Sylvia Townsend Warner
Anne Rabinovitch (Traducteur)/5 5 notes
Anne Rabinovitch (Traducteur)/5 5 notes
Résumé :
Dans un endroit perdu du Norfolk se dresse un couvent bâti par Brian de Retteville en mémoire de son épouse Alianor qui le déshonora jadis et qui le méprisa toute sa vie.
Deux siècles plus tard, l'ordre des Bénédictines s'y installe, et le couvent est le théâtre d'un nombre incalculable de drames qui vont de la peste noire en passant par les rivalités entre religieuses, la disparition d'une nonne sans oublier la présence du diable qui rôde dans tous les espri... >Voir plus
Deux siècles plus tard, l'ordre des Bénédictines s'y installe, et le couvent est le théâtre d'un nombre incalculable de drames qui vont de la peste noire en passant par les rivalités entre religieuses, la disparition d'une nonne sans oublier la présence du diable qui rôde dans tous les espri... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Bon, soyons sincère : j'aime beaucoup de cet auteur "Le coeur pur", "La lubie de monsieur Fortune" et "Les royaumes des fées".
Mais "Le diable déguisé en belette" a suscité en moi, dès les vingt premières pages, un sentiment d'ennui et même de rébellion : cette histoire de congrégation religieuse au Moyen-âge, et de possession diabolique transmise par des animaux, dont l'âme absente a laissé place au démon, plane à mille lieux au-dessus de mon esprit terre à terre.
L'auteur passe d'une scène à l'autre de façon abrupte, ce qui brouille la compréhension et donne à l'oeuvre un aspect filandreux et décousu : peut-être la traduction est-elle maladroite ?
Il y a fort à parier qu'elle ne l'est pas, mais que l'atmosphère magique qui baigne ce roman est difficile à rendre en français, l'anglais étant... comment dire ? plus suggestif ... Car enfin, Sylvia Townsend Warner a fait la preuve de la qualité de son style dans ses autres oeuvres.
Pour redresser tout ça, il faudrait réécrire le roman en français !
Mais "Le diable déguisé en belette" a suscité en moi, dès les vingt premières pages, un sentiment d'ennui et même de rébellion : cette histoire de congrégation religieuse au Moyen-âge, et de possession diabolique transmise par des animaux, dont l'âme absente a laissé place au démon, plane à mille lieux au-dessus de mon esprit terre à terre.
L'auteur passe d'une scène à l'autre de façon abrupte, ce qui brouille la compréhension et donne à l'oeuvre un aspect filandreux et décousu : peut-être la traduction est-elle maladroite ?
Il y a fort à parier qu'elle ne l'est pas, mais que l'atmosphère magique qui baigne ce roman est difficile à rendre en français, l'anglais étant... comment dire ? plus suggestif ... Car enfin, Sylvia Townsend Warner a fait la preuve de la qualité de son style dans ses autres oeuvres.
Pour redresser tout ça, il faudrait réécrire le roman en français !
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