Guillaume Vissac, au fil de ses pages dé-routantes puisqu'elles sortent sans arrêt de la chaussée au moyen d'aiguillages chaotiques, fait la preuve, en triturant à distance les chairs du lecteur, du fait que, niant toutes lois de causalité du monde sans vie, la conséquence agit toujours sur la cause dans le monde des êtres animés de vie.
Et cette loi qui se joue du temporel, cette loi du non mécanique se nomme "la peur".
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