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EAN : 9782070126705
272 pages
Gallimard (05/01/2012)
3.45/5   305 notes
Résumé :
Juin 1966 : Anne, la narratrice vient d’envoyer une lettre laudative à Jean-Luc Godard.
Elle ne connaît pas le cinéaste de la Nouvelle vague, c’est à peine si elle l’a croisé sur le tournage de Au hasard Balthazar un an auparavant. Anne a 19 ans, elle a échoué au baccalauréat et s’apprête à passer la session de rattrapage de septembre. Un soir, Anne reçoit un coup de téléphone de Jean-Luc Godard, qui lui annonce qu’il désire très vite la rencontrer. C’est le ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (54) Voir plus Ajouter une critique
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"Quel chemin tu as parcouru en un an!"
Dans Une année studieuse, roman autobiographique, Anne Wiazemsky (orpheline de père et petite fille de François Mauriac) nous raconte l'année (1966) de l'été du bac, puis d'étudiante en philo et sa rencontre (provoquée par lettre) avec le cinéaste admiré Jean Luc Godard, plus âgé de 17 ans, " homme à femmes", cultivé, étrange et imprévisible,jusqu'en 1967, celle de leur mariage après des rapports passionnels, passionnés,réprouvés par la famille (un grand père phare et une mère teigne surtout!) et remplis de doutes.
Apprentissage du plaisir (traîté pudiquement), rite initiatique, passage de l'adolescente "rougissante", amoureuse, forcée de "trouver un équilibre entre lui et sa famille", ce livre, par son côté psychologique, me fait penser à Grandir de Sophie Fontanel, qui à un âge plus avancé de sa vie, doit couper le cordon ombilical avec sa mère, femme jadis à poigne.
Epoque du choix difficile: entre un soit-disant "sale type" "proche des Cahiers marxistes léninistes",cyclothymique créatif et un étudiant de son âge "roux flamboyant" (comme les tracts anarchistes de Nanterre) qui l'appelle "Machin chose".
Un passage de la femme-enfant vers l'étudiante, l'âge adulte et l'actrice qui devra éviter l'influence des photographes, les critiques de chacun et le "mélange de la fiction à la vie privée" de l'euphorique mais autoritaire cinéaste.
Anne Wiazemsky, "l'animal-fleur" de Godard n'est-elle pas tombée dans un autre état de "dépendance"?
Un lien transitionnel dont elle a su se détacher, un complexe d'Oedipe résolu à sa façon, puisqu'après son parcours d'actrice,écrivain de plusieurs ouvrages, elle a obtenu sa propre reconnaissance littéraire avec Canines (Goncourt des lycéens 1993) puis le Grand prix de l'Académie française pour Une poignée de gens.
Un roman autobiographique sympathique qui nous dévoile des facettes cachées de Jean Luc Godard et le moment clef où la vie tranquille, en attente d'un homme fort, bascule (ou grimpe...) vers la célébrité.
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Anne Wiazemsky, petite-fille de François Mauriac, nous raconte la première année qui a suivi sa rencontre et le début de sa relation amoureuse avec Jean-Luc Godard.
Elle a 19 ans, vit dans un milieu bourgeois, passe son bac philo après avoir tourné son premier film « Au hasard Balthazar » de Bresson, lorsqu'elle finit par tomber amoureuse du cinéaste de dix-sept ans son aîné qui lui tourne autour de puis un moment, en 1966. Cette « année studieuse » est donc un peu un récit initiatique d'une jeune fille timide et un peu rebelle et l'occasion d'une peinture légère de l'époque, à travers le cinéma de Godard et ses pairs, mais aussi les prémisses de mai 68 (Anne s'inscrit en philo à Nanterre et croise un certain Dany « rouquin » comme elle…).
Le livre se lit aisément : le style en est simple, assez délicat, tout en étant subtilement travaillé. On s'attache à la jeune femme passionnée de Sartre découvrant le milieu du cinéma des amis de Godard, à la personnalité fantasque et un peu infantile du metteur en scène, et puis, au fil des pages, on s'ennuie un peu. Ce n'est pas une question de pudeur ou le manque d'anecdotes « pittoresques » qui m'a lassée, mais tout simplement parce que si l'on excepte le fait de la célébrité des noms « Mauriac » et « Godard », tout cela est assez banal et manque de relief. Une vie de parisiens aisés, des vacances dans le midi ou en Normandie pour Anne, des amis de bonnes familles, on est un peu dans un roman de Sagan mais sans le zeste d'ironie qui en fait tout le charme. Ceci dit, le livre se déroule gentiment, et fait passer le temps plutôt agréablement. Peut-être est-ce l'absence de romanesque qui m'a ennuyée. le récit devient presque une chronique assez terre-à-terre d'une jeune fille mineure qui se débat mollement pour vivre sa vie émancipée sans trop déplaire à sa famille, pour retrouver finalement un confort assez bourgeois avec un Godard pro-Mao qui frime dans une Alpha Romeo, cite à tout bout de champ, se montre parfois méprisant et condescendant avec ses collaborateurs, avant de redevenir un petit garçon bien comme il faut pour demander la main d'Anne à Grandpa François, aux colères énormes.
