AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Michel Pagel (Traducteur)
EAN : 9782841724949
544 pages
L’Atalante (25/02/2010)
4.03/5   36 notes
Résumé :
Du nom d'un héros historique de la Flotte, l'académie de Saganami forme les officiers de Sa Majesté. À peine les aspirants ont-ils quitté l'école qu'ils se retrouvent plongés dans la réalité de la guerre : les hostilités ont repris contre la République de Havre.

Certains font pourtant exception, ceux affectés au HMS Hexapuma, dépêché vers l'amas de Talbot, un ensemble de systèmes stellaires que l'exploitation d un nouveau terminal du nœud de trou de ... >Voir plus
Que lire après Saganami, tome 1 : L'ombre de Saganami (1/2)Voir plus
Autour d'Honor, tome 1 : Autour d'Honor par Drake

Autour d'Honor

David Drake

3.50★ (142)

4 tomes

La flotte perdue, tome 1 : Indomptable par Campbell

La flotte perdue

Jack Campbell

3.82★ (1564)

6 tomes

De haut bord, tome 1 : Coeurs d'acier   par Honsinger

De haut bord

H. Paul Honsinger

3.75★ (166)

3 tomes

Etoiles perdues, tome 1 : L'honneur terni par Campbell

Etoiles perdues

Jack Campbell

3.83★ (206)

4 tomes

Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Nous sommes en présence de la première oeuvre (en français tout du moins) dont l'action se situe dans l'univers d'Honor Harrington, écrit par Weber seul (sans Eric Flint). Il est préférable néanmoins d'avoir lu la meilleure série de sf militaire de tous les temps qu'est "Honor Harrington" pour pleinement apprécier ce roman, d'autant que nombres d'éléments d'intrigues seront repris après dans En mission, qui lui fait partie de la ligne principale.

L'histoire se passe dans l'amas de Talbot (une petite carte est disponible dans le livre) qui est proche du terminus de trou de ver découvert dans Plaies d'honneur. L'amas pour éviter de se faire phagocyter par la ligue solarienne demande l'annexion pur et simple par le royaume de Manticore (ou plutôt l'empire vu la récente annexion d'une partie de la silésie). Mais cela n'ira pas sans difficulté tant au niveau local où certains s'y opposent par des méthodes terroristes qu'au niveau interstellaire ou de nouveau joueurs entrent en scène.

En effet, le système de Mesa et ses entreprises Manpower et Jessyk & Co travaillent en sous main avec la DSF (Direction à la sécurité des Frontières) de la ligue solarienne pour faire capoter l'annexion.

On fait connaissance avec un nouveau personnage le capitaine Terekhov, commandant le HMS Hexapuma, croiseur lourd de dernière génération après avoir perdu son précédent vaisseau dans un combat héroïque et déserpéré.
On s'intéresse beaucoup aussi au monde des aspirants, peu habitués aux conséquences souvent néfastes de la guerre et notamment à Abigael Hearns (fille de seigneur Graysonnien) et Hélène Zilwicki que l'on a connu dans La couronne des esclaves

Dans ce roman on retrouve l'intimité des premiers tomes d'Honor. Un seul vaisseau et une dizaine tout au plus lors du combat final.
On découvre aussi un nouvel ennemi de Manticore pour remplacer Havre (on était arrivé au bout de ce qui peut être fait contre eux dans Coûte que coûte) bien que ce roman doivent être lu avant.

Encore une fois, (c'est désormais la règle pour cette série) nous avons un tome très politique, très cérébral mais l'histoire reste bien posée (un peu longuement peut être) et on ne s'ennuie pas.
Une fois de plus la supériorité du système politique de Manticore et la supériorité de son armement feront la différence.

