Les voyageurs malgré eux

Avant de donner mon avis, je remercie les éditions ALIRE et Babelio pour cet envoi.
Je vais être simple, et franche, je n'ai pas eu beaucoup de plaisir à lire ce livre, de par ses longueurs, et le flou qui règne autour de cette histoire et des personnages, bien que je sache que c'est aussi le sujet qui suscite ce genre de récit, mais trop c'est trop.
On ne sait pas ce qui est à retenir, ce qui est vrai pas vrai même les personnages ne savent plus qui, ils sont, des rêves, des visions etc... Il a manqué un vrai point d'accrochage à ce roman. Même dans les dialogues, les personnages ont des réponses vagues, et affirment qu'ils ne savent pas. Au final, on se lasse vraiment très vite.

Le début était pourtant prometteur, j'avais bien adhéré, la part de mystère ajoutait un brin d'énergie au récit, puis très vite ça tourne en rond, ces histoires de Sud, Nord, de religions,de zones sous contrôle etc... On perd vite le fil, on tourne les pages sans plus trop y croire. La fin, tout s'éclaire mais trop tard, j'avais qu'une hâte : finir ce pavé.
Dommage parce j'aimais bien l'idée, des voyageurs, des mondes parallèles, etc... J'ai pas voyagé du tout, hormis à travers le Canada.
La quatrième couverture annonce : C'est un fascinant voyage ! bien pas pour moi. Certes le style est agréable, et fort heureusement, un peu de rêves, quelques personnages qui retiennent notre attention.
Je pense que j'attendais beaucoup plus de ce livre, surtout pour autant de pages, la première voire la deuxième partie ont été intéressantes, le reste moyen. Et la fin, décevante, on nous lâche la vérité mais on en fait quoi ? On recommence le livre pour mieux apprécier tous ces passages ni oui ni non ?
La quatrième résume amplement ce récit, en dire plus, serait dévoiler le peu qu'il reste d'intéressant donc je m'abstiens.

Merci encore pour ce partage, il m'a permis de lire de la SF.

Lu 260 pages. En reste 300. Saturation. Un oeil sur les critiques. Pratiquement toutes négatives. Stop. de quoi ça parle ? Euh... Je n'en sais trop rien. Une femme a des visions, fait des rêves qu'il ne faut pas, auquel je ne sais qui n'est pas d'accord. Dans les première pages, il est question d'un mai 76. L'histoire se passe au Québec alors que,ce sont des noms de ville des USA. de plus, je n'aime pas le style. du blablabla qui part dans tous les sens. Désolée pour Masse Critique.

Pas facile d'accrocher à cette histoire et d'ailleurs je ne l'ai pas fait.
J'ai eu du mal à comprendre les "absences" du personnage principal. de plus il s'agit de notre monde mais dans une autre réalité donc toutes les dates marquantes, comme mais 68 en France, sont changées.
C'est long, et trop embrouillé à mon gout. dommage je m'attendais à autre chose.

Lu dans le cadre d'une masse critique babelio.