'il ne les relâchera jamais. En échange, il sillonne tous les mers du globe et leur en fait découvrir toutes les merveilles.

Et des merveilles, il y en a ! Car la mer est la véritable héroïne de ce roman, avec ses poissons, ses méduses, et ses forêts sous-marines. Jules Verne en donne une description très détaillée (et même trop détaillée parfois, j'avoue avoir passé plusieurs passages de classification fastidieuse). On sent bien qu'il s'est beaucoup appuyé sur les connaissances scientifiques de l'époque.

Ces passages scientifiques sont interrompus par Ned et Conseil, qui viennent rajouter une touche d'humour au récit de temps en temps. On peut cependant regretter que ces deux personnages n'aient pas été plus développés : leur principale occupation est de rester patiemment dans leur cabine en attendant qu'Aronnax vienne leur raconter quelque chose de neuf.

Je découvre Verne tardivement, mais je dois dire que j'ai été plutôt conquis. Quelques uns de ses livres vont rejoindre mon pense-bête, qui n'en finit plus de grandir.
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critiques presse (2)
Lexpress
23 décembre 2014
Tout au long de ces 500 pages, on suit l'écriture étonnamment régulière et dépourvue de ratures de Jules Verne, qui a consacré trois années de sa vie à la rédaction de ce chef-d'oeuvre. On admirera aussi les extraordinaires gravures signées Hildibrand, bien servies par le grand format de l'ouvrage.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeFigaro
19 décembre 2014
En 1868, le romancier, angoissé, écrit à Hetzel: «Si je ratais ce livre-là, je ne m'en consolerais pas. Je n'ai jamais eu un plus beau sujet entre les mains.» Le résultat est à la hauteur de ses espérances. Et, à l'heure des liseuses, de la littérature électronique, il est tout simplement magique de pouvoir relire cette histoire fantastique avec l'écriture de Verne.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (178) Voir plus Ajouter une citation
La mer est le vaste réservoir de la nature. C'est par la mer que le globe a pour ainsi dire commencé, et qui sait s'il ne finira pas par elle ! Là est la suprême tranquillité. La mer n'appartient pas aux despotes. À sa surface, ils peuvent encore exercer des droits iniques, s'y battre, s'y dévorer, y transporter toutes les horreurs terrestres. Mais à trente pieds au-dessous de son niveau, leur pouvoir cesse, leur influence s'éteint, leur puissance disparaît ! Ah ! Monsieur, vivez, vivez au sein des mers ! Là seulement est l'indépendance ! Là je ne reconnais plus de maîtres ! Là je suis libre !
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Mark Twain, parlant d'un roman de Fenimore Cooper, le décrit comme un "delirium tremens littéraire", par le nombre d'incohérences qu'il y a trouvées. C'est un peu la caractéristique de beaucoup de classiques. Stevenson, par exemple, reprochait à Walter Scott de ne pas avoir pris le soin de consulter une carte de la région avant de lancer à bride abattue deux jours durant sans s'arrêter ses cavaliers sur une distance tout à fait ridicule. Les exemples abondent sur les perles de la littérature, et pas seulement chez Ponson du Terrail, qui pouvait écrire sans que l'on sût si c'était de l'art ou du cochon : "Elle vit le lit vide et le devint". Et Dumas qui fait traverser à ses mousquetaires un champ de pommes de terre ou ressuscite dans "Le Vicomte de Bragelonne" un personnage tué en duel dans "Vingt ans après". Quant à Jules verne, j'aimerais savoir si quelqu'un a réussi à ne pas devenir fou en voulant rétablir la chronologie de la trilogie constituée par les romans "Vingt mille lieues sous les mers", "L'Ile mystérieuse" et "Les Enfants du Capitaine Grant" ? Là aussi on peut parler de delirium tremens littéraire. Attention, ne vous y trompez pas, je suis un vernien presque aussi fanatique que Raymond Roussel. Seulement, j'aimerais comprendre comment Jules Verne a pu s'emmêler les pinceaux à ce point. Il y a même certains auteurs de SF américains qui vont y chercher des explications qui frisent l'ésotérisme, pour ne pas dire l'hystérie. L'action de "Vingt mille lieues sous les mers" se situe entre 1867 et 1868. Celle de "L'Ile mystérieuse" entre 1865 et 1869. Dans le premier roman, Nemo apparait comme un homme jeune (on va dire qu'il a autour de quarante ans). Dans le second, soit un an après, c'est un homme de