Les "amoureux" de l'univers d'Honor y trouveront leur compte.
Commenter  J’apprécie          371
Une sorte de best-of des premiers tomes de la saga principale, une série dérivée quasi-indispensable à la compréhension des tomes 12 et plus de cette dernière

Il s'agit du premier livre d'une seconde série dérivée du cycle Honor Harrington, après La couronne des esclaves qui inaugure le cycle dérivé du même nom (c'est bon, vous suivez ?). Cette seconde série dérivée, donc, connue en anglais sous le nom de Saganami, comprend pour le moment trois tomes, dont les deux premiers ont été coupés en deux livres chacun dans l'édition française. Ces 3 tomes sont donc : L'ombre de Saganami, qui nous occupe aujourd'hui, suivi de L'ennemi dans l'ombre, lui-même suivi par L'ombre de la liberté.

Comme avec toute série dérivée, et particulièrement celles d'Honor Harrington, vous vous posez probablement certaines questions :

* Je n'ai jamais lu le cycle principal, est-ce que je peux me lancer directement là dedans ? La réponse est clairement non, il faut absolument avoir lu le cycle principal, au moins en partie, pour espérer y comprendre quelque chose.

* Je n'ai pas lu La couronne des esclaves, est-ce que je vais y comprendre quelque chose ? La réponse est oui : certes, certains personnages de cette autre série dérivée sont repris ou mentionnés, mais tout est suffisamment expliqué pour que vous puissiez suivre sans l'avoir lue. Même si c'est évidemment un plus.

* La lecture de cette série dérivée (=Saganami) est-elle indispensable, utile ou accessoire pour suivre le cycle principal ? La réponse est à mon avis claire : elle est au minimum utile, et à la limite de l'indispensable, si vous voulez comprendre et apprécier pleinement les tomes 12 et ultérieurs.

* Ce cycle dérivé est-il à la hauteur du cycle principal en terme de qualité : oui, tout à fait. Il est même plus agréable à lire que les tomes 9-10 du cycle principal, c'est tout dire !

* Cette série dérivée est-elle très différente de la précédente, La couronne des esclaves ? Je n'ai lu que le tome 1 de cette dernière (coupé en VF en deux livres), mais pour le fan du cycle principal, on est clairement beaucoup plus proche de ce dernier que dans La couronne : c'est moins de la SF politique (quoique cet aspect soit bien présent dans Saganami) / d'espions et plus de la pure SF militaire.

* Est-ce que ça vaut le coup que je dépense mon argent pour ça ? de mon point de vue, oui. Certes, la passion pour Honor Harrington et son univers revient incontestablement très cher à la longue, mais là on est vraiment sur une nouvelle série dérivée très agréable, qui réussit l'exploit de faire souffler un vent frais sur le meta-cycle tout en reprenant, paradoxalement, de vieilles recettes datant des débuts de ce dernier (je vais y revenir).

Examinons maintenant plus en détails le contexte, l'intrigue, les thèmes et les personnages :

- Contexte

L'action se passe dans l'amas de Talbot, situé à proximité du système de Lynx, où un nouveau terminus du Trou de ver de Manticore a récemment été découvert et revendiqué par le Royaume Stellaire. Elle se déroule à la même époque que le tome 11 de la série principale, Coûte que coûte. Il se trouve que l'amas est situé près de Mesa et des frontières solariennes, et que pour échapper à la rapacité de ces deux là, il demande l'annexion au Royaume stellaire (qui vient d'ailleurs de se partager la Silésie avec les Andermiens). Des représentants civils et militaires y sont donc expédiés, tandis qu'on commence la construction de Forteresses orbitales et d'installations de service autour du terminus de Lynx. Parmi les vaisseaux envoyés, se trouve un des premiers Saganami-C (pour tout savoir sur cette classe de vaisseaux, et plus encore, je ne saurais trop vous conseiller La Maison d'acier), l'Hexapuma.

Ce nouveau roman commence bien plus fort que La couronne des esclaves, puisque les deux premiers chapitres montrent respectivement une intense bataille spatiale et une cérémonie très riche en émotions à l'école navale Manticorienne, présidée par Honor Harrington en personne (dont c'est la seule apparition dans le tome 1). Ensuite, le rythme redescend, mais reste satisfaisant de bout en bout, avec une belle traque spatiale dans le dernier tiers.

