AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Zombie Story tome 3 sur 3

Claire Jouanneau (Traducteur)
EAN : 9782811203801
400 pages
Milady (20/08/2010)
3.11/5   100 notes
Résumé :
Douze ans se sont écoulés depuis que les morts-vivants, après avoir envahi Manhattan, puis les États-Unis, se sont emparés de la quasi-totalité de la planète en dévorant ses habitants. Une rescapée, Sarah, décide de sauver son ancien protecteur, le Somalien Ayaan, des griffes du tsarévitch, le plus puissant des maîtres zombies qui brigue la domination mondiale. Mais les humains sont de moins en moins nombreux. Les vivants ont connu l'enfer et pourtant le pire reste ... >Voir plus
Que lire après Zombie Story, tome 3 : Zombie PlanetVoir plus
LZR-1143, tome 1 : Contamination par James

LZR-1143

Bryan James

4.25★ (259)

3 tomes

Le virus Morningstar, Tome 1 : Le fléau des morts par Recht

Le virus Morningstar

Z. A. Recht

4.22★ (537)

3 tomes

Infection, tome 1 par DiLouie

Infection (DiLouie)

Craig DiLouie

4.05★ (185)

2 tomes

Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
3,11

sur 100 notes
5
1 avis
4
2 avis
3
4 avis
2
2 avis
1
3 avis
Le monde après l'invasion zombie.
Ce tome trois clôt parfaitement l'histoire, c'est un vrai roman d'aventures. Les personnages des deux tomes précédents sont là, douze ans après, en proie à de nombreux rebondissements, jusqu'au final inattendu.
Commenter  J’apprécie          300
Après un "Zombie Nation" un peu décevant, c'est avec une petite appréhension que je débutais ce troisième et dernier tome, "Zombie Planet". Ayant aimé le premier, je ne voulais pas terminer cette trilogie sur un avis négatif, je voulais quelque chose qui rehausse un peu le niveau de ce second tome un peu faiblard, un final de toute beauté. La lecture de la quatrième de couverture laissait supposer que ça allait être le cas. En effet, l'histoire reprend 12 ans après "Zombie Nation" et nous retrouvons enfin Ayaan, Maël, ainsi que quelques surprises. Et pourtant, tel une bande annonce qui va mettre le paquet sur quelques minutes pour mieux cacher les faiblesses du film, on se rend compte assez rapidement qu'on ne retrouvera pas, une fois de plus, la qualité du premier tome "Zombie Island". Exit l'ambiance sombre, les huis clos angoissants...Place à l'enchaînement d'actions qui en mettent plein la vue et son lot de supers héros/zombies...Maintenant, les goules comme Gary sont légion et ne se contentent plus d'être des télépathes/mentalistes. Il faut de l'action au-delà du raisonnable et tant pis pour le sérieux du récit. Déplacement instantané, projection d'énergie, transformation en loup-garou...On se croirait dans "Marvel Zombies". le hic, c'est qu'en commençant la lecture de cette trilogie, je ne m'attendais et ne voulais pas lire du "Marvel Zombies". Alors on pourra au moins reconnaître la prise de risque de David Wellington pour ne pas faire de sa trilogie, une bête histoire de zombie comme on a pu en voir ou lire un peu partout. C'est un choix qui peut plaire à certains lecteurs. Mais pourquoi autant de différence entre le premier et le dernier tome. C'est comme si l'auteur n'assumait pas son histoire et se mettait à faire du fan service à outrance pour ameuter le plus de lecteur possible, quitte à rendre le récit bancal. La seule bonne chose à en tirer, c'est que chaque tomes pouvant se lire indépendamment, vous avez des chances de trouver votre compte avec au moins l'un des trois. Si vous voulez du survival horror, jetez-vous sur "Zombie Island". Pour un récit sur la fin du monde, c'est "Zombie Nation" qu'il vous faut. Et enfin, pour de l'action no brain, "Marvel Zombies". Vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout accroché à ce dernier tome et je me contenterai de garder un très bon souvenir de "Zombie Island", le reste, étant un immense gâchis, est à oublier rapidement.
Commenter  J’apprécie          50
Mes attentes étaient-elles trop fortes ?
Après un premier tome largement apprécié mais un second plutôt déstabilisant, j'attendais avec impatience le final de cette trilogie prometteuse.

J'ai retrouvé là tous les protagonistes des opus précédents, et fait la rencontre du Tsarevich, la plus puissante des liches jusqu'ici rencontrées. Au fil du déroulement de l'histoire de Sarah, fille de Dekalb, qui part sauver Ayaan, celle qui l'a protégé et formée depuis sa petite enfance, l'équipée de la jeune fille finit par rejoindre celles de tous, dans un final grandiose.
Arriver aux dernières pages m'a été laborieux, et heureusement pour moi, cela fut une petite récompense en soi car ce sont celles que j'ai le plus appréciées. Trop de magie peut-être, le mélange des genres m'a semble t-il été fatal. Je suis sans doute plus attachée aux classiques en la matière que je ne le pensais. À moins que ce soit l'aspect humoristique des débuts qui m'ait manqué...
Bref. Une déception à ranger de suite, sans cependant oublier de garder un oeil sur cet auteur que j'apprécie.
Commenter  J’apprécie          100
Ce tome 3 est la surprise de l'année. Ou du siècle. Carrément ouais, j'aime bien en rajouter. Moi qui m'attendait d'avance à me taper la tête contre les murs durant la lecture, à devoir subir l'imagination débordante de David Wellington plus ou moins bien et surtout, à péter une durite face à une histoire encore plus farfelu que les deux tomes précédents...Je me suis collé le doigt dans l'oeil jusqu'à la rate. Ce tome est un OVNI même pour l'auteur. Beaucoup plus sérieux, beaucoup plus crédible, beaucoup plus mature...Bref. Beaucoup plus quoi. Alors, qu'on soit clairs, quand je dis crédible ça reste du David Wellington hein. Il y a quand même deux-trois petites choses dans le bouquin qui sortent tout droit du cerveau d'un bigorneau schizophrène. Mais dans ce tome ça passe parce qu'il y en a très peu. L'auteur a, pour une fois, très bien su doser le côté zinzin de sa personne.

Les personnages déjà. le grand méchant tsarévitch est un vrai grand méchant. Il est cruel, il est prêt à tout pour arriver à ses fins et il est sacrément dégueulasse (même pour un zombie). Son rôle est merveilleusement bien défini ce qui rend la lecture encore plus dérangeante. Okay, c'est un connard putréfié qui veut tuer tout le monde mais il a l'air d'avoir des côtés super sympas. Résultat on est un peu balloté tout le long du bouquin entre les deux camps qui sont toujours très bien mis en relief. le tsarévitch et sa bande de zombies nouvelle génération et les survivants qui sont les derniers représentants de l'espèce humaine.
Pour les humains, on a Sarah. Sarah qui est sans aucun doute le personnage principal mais qui est assez bien décrit pour ne pas prendre toute la place. Sarah qui est un peu nous, lecteurs, puisqu'elle est loin d'être parfaite, qu'elle vit dans un monde de merde, mais qui se bat bec et ongles pour accomplir sa mission. La demoiselle a aussi la même capacité que les liches qui sont, je le rappelle, les zombies intelligents. C'est-à-dire qu'elle peut reconnaître et différencier l'énergie des morts et des vivants ce qui, en soi, est quand même super pratique pour éviter de buter les rares humains qui ne sont pas encore cannibales. Sarah qui n'est à sa place nulle part et que j'ai trouvé particulièrement attachante. Sa relation avec Ayaan prend aux tripes tant elle est véritable. Une relation qui a à la fois une dynamique mère/fille et grande soeur/petite soeur. David Wellington est parvenu à créer une cellule familiale un peu brouillonne, un peu boiteuse, mais qui est belle de par son réalisme.
Et on retrouve avec plaisir le personnage d'Ayaan qui était déjà dans le tome 1. le stéréotype de l'adolescente surarmée, élevée dans la religion et le combat. Ayaan qui a vieilli mais qui reste fidèle à elle-même. Encore une fois, j'adore cette nana. Elle a du mordant, du répondant et elle se bat tel Xena la princesse guerrière. Il ne m'en faut pas plus pour tomber amoureuse, qu'on se le dise. Ayaan qui, dans ce tome, a un peu le cul entre deux chaises. Elle n'est ni appréciable, ni détestable. Et jusqu'à la fin du bouquin, on hésite entre la prendre dans nos bras et lui faire la bise avec une batte de baseball.
En gros, ce tome est largement au-dessus des précédents puisque David Wellington clôt sa trilogie d'une main de maître. Adieu les révélations farfelues, les descriptions psychédéliques et les événements sans queues ni têtes. L'aboutissement de Zombie Story ne pouvait pas être mieux réussi. On est happé par l'histoire du début à la fin parce que tout y est d'un sérieux presque effrayant. Adieu le sourire en coin et les éclats de rires, même si, qu'on se le dise, les momies m'ont fait marrer encore une fois. Zombie Planet est la meilleure fin de trilogie que j'ai lu jusqu'à présent. On voit qu'il y a eu de la recherche, de la réflexion et surtout, on y découvre le réel talent de David Wellington. le monsieur a réussi à réunir tous les personnages de sa trilogie, les anciens comme les nouveaux, tout en parvenant à garder l'intégrité de son histoire et de son intrigue surtout.
De plus, on redécouvre tous les décors de l'histoire. de la Somalie à l'Egypte, en passant par New York et le New Jersey. L'intrigue est ficelée de telle sorte qu'on ne s'attend pas à toutes les révélations, à tous les événements. L'auteur parvient à nous surprendre encore et il le fait très bien.


En bref, une fin de trilogie qui m'a enchantée parce que je ne pouvais pas m'attendre à mieux. Un tome 3 qui a réussi à transcender le reste de la saga et à l'élever au rang de coup de coeur suprême.
Lien : http://xenaddict.blogspot.fr..
Commenter  J’apprécie          10
J'avais bien aimé le tome 1, beaucoup aimé le tome 2, et je dois avouer que j'ai un avis très partagé sur le n°3.
Zombie Planet est la vision de la terre après l'invasion et la domination Zombie. 99% de la population mondiale a péri dans les premiers mois de l'épidémie, autant dire que 12 ans après , il n'en reste pas grand chose.
Il y a les goules, zombies décérébrés et les liches dont le cerveau n'est pas tout à fait mort et qui ont des pouvoirs (régénération, invisibilité etc), coté décomposition. La magie est très présente à travers les liches, quant aux goules elles sont soit dans des états de décomposition abominables, soit modifiées chirurgicalement de façons non moins dégoûtantes (bras taillés en pointes, lèvres découpées pour mieux mordre). Les liches règnent sur les zombies et la plupart des humains survivants, devenus des "cultistes", des fidèles , aspirant à rejoindre les rangs des non morts quand leur heure viendra. Les momies sont là aussi, elles ont un statut à part, mais sont vite décimées - quel dommage, je trouvais l'idée sympa.
C'est déconcertant de voir les humains se traîner devant les liches, mais on peut les comprendre : le monde est dévasté, il n'y a plus rien à manger. Leur seul espoir réside en une liche plus puissante que les autres, le Tzarévitch, qui leur promet de reconstruire une civilisation où chacun aurait sa place.
Dès le tome 1, on sentait que le rapport de force entre humains et zombies était inégal : la terre n'est plus faite pour les hommes, les pouvoirs que possèdent les liches sont bien trop puissants.
Zombie Planet nous raconte le destin de deux femmes : Sarah, la fille de Delkab (tome 1), Ayaan qui s'est occupé d'elle. Sarah part à la recherche d'Ayaan qui a été enlevé par le Tzarévitch. C'est à travers leurs yeux à toutes les deux que nous découvrons ce nouveau monde, fait de pourriture, de corps corrompus. Elle vont lutter pour ne pas disparaître, auront des choix terribles à faire.
Tout cela m'a bien plu, l'auteur sait créer une atmosphère angoissante au possible, sans espoir , mais je reste encore une fois un peu déçue par la fin (que j'ai relu deux fois parce que je pensais avoir loupé un passage) que j'ai trouvé un peu abrupte.[/masquer] Et les supers pouvoirs des liches gâchent un peu le suspens. Je ne vois pas trop où l'auteur a cherché à nous conduire...
Commenter  J’apprécie          20

Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Elle commençait à avoir la rage au ventre. Elle lui remontait le long du gosier, et elle savait qu'elle était sur le point de dire des choses désagréables. Son manque d'assurance, sa peur, sa panique et sa souffrance, d'une manière générale, alimentaient ce qui s’annonçait comme une prodigieuse explosion, et elle savait qu'elle ne pourrait rien faire pour la réprimer. Ce qui allait sortir allait être enflammé, acide, et, pour une grande partie, simplement cruel.
Commenter  J’apprécie          20
Elle ouvrit complètement son corps en poussant un énorme braiment et en vomissant une nouvelle quantité d’immondices. La bile qui coulait sur son visage et les larmes qui lui emplissaient les yeux étaient chargées de particules noires. Son nez dégageait une odeur de renfermé, un répugnant parfum terreux.
Commenter  J’apprécie          20
La vie de ces gens malades qui mouraient de faim ne tenait plus qu'à un fil.Le restant de leurs jours, il leur faudrait constamment affronter la peur, la mort.Ils vivaient comme des bêtes.Ayaan avait connu des réfugiés, elle-même en avait fait partie, que ce soit avant ou après l'Epidémie. Elle savait ce que c'était, la famine, la guerre, la pestilence. On aurait dit que l'Amérique apprenait ses leçons dans un livre d'écolier africain.
Commenter  J’apprécie          10
La chair de son corps était si froide. La peau était molle, mais son contact était si froid. Elle hocha la tête contre sa main.
Commenter  J’apprécie          10

Videos de David Wellington (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de David Wellington
Vidéo de David Wellington
autres livres classés : zombiesVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (284) Voir plus



Quiz Voir plus

Positif ( Première Partie : L'origine du monde )

Dans quel ville Finn habitait-il ?

A Manhattan.
A Staten Island.
A Brooklyn.
Au Bronx.

16 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : Positif de David WellingtonCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..