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Critique de MouffetteMasquee
Résumé : Yvonne, 80 ans, ferme pour la dernière fois la porte de sa maison. Elle s'y est mariée, y a eu ses enfants et y a vécu avec son mari Henri, jusqu'à son décès, il y a de cela quelques mois. Mais maintenant, elle va rejoindre un EHPAD, et elle sait qu'elle va y finir ses jours. Un regroupement de vieux, un mouroir. Mais cette femme n'est pas encore prête pour ça, et elle compte profiter des derniers moment de sa vie avant que la mort ne vienne la cueillir.
Mon avis : Ce livre, à la couverture magnifique, est très puissant, très émouvant. Beau et triste à la fois. J'avais les larmes aux yeux en le parcourant, et une tristesse palpable m'étreignait le coeur en le refermant. C'est une histoire d'abandon, de résilience, mais également une ode à la vie. Yvonne est plus proche de la fin que du début, c'est indéniable. Son mari est mort, son chien également. Elle quitte sa maison, ses repères. Ses enfants et petits enfants viennent la visiter, bien sûr, mais pas aussi souvent qu'elle le souhaiterait. Pourtant, elle ne veut pas lâcher, et attendre la mort sans rien faire. Car oui, c'est de ça qu'on parle. La mort, comme futur proche. Mais Yvonne veut vivre encore un peu, et c'est grâce à sa rencontre avec ces acolytes de l'EHPAD, qu'elle va réussir à profiter du temps qui lui reste.
Comment ne pas penser à nos grand-parents, à nos parents, en lisant cette bande dessinée ? Ne pas penser qu'un jour, ils seront dépendants, qu'un jour, ils ne seront plus là. C'est un constat déchirant, mais c'est pourtant vrai. Alors, comme Yvonne, profitons de la vie, de ceux qui nous sont chers, car ils ne seront pas là indéfiniment.
Mon avis : Ce livre, à la couverture magnifique, est très puissant, très émouvant. Beau et triste à la fois. J'avais les larmes aux yeux en le parcourant, et une tristesse palpable m'étreignait le coeur en le refermant. C'est une histoire d'abandon, de résilience, mais également une ode à la vie. Yvonne est plus proche de la fin que du début, c'est indéniable. Son mari est mort, son chien également. Elle quitte sa maison, ses repères. Ses enfants et petits enfants viennent la visiter, bien sûr, mais pas aussi souvent qu'elle le souhaiterait. Pourtant, elle ne veut pas lâcher, et attendre la mort sans rien faire. Car oui, c'est de ça qu'on parle. La mort, comme futur proche. Mais Yvonne veut vivre encore un peu, et c'est grâce à sa rencontre avec ces acolytes de l'EHPAD, qu'elle va réussir à profiter du temps qui lui reste.
Comment ne pas penser à nos grand-parents, à nos parents, en lisant cette bande dessinée ? Ne pas penser qu'un jour, ils seront dépendants, qu'un jour, ils ne seront plus là. C'est un constat déchirant, mais c'est pourtant vrai. Alors, comme Yvonne, profitons de la vie, de ceux qui nous sont chers, car ils ne seront pas là indéfiniment.