- Personnages

Nous retrouvons trois personnages que nous connaissons déjà : Hélène Zilwicki (Une aspirante nommée Harrington, La couronne des esclaves) et Abigail Hearns de Grayson, avec laquelle nous avons fait connaissance dans Les cendres de la victoire. C'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé cette dernière qui a, pour moi, un gros potentiel en tant qu'héroïne à part entière d'une série dérivée. Enfin, la baronne de Méduse est également de la partie.

Nous faisons également connaissance avec de nombreux nouveaux personnages, dont des hommes et femmes politiques locaux et le Capitaine Aivars Terekhov, le commandant du H.M.S. Hexapuma.

La présence de nombreux aspirants, frais émoulus de l'Académie, ainsi que de jeunes officiers, nous ramène très loin en arrière, à l'époque de… Mission Basilic. Tout comme les doutes initiaux du Second envers le nouveau commandant de l'Hexapuma. Un certain aspect initiatique a toujours été présent dans le cycle principal, mais là il est vraiment poussé au maximum, car on voit les doutes, les peurs ou les scrupules moraux face aux réalités du combat par les yeux des bleus. C'est un aspect que j'ai trouvé très intéressant, personnellement.

- Thèmes, intrigue, ambiances

L'intrigue suit à la fois les premiers pas hors de l'Académie des bleus, le déploiement de l'Hexapuma, ainsi que les péripéties politiques dans l'Amas (un référendum a révélé une large majorité demandant l'annexion à Manticore, mais certains extrémistes n'acceptent pas le résultat du vote) et les manoeuvres des rapaces locaux (Mesa et les Solariens) pour souffler sur les braises et faire capoter le processus. Il apparaît également un élément qui avait été brièvement mentionné dans la série principale, après le changement de Régime à Havre, mais qui n'avait pas été développé jusque là. Je vais éviter de spoiler, mais disons que vous risquez d'avoir une grosse surprise.

Contrairement à La couronne des esclaves, qui, s'il n'est pas dépourvu d'action ou de tension dramatique, est en revanche dépourvu de batailles spatiales dignes du cycle principal, nous avons cette fois-ci droit à un vrai combat, et il est visible qu'il y aura encore plus d'action dans le tome 2 de L'ombre de Saganami. Ceci, conjugué au fait que la narration se concentre pour la moitié sur les militaires Manticoriens, rend cette seconde série dérivée bien plus proche du cycle principal que La couronne des esclaves. Un point commun entre les trois est cependant la large place laissée à la politique. La différence par rapport aux tomes tardifs du cycle principal, par contre, est que les explications sur la situation et les enjeux politiques sont données de façon bien plus vivante et digeste (sous forme de dialogues) que le grossier déballage d'infos des tomes 9+ du cycle principal.

Le gros point positif des thématiques, de l'intrigue et de la narration, ainsi que de l'ambiance, est que ce tome 1 ressemble à une sorte de best-of des tomes 1 à 6 du cycle principal : l'aspect nouveau capitaine / nouveau vaisseau de Mission Basilic, l'aspect sociétés néo-barbares de Pour l'honneur de la reine, l'aspect terrorisme de Pavillon de l'exil, et l'aspect chasse aux pirates et corsaires de Mascarade silésienne. Et tout ça en intégrant les acquis des recueils de nouvelles ou de l'autre série dérivée. Bref, on a à la fois de la nouveauté (niveau personnages, lieux de l'action, etc) ainsi que le meilleur de ce qu'on connaissait déjà, et c'est vraiment très agréable. Tout ça dans un style plus fluide, plus digeste, plus rythmé, avec plus d'action, que certains tomes franchement mous ou tirant à la ligne comme les 7, 9 ou 10 par exemple.