soixante-dix ans qui meurt dans la grotte de l'île. Cyrus Smith prétend connaître le capitaine Nemo par le récit qu'en a fait Aronnax dans "Vingt mille lieues sous les mers". Cela n'est pas possible, puisqu'ils sont arrivés sur l'île en 1865, en pleine guerre de Sécession. Quand bien même il aurait déjà été publié, ce qui semble chronologiquement impossible, où aurait-il pu se procurer le livre en question sur l'île ? Il est également impossible de déplacer l'action de "l'Ile mystérieuse" trente ans plus tard, ce qui ne serait après tout qu'une histoire de dates à rectifier. Seulement l'action démarre en pleine guerre de Sécession et c'est cette fuite qui justifie que les personnages se retrouvent sur l'île. Ce n'est plus une simple histoire de chronologie mais bien toute la construction du roman qui est à revoir, tâche impossible. Je n'irai pas comme certains exégètes de l'oeuvre chercher un deuxième Code Da Vinci dans les intentions de Jules Verne. Certains ont pensé voir dans le personnage du Prince Dakkar un capitaine Nemo numéro 2. Pourquoi pas aussi un drame spatio-temporel. Et Nemo fait preuve d'ubiquité puisqu'il se trouve en 1868 à deux endroits différents, dans son Nautilus en pleine mer et prisonnier de la grotte de l'île sans son équipage. J'y vois plutôt un embrouillamini incompréhensible de la part d'un auteur habituellement pointilleux quant à sa documentation.
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Ce ne sont pas de nouveaux continents qu'il faut à la terre, mais de nouveaux hommes !
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Conseil était mon domestique. Un garçon dévoué qui m'accompagnait dans tous mes voyages ; un brave Flamand que j'aimais et qui me le rendait bien ; un être flegmatique par nature, régulier par principe, zélé par habitude, s'étonnant peu des surprises de la vie, très adroit de ses mains, apte à tout service, et, en dépit de son nom, ne donnant jamais de conseils – même quand on ne lui en demandait pas.
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-Il est puissant, votre capitaine ; mais mille diables ! il n'est pas plus puissant que la nature, et là où elle a mis des bornes, il faut que l'on s'arrête bon gré mal gré.
-En effet, Ned Land, et cependant j'aurais voulu savoir ce qu'il y a derrière cette banquise ! Un mur, voilà ce qui m'irrite le plus !
-Monsieur a raison, dit Conseil. Les murs n'ont été inventés que pour agacer les savants.
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Vidéo de Jules Verne
In the same year that Jules Verne published Around the World in 80 Days, Henri Cernuschi set foot in Asia – the ultimate goal of a journey that would give rise to one of the most impressive collections of Asian art in Europe. Starting in Japan before moving on to China, Indonesia, Ceylon and India, our traveller was struck by the artistic wealth of the countries he visited. In a matter of months, he collected several thousand objects, particularly bronzes, whose value he was the first to understand.
Upon returning to Paris, Cernuschi immediately exhibited his collection. Artists and craftsmen of the time were quick to view his Chinese and Japanese pieces as extraordinary sources of inspiration. The range of shapes and patterns and the technical innovation showcased in Cernuschi's collection became models for an entire generation of creators. True to his visionary intuitions, Cernuschi had an hôtel particulier built, which he designed as a museum space from the get-go. This property would go on to become the City of Paris' museum of Asian arts by the end of the 19th century.
This exhibition celebrates the 150th anniversary of Cernuschi's return from Asia and invites the public to rediscover the traveller's journey and the collector's contributions to the revolution in taste that would become known as “Japonisme”. From the start of the tour and throughout the exhibition, a projection and five audio stations punctuate the display, with each step painting a portrait of this outstanding collector.
New for this anniversary, this summer the museum's permanent collections will unveil restored Japanese sculpted dragons, which have not been exhibited in their entirety since 1930.
En savoir plus sur l'exposition : www.parismusees.paris.fr/en/exposition/return-from-asia
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