On croise çà et là des personnages un peu plus hauts en couleur, comme Francis Jeanson ou Jeanne Moreau. François Truffaut, Jean-Pierre Léaud, Maurice Béjart passent en coup de vent, mais à la fin du récit, une fois le livre refermé, j'ai eu le sentiment que je l'oublierai très vite.
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Parfait pour un Paris-Montpellier - 3 H 15, parfait pour accompagner une longue sieste, parfait pour le plaisir de lire rapidement un livre.
Dans cette autobiographie on se laisse entraîner avec bonheur par l'insouciance et la légèreté de l'écriture d'Anne Wiazemsky.

Etre la petite-fille de Mauriac, être aimée par Jean-Luc Godard, fréquenter les érudits parisiens, se faire remarquer à la faculté de Nanterre par Daniel Cohn-Bendit, être l'invitée de Jeanne Moreau dans sa maison en Provence; il y a là matière à écrire des choses plaisantes sinon intéressantes pour ma part.
Jean-Luc Godard en amoureux attentionné et tendre, c'est inattendu! , François Mauriac montrant une attitude compréhensive, insoupçonnée, mais ne concluait t'il pas ses lettres à un autre écrivain par des mots plein d'affection?, Jeanne Moreau recevant ses invités avec tout un raffinement bourgeois, assez surprenant, Anne Wiazemsky bouscule nos a priori et dépeint avec justesse l'atmosphère de l'année de ses vingt ans.
Après le temps de la séduction, de l'opposition à son milieu, des voyages, des tournages; le mariage en Suisse, alors le récit s'étire un peu et se lit avec un intérêt moindre mais reste agréable.
C'est le premier livre d'A.W. que je découvre, j'en lirai certainement d'autres.










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Après "Jeune fille", Anne Wiazemsky poursuit l'histoire de sa vie. Après avoir tourné avec Bresson, elle rencontre Godard, en tombe amoureuse, tourne avec lui "La Chinoise", l'épouse.On sait qu'ils se quitteront bientôt. La fugacité de leur couple et inscrite dans les circonstances de leur rencontre. Mais ceci est une autre histoire ...
La petite-fille de François Mauriac a 20 ans. Elle étouffe chez ce grand-père qui symbolise à lui seul la France d'avant-mai-68. Une France qui "s'ennuie" dont la jeune Anne fuit la grisaille au gré des rencontres. Elle passe son bac grâce aux cours particuliers de Francis Jeanson que lui a présenté Antoine gallimar. Elle entre en fac de philo à Nanterre et y croise un rouquin prénommé Danny. Elle déjeune avec Béjart, dîne avec Rivette,couche dans la maison d'été de Jeanne Moreau.
Ce name-dropping pourrait vite tourner au catalogue prétentieux. La légéreté de la plume d'Anne Wiazemsky nous évite cet écueil. Avec un charme et une élégance rares, elle restitue l'ambiance des années 60. On se croirait dans un film en noir et blanc de Truffaut ou de Godard : on y est grave avec futilité, futile avec gravité.
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Fut-elle vraiment studieuse cette année 1966/1967?
Certes mais pas à la façon traditionnelle dont on l'entend.
Elle le fut énormément, passionnément, audacieusement, intensément.
Anne Wiamzesky, revenant sur ce passé bouillonnant, nous fait revivre les couleurs de cette époque préfigurant l'année choc de 1968.
Des odeurs, des sons, des voix, des phrases, des jeux cultes du cinéma nouvelle vague, un Godart fringant, un amour fou où Anne Wiamzesky, rebaptisée "animal fleur" par le cinéaste, découvre et déploie personnalité et sensualité.
Une mineure (elle a 19 ans) qui n'a pas froid aux yeux, un milieu bourgeois composé d'une mère suspicieuse, d'oncles et de tantes et surtout d'un grand-père, patriarche écouté, craint mais ô combien respectueux de la vie et des choix de sa petite-fille dont il devine le particularisme.
L'ombre du père trop tôt disparu plane tour à tour douloureuse et vivifiante.