Chaque Nation stellaire de l'univers de HH est modelée sur une ou plusieurs nations réelles de l'histoire : Manticore est l'Angleterre, Havre la France, les Andermiens un mélange de Prussiens et de Japonais, etc. Personnellement, j'ai trouvé que l'ambiance générale de Talbot évoquait l'Amérique, et certains noms de planètes, comme Prairie ou Montana, n'y sont évidemment pas étrangers. On remarquera d'ailleurs l'ironie d'avoir un équivalent des treize colonies qui demande à un équivalent de l'Angleterre son annexion !

- Bilan de la lecture du tome 1

Vous l'aurez compris, sur tout un tas de plans, l'achat du tome 1 est très recommandable, même si je réserve mon jugement final après avoir achevé le tome 2.
Commenter  J’apprécie          123
À peine sorti des chantiers, le croiseur à la pointe des technologies HMS Hexapuma est envoyé en mission dans l'amas de Talbot dont les peuples ont demandé à être intégrés au Royaume. le capitaine Terekhov, son équipage et ses jeunes aspirants tout juste sortis de l'école auraient certainement préféré participer à la guerre en cours plutôt que d'être mutés dans cette région tranquille … mais les magouilles de certains politiciens et les visées de puissantes firmes interstellaires de sinistre réputation ne vont pas simplifier les choses pour l'Hexapuma qui va devoir sortir les crocs et prendre tout les risques afin de défendre le Royaume et les planètes un peu arriérées qui désirent s'y intégrer …


"L'Ombre de Saganami" est le premier tome d'une quadrilogie qui s'intègre à la série "Honor Harrington" et dont l'action est contemporaine de "Coûte que coûte" le onzième tome de la série principale. Je n'avais lu aucun livre de cette série, mais ce n'est pas difficile de prendre le train en marche, il est facile de cerner les différences entre les empires stellaires et leurs satellites mis en scène, sociétés, fonctionnaires et politiciens puissants, l'écriture est agréable et il est facile de s'intégrer à cet univers.
Nous avons en mains plus de mille pages, mais d'autres auteurs auraient facilement réduit le pavé au tiers en n'y perdant rien et en gagnant en nervosité, parce qu'ici il y a de nombreuses longueurs soporifiques sous la forme de très longues descriptions pseudo-scientifiques s'étalant sur de nombreuses pages lors des manoeuvres du navire ou de multiples rappels des intrigues politiques qu'on avait compris depuis pas mal de temps, il y a des moments où j'aurais bien sauté de nombreuses pages, mais comme je ne saute jamais de pages je me suis endormi plusieurs fois sur le livre (bin, oui, je lis la nuit).
La lecture reste cependant agréable, même si elle ne laisse pas beaucoup de place à notre interprétation ou à notre imagination et lorsque nous tournons la dernière page le roman s'oublie facilement, car il ne témoigne pas d'originalité que ce soit au niveau de l'intrigue ou des idées portées.


Au final, à mon avis, un livre de délassement sans grande originalité, agréable et facile à lire, qui devait combler les amateurs de SF militaire, pour peu qu'on accepte la scission artificielle de ce premier tome en deux volumes de l'éditeur français, ce qui porte l'achat à 44 €uros, ce que je trouve excessif, il faut noter que l'édition complète en e-book est facturée 12,99 €uros, ce qui est aussi excessif à mon goût.
Commenter  J’apprécie          10
Salut les Babelionautes
Dans les deux tomes de L'Ombre de Saganami nous allons suivre un épisode qui se déroule au même moment que Coûte que Coûte que j'ai laissé de coté pour celui ci.
Après la découverte d'un nouveau terminus du trou de ver situé dans l'Amas de Talbot, l'Empire Stellaire de Manticore reçoit une demande d'Annexion des planètes le constituant pour intégrés l'Empire.
Mais le terminus doit d'abord être protégé, donc l'Amirauté y envoie le Croiseur Lourd Hexapuma avec le Capitaine de vaisseau Terekhov comme commandant.
Nous suivons un groupe de cinq aspirants qui embarquent pour leur premier déploiement.
Ce commandant est un nouveau personnage ainsi que les aspirants, toutefois nous allons retrouver certains personnages vus dans les tomes précédant.
La dimension politique de ce premier tome fait apparaître les dissensions entres les différents gouvernements de l'Amas de Talbot.
Sans compter sur les groupes terroristes qui veulent empêcher la signature d'un traité les liants au Royaume Stellaire.
Ci la dessus vous rajoutez un complot, ourdis par une alliance entre deux acteurs de ce coin de l'Univers, vous avez tout les ingrédients pour créé une situation Explosive.
Et elle va être vraiment explosive!
le choix d'un autre traducteur par les éditions l'Atalante, pour les romans faisant partis de "l'Univers d'Honor Harrington", m'embête un peu m'étant habitué a Florence Bury mais je n'ai pas trouvé d'incohérence et j'en remercie Michel Pagel.
Commenter  J’apprécie          40

Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
La cloison bâbord était bosselée là où avaient ricoché sur elle des fragments de la cloison tribord ; on distinguait toutefois difficilement ces marques en raison des taches de sang qui les recouvraient. On aurait dit qu'un malade mental armé d'un pulvérisateur chargé de sang avait été interrompu alors qu'il n'avait repeint le couloir qu'à moitié, en se servant de lambeaux de chair humaine et d'éclats d'os pour donner de la texture à son travail. Des membres tranchés, des torses fracassés, des doigts, des morceaux d'uniformes, une botte intacte renfermant encore le pied de son propriétaire, une tête humaine appuyé contre l'issue de secours à l'instar d'un ballon de basket oublié.... Et, pis que tout, le cadavre tordu d'un homme à l'évidence grièvement blessé mais pas tué net quand ses deux jambes s'étaient trouvées pulvérisées. Un homme dont les poumons perforés lui avaient fait vomir du sang par la bouche et le nez, et dont les doigts avaient griffé le pont tandis que la coursive se dépressurisait autour de lui.
Commenter  J’apprécie          296
Les fusiliers sont adaptables. Quand ils rencontrent un obstacle imprévu, ils improvisent et ils triomphent. Vous n'avez qu'à considérer ça comme un problème anodin - comme de pénétrer dans un bunker céramisé, seulement armé d'un couteau à beurre tenu entre vos dents viriles - et je suis sûre qu'un rude fusilier expérimenté comme vous s'en tirera très bien.
Ah ! Depuis quand un fusilier a-t-il besoin d'un couteau à beurre pour prendre un malheureux bunker ? s'exclama Gutirrez avec un rire sonore. C'est pour ça que Dieu nous a donné des dents et des ongles !
Commenter  J’apprécie          220
Abigail en était arrivée à saisir que le plus grand devoir d'un officier n'était pas d'engager un combat honorable face à face. C'était de prendre adversaire par surprise. De lui tendre des embuscades. De lui tirer dans le dos, sans prévenir, sans lui laisser le loisir de riposter. Car, s'il le lui laissait alors qu'il n'y était pas obligé, certains de ses propres soldats mourraient et la responsabilité de ces morts pèserait sur ses épaules.
Commenter  J’apprécie          100
Au moment précis où vous serez confronté pour de bon au devoir et à la mort, vous vous retrouverez seuls. Et cela mesdames et messieurs, c'est un instant auquel aucun entraînement ni aucun professeur ne peut vous préparer.
Commenter  J’apprécie          210
Mettre en place un système d'autodestruction dont on est sûr qu'il fonctionnera en cas d'urgence mais ne se déclenchera pas avant n'est pas aussi facile que voudraient nous le faire croire les écrivains populaires, capitaine. Surtout la deuxième partie.
Commenter  J’apprécie          150

Video de David Weber (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de David Weber
David Weber: 2015 National Book Festival
autres livres classés : science-fictionVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (96) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4870 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}