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Catherine Lauga du Plessis (Traducteur)
EAN : 9782264048257
288 pages
10-18 (03/06/2010)
2.92/5   13 notes
Résumé :
Marion Campbell dirige une agence de voyages prospère au Cap et mène une vie solitaire et sans histoire. Mais tout n'est qu'apparence. La nuit, son sommeil est agité, et le jour, elle est hantée par les souvenirs confus qu'à fait resurgir en elle la photographie d'une femme en première page du journal. Une chose est sûre : Marion est liée à elle d'une manière ou d'une autre. Or son vieux père refuse catégoriquement de s'associer à sa nouvelle quête. Seule la tenace ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Je suis réellement rentrée dans l'histoire seulement à partir du moment où Marion a déjà découvert sa véritable identité. A partir du moment où l'on voit le point de vue de ses parents, John et Helen, qui prennent une décision importante pour leur vie future et leur famille et tous ce que ca va impliquer. On découvre avec eux la vie durant l'apartheid, la vie de ceux qui pour contrer ces lois changent de couleurs pour une vie meilleure.
On s'attend à ce que la découverte de son passé déroute beaucoup plus Marion, on l'a sent perturbée mais sans plus.
J'ai apprécié le fait que le récit soit parsemé de mots et d'expressions qui nous aident à comprendre la culture sud-africaine, cela aide aussi à comprendre la vie des sud-africains durant l'apartheid.
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Une mise en route assez lente, puis à la fin du premier tiers du livre, LA révélation du roman, et puis après, plus rien... ou plus grand chose... Pourtant, le thème était vraiment intéressant : dans l'Afrique du Sud de l'apartheid, ces Noirs à la peau très claire qui se font passer pour de "faux blancs". Mais le personnage principal n'est pas passionnant : elle est très molle et pas très sympathique, du coup, on se désintéresse de ce qui lui arrive. de toute façon, il ne se passe pas grand-chose, on pense que la découverte de sa véritable identité va déboucher sur d'autres révélations, et puis rien... Bref, on s'ennuie pas mal finalement et la fin est nulle. Une grosse déception, même si l'écriture en elle-même n'est pas mal.
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Une découverte pour moi que l'histoire des "faux blancs" durant la période de l'Apartheid.

Je n'en avais pas du tout connaissance, et sur ce sujet, le livre m'a vraiment intéressée !
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rentrer dans l'histoire est laborieux...mais je ne connaissais pas du tout l'existence des "faux blancs" sous le régime de l'apartheid et j'étais curieuse d'en savoir plus. Poursuivre valait le coup finalement
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Pas mal sur le papier, mais long, mais long. Ça n'en finit pas de démarrer. Si encore l'auteure enlieu et place de ses digressions peu intéressantes concernant Marion, nous parlait de l'Afrique du Sud, de la ville du Cap, on apprendrait des trucs, mais là, rien : on se contente des doutes de Marion et de ceux de son vieux père qui sont finalement universels. J'attendais d'un roman sud-africain une touche plus sud-africaine qu'internationale. Je stoppe ce roman peut-être un peu hâtivement, mais quand je vois qu'il fait 282 pages, en petits caractères, dans sa version poche, et que dès le début j'ai du mal, je ne persévère pas, je n'aime pas me faire du mal. (Livre emprunté à la BM dans le cadre du club de lecture dont le thème est : les écrivaines africaines).
Lien : http://lyvres.over-blog.com
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Il y a des décennies de folie enfermées entre ces pages.
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La blancheur, qu’est ce donc ?
Quelle est cette chimère à laquelle ils aspirent ?
Cela ne suffit-il pas qu’ils soient venus à la ville, qu’ils soient descendus du train les manches retroussés, prêts à s’atteler à la tâche de se fabriquer une vie nouvelle ?

Non, il est hors de question de se laisser aller. Il n’y a voir comme le monde autour d’eux est soumis à l’ordre, organisé selon la couleur de peau, défini par les restrictions.

La blancheur ne connaît pas de restrictions. Elle a la fluidité du lait ; son éclat rayonne à l’infini. C’est à eux de faire en sorte que ca marche.
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Elle n'est pas en fin de compte la personne qu'elle croyait être, et encore moins celle qu'il croyait qu'elle était. Il est peut-être vrai qu'être blanc, métis ou noir ne veut rien dire, mais il est vrai aussi que les choses ne sont plus les mêmes; il doit bien y avoir une différence entre ce que les choses sont et ce qu'elles signifient. Ces catégories se sont peut-être estompées, elles ne sont plus portées sur les cartes d'identité, mais il fut un temps ou elles étaient lourdes de sens. La différence, c'est quoi ? - c'est ce que Marion n'arrive pas à comprendre.
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