Etudes de philo suivies qui dégagent l'ennui..., la philosophie, c'est tellement mieux lorsqu'on "précise sa pensée" dans des joutes verbales avec Francis Jeanson.
Hormis le "rouquin" et ses comparses de Nanterre dont on parlera en mai de l'année suivante, le cinéma comble plus l'esprit assoiffé.
Godard s'y entend qui l'emmène dans l'aventure de "La chinoise" dont la présentation par Jean Vilar à Avignon est un régal.
L'amour, le mariage privé en Suisse (un régal aussi de lire la réaction du maire), les journalistes (déjà!) et la folie hystérique à l'hôpital (dans un film, on trouverait cela exagéré) sont autant de pages savoureuses.
Godard, l'excès, une certaine violence abhorrée par Anne Wiazemsky, une provocation qui fait du bien, une époque...révolue.
En somme, le témoignage de la naissance d'un amour, un parfum de cinéma qui fit avancer le septième art et poser un regard différent sur la société par une génération de jeunes intellos engagés, des souvenirs, des souvenirs...

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critiques presse (16)
Telerama
20 novembre 2013
Quel tourbillon, évoqué avec simplicité, humour et une certaine innocence. Comme si Anne, l'écrivain, redevenait tout naturellement cette adolescente fougueuse qui ose tout et ne s'étonne de rien.
Lire la critique sur le site : Telerama
Lexpress
07 mars 2012
Cette émulation intellectuelle et ce souffle de liberté nous gagnent à la lecture de ce beau roman.
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Lhumanite
05 mars 2012
Anne Wiazemsky a trouvé la bonne distance entre la pudeur et l’aveu, et c’est ce qui fait tout le prix de ce livre d’absolue sincérité à peine effleuré par un soupçon de nostalgie.
Lire la critique sur le site : Lhumanite
Lexpress
27 février 2012
Ce roman autobiographique peut, à la fois vous séduire et, à la fois vous ennuyer passablement....
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
24 février 2012
D'une écriture simple et limpide, l'auteure nous replonge à la fin des sixties et nous fait découvrir un Godard fleur bleue, très épris, jaloux, séducteur, et facétieux qui entraîne la jeune fille timide et effacée dans une aventure romanesque et cinématographique.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
21 février 2012
Le livre d'un itinéraire. Mais malheureusement sans talent d'écriture.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
21 février 2012
Frais, mutin, lumineux.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LePoint
24 janvier 2012
L'ensemble est frais, portant à une lecture cursive, d'une grande précision : manifestement, un journal intime d'époque a été revisité. Cela évite les écueils de la nostalgie et nous prodigue les bonheurs d'un passé ressenti au présent. La suite au prochain roman ?
Lire la critique sur le site : LePoint
Lexpress
18 janvier 2012
Le monde d'Anne Wiazemsky, entre bourgeois et bohèmes, n'a pas une ride, il est réincarné par ses petites histoires quotidiennes, ses dérapages comiques, son absence volontaire de recul.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeSoir
17 janvier 2012
On rit beaucoup avec Anne Wiazemsky et Jean-Luc Godard. On oublie aussi leur différence d'âge : ce sont deux enfants qui s'ébrouent, heureux de vivre et de s'aimer.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LeMonde
13 janvier 2012
Quarante-cinq ans après La Chinoise, où elle brandissait, dans une scène célèbre, Le Petit Livre rouge de Mao Zedong, Anne Wiazemsky ne tend plus à bout de bras des ouvrages devant une caméra. Elle en écrit, qu'abrite une couverture crème. Et ça lui va tout aussi bien.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LeMonde
13 janvier 2012
Ce vibrant roman d'apprentissage, qui raconte une libération par l'amour, est aussi une plongée vivante dans la France de l'avant-Mai 68. C'est une ère de friction, où le vieux monde, incarné par la mère d'Anne, pousse les hauts cris devant la liberté du nouveau, représenté par sa fille et Godard, mais cède peu à peu du terrain, à condition que les apparences restent sauves - tandis que s'aiguise, dans les couloirs de Nanterre, l'appétit d'en découdre.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Liberation
10 janvier 2012
Merveilleux portrait d’un homme intelligent, chaleureux, dont la sympathie et la curiosité semblent toujours précéder et conclure l’inquiétude ou le jugement.
Lire la critique sur le site : Liberation
Lexpress
06 janvier 2012
C'est bien cette face inexplorée d'un Godard tout à la fois amoureux, romantique, Pygmalion, doux amant, drôle, enfantin, généreux, délicat, jaloux, un rien possessif, qui intrigue et charme le lecteur. "Sans lunettes, il montrait quelque chose de caché, quelque chose de très intime", confie la narratrice, qui effleure à peine les bémols à venir, la tendance à dramatiser, le ton sec et la voix haute sur les tournages...
Lire la critique sur le site : Lexpress
LesEchos
03 janvier 2012
C'est l'histoire de cette « année studieuse » que raconte ce récit délicieux - présenté sur la couverture comme « roman » -, tendre et fougueux, nostalgique et surréaliste dont le « name dropping » est de première classe.
Lire la critique sur le site : LesEchos
Bibliobs
26 décembre 2011
L'auteur de « Jeune Fille », dont la mémoire est prodigieuse, n'a pas son pareil pour se glisser avec naturel dans sa peau d'adolescente, rendre électrique le temps éteint, reconstituer des dialogues effacés, coloriser une époque en noir et blanc. C'est bien simple, on dirait, insouciant et soucieux à la fois, une oeuvre de la Nouvelle Vague.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
Le tournage s'étant arrêté à 4 heures, nous sommes partis Juliet, Jean-Pierre et moi, fêter le printemps sur les Champs-Elysées. Devant le cinéma Publicis nous avons croisé Alain Cuny qui fut charmant et que moi et Juliet connaissions chacune de notre côté. Planqué derrière lui, Jean-Pierre nous faisait des grimaces, se tapait sur le ventre, essayait de troubler "les deux petites actrices en face du grand Cuny". Puis nous sommes allés manger des glaces et Juliet et moi avons bien ri voyant la honte de Jean-Pierre qui, pour la première fois de sa vie, se trouvait devant un café liégeois. Comme nous n'étions pas loin des Cahiers, il s'étranglait de peur à l'idée que Rivette ou Truffaut puissent passer et le surprendre le nez dans la chantilly.
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Tu diras à ton grand-père que Nadja est belle "comme la rencontre fortuite d'un parapluie et d'une machine à coudre sur une table de dissection". C"est la définition que Leautréamont donne de la beauté dans Les chants de Maldoror".

Pour comprendre le contexte, il faut savoir que Nadja est la chienne d'Anne.
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Le gynécologue avait l'apparence d'un bourgeois aisé, satisfait et sûr de lui. Je détestai l'examen qu'il me fit subir derrière un paravent, le ton paternaliste avec lequel il s'adressa ensuite à ma mère et à moi.
Quand il comprit que je n'avais pas encore décidé de me marier et ce que j'attendais malgré tout de lui, il ne nous cacha pas sa désapprobation. Il tenta de raisonner ma mère.
— Cette jeune fille devrait être plus chaste et vous plus autoritaire. Ne pouvez-vous pas obtenir d'elle...
— Non, répondit ma mère sèchement
Il voulut argumenter, elle lui coupa tout de suite la parole.
— Ça nous est complètement égal, à ma fille et à moi, ce que vous pensez. Nous ne sommes pas là pour recevoir un cours de morale, nous sommes là pour que vous lui fassiez une ordonnance de manière à ce qu'elle puisse prendre la pilule.
Elle sortit son carnet de chèque et un stylo.
— Je paye, alors faites ce que je vous demande et s'il vous plaît, épargnez-nous vos commentaires.
Dans la rue, elle glissa son bras sous le mien, riant avec moi de ce qui venait de se passer. Elle répétait :
— Quel con, mais quel con !
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Je m’étais adaptée à cette drôle de vie où je tournais avec lui le jour et me transformait en amante, parfois, la nuit. Le décor du film redevenait alors notre appartement. (…)
J’avais cessé de m’étonner que Jean-Luc mélange fiction et vie privée et n’hésitais plus à lui proposer quelque chose de personnel, une pensée ou une réplique. Extrait de la page 182
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Jeanne Moreau nous accueillit avec grâce et simplicité. Elle nous fit d'abord visiter son domaine de Préverger, un paradis d'arbres et de fleurs, avec des fontaines, une piscine et un potager dont elle était particulièrement fière. Puis le salon, la bibliothèque remplie de livres qui avaient tous été lus, la cuisine où s'affairait sa gouvernante italienne, Anna, à qui elle nous présenta. Jamais encore je n'avais côtoyé un tel degré de raffinement. Dans la grande chambre qu'elle mettait à notre disposition, il y avait deux lits collés l'un à l'autre : un grand et un petit.
- Il fait très chaud dans le massif des Maures, en cette saison, expliqua-t-elle. Quand on fait l'amour, ça peut être précieux de se rafraichir dans le lit qui n'a pas été utilisé